Ca craint grave, hein.
(N’empêche, elle a un pantalon carotte)
Je m’excuse bien bas, vous autres, mais les gens de la rue ne sont pas égaux dans la fashion attitude, le street style, comme préfèrent dire les gens de la hypitude… Ces gens qui, d’ailleurs, n’ont rien de street dans le style, parce que si on veut bien y penser 2 minutes, ça me ferait un peu mal au coccyx que les SDF et autres clodos pavoisent en Balenciaga et consortiums…
M’est avis qu’ils ont d’autres préoccupations bien plus nobles, mais ceci n’engage que mezigue.
Enfin bref, tout ça pour dire que voilà deux clochards aperçus récemment sous le ciel de Paris, où coule un fleuve joyeux (Oui, la Seine, c’est bien ça Brian !).
Interloqués nous restons face à la classe innée du premier ; attristés nous sommes par l’état de délabritude du second qui, manifestement est contre La Poste (ce qui prouve qu’il a encore toute sa tête, néanmoins).
La chenille, contrairement à vous autres, ne prend pas de vacances ! Bientôt arrivée à son plein développement, elle va s’envelopper dans un cocon, puis se transformer en chrysalide.
En gros, si vous voulez pas la voir disparaître, balancez les caterpillars, les copains, ou bien cette rubrique Ô combien conceptuelle décédera de sa belle mort.
❉ Tout là-haut, on commence avec la chenille « pâte à modeler Play Doh » de BBCam, qui me colle juste trois mots dans le mail d’accompagnement. Comme je le disais récemment, les gens sont devenus d’un feignant sur Internet qu’on va bientôt devoir fermer les portes bloguesques. Qué désespoir…
Mes mignons, comme le dit souvent mon pote Imposture – créateur de l’Internet – le web c’est rien qu’une structure pyramidale. Et voilà qu’on s’éloigne de plus en plus de la grosse base, pour bientôt arriver au sommet tout pointu du rien.
Je t’explique avec mes mots à moi pour ceux qui sont déjà en état migraineux.
Ca veut dire que de plus en plus, on va vers la simplicité, la fainéantise, l’économie de moyens, en quelque sorte. Parce que, au départ, nous étions tous fiers avec nos blogs de l’internet et nos grosses logorrhées qu’on se prenait pour des journalistes.
Puis, comme on était pas assez occupés dans la journée, on a fait des Facebook, puis maintenant tout le monde raconte qu’il va pleuvoir sur Twitter et Retwitte des trucs genre scoops ou vaguement sérieux, pour faire style je suis intellectuel/up-to-date.
Je ne sais point si vous avez suivi les aventures récentes de l’HDA rapport à son jambon infecté par des moustiques, de la tique et du gratouillis de l’ensemble que ça lui avait donné un staphylocoque.
Genre, elle faisait encore son intéressante pour qu’on la plaigne à jérémiades-que-veux-tu, mais moi j’ai voulu voir son pied bot de plus près.
J’aime bien avoir le coeur net. Et le rosé à température ambiante. Enfin, ambiante, ambiante…ambiante fraîche, quoi. (vous êtes chiants, faut toujours se justifier des températures ici)
Bah putain.
Ah, vous me cherchiez ?
J’étais pourtant pas très loin, voyez !
Depuis que j’ai décidé que le bronzage c’était plus du tout up-to-date, voire hyper vulgos, c’est fou comme je fais plein de choses, désormais, en vacances.
Dès 6 heures du matin, j’enfile donc ma blouse en acrylique de chez les 3 Suisses, et je vais aux vaches, non sans avoir avalé mon sacro-saint bol de Ricoré.
Ah non, pardon, j’ai confondu avec un roman de Danielle Steel où que la fermière épouse le Prince à la fin. N’importe quoi, moi.
Donc, disais-je, multi-tâches je suis devenue, option spécialisation en enlèvement de dards d’abeilles à la pince à épiler, fichés dans des pieds non chaussés. Ah ça, c’est cool de s’aérer les orteils une fois dans l’année, mais après faut pas gueuler d’avoir des bubons entre les doigts de pieds !