Névrose solaire

Je sais, les copains, je suis en vacances avant l’heure. Mais tout ça c’est pas ma faute, non, c’est celle du calendrier scolaire.
Ô bienheureuses nullipares qui ne vivez qu’au joyeux rythme biologique des congés payés, sachez que nous autres, mères de famille, devons aussi nous cogner celui de nos minots. Offrir autant de vacances à des gens qui font des dessins toute la journée, c’est quasi de l’indécence, je ne te le fais pas dire. Oh si, dis-le !

Bref, aujourd’hui la cloche a sonné pour moi aussi, quelque part. Alors, ok, je pars en vacances seulement dans 6 jours (encore ?), mais j’attends avec tant de hâte cette pause sans wireless aucun que je suis déjà au taquet de débrancher toutes les prises de l’informatique quitte, dans ma rage, à arracher quelques plinthes au passage. Tant pis pour la caution.

Tout ça pour dire que, en juillet, je vais laisser de jolies toiles d’araignées envahir SBEP, histoire que je reprenne mon souffle, histoire de ne pas gâcher ne serait-ce que 30 minutes de mon précieux temps de décompression à coller ici les cartes postales 2.0, histoire de partir vraiment pour mieux revenir (c’est beau, on dirait du Julien Clerc).

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La photo floue du sac Marc Jacobs

Les gros, je suis super épuisée par Brian en ce moment. Depuis qu’il a épousé une nouvelle vocation de gigolo, y’a la brigade des moeurs qui n’arrête pas d’appeler à la maison, car il ne déclare pas ses revenus à l’Urssaf. En même temps, s’il était bon en maths, je l’aurais su.
J’ai beau lui expliquer que gigolo, c’est comme blogueuse influente, c’est pas un métier très secure ni très gloriole. Las, il ne veut rien entendre. Je crois qu’il est cougar depuis toujours, en définitive.

Enfin, bref, il fera ce qu’il veut mais il n’en reste pas moins qu’il est drôlement généreux, mon Brian, puisqu’avec son premier « cachet » d’homme de compagnie, il m’a offert le sac Marc Jacobs que je bavais devant depuis avril (tu te souviens ?). Certes, il était soldé, mais c’est l’intention qui compte j’ai dit à Brian en l’embrassant sur la bouche.

Je crois que je suis jalouse de toutes ces vieilles femmes qu’il touche toute la journée, en fait.

☞ Je sais que ça parle beaucoup Mode cette semaine, mais c’est à cause de ma micro-allergie de l’intérieur du poignet. J’ai comme l’impression que mon stylo-plume est le grand coupable, dans cette histoire.

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Mon truc en plumes

Les copains, j’ai un nouveau collier à plumes qui pendouillent. J’adore. Alors certes, elles sont déjà un peu dégueulasses (les plumes), et il va sûrement pas passer l’été (le collier), mais à 2,95€ from Sweden peut-on dire qu’on m’a prise pour un pigeon ?

Le doute est permis.

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I’m just a gigolo

Bonjour mes fans, c’est Brian.
Avant toute chose, je vous demande de gardé vos commentaires désobligens à mon égard, je sais que je n’ai pas été très acidu, mais comme je suis devenu influent j’était invité en talasso à Besancon pendant 3 semaines pour faire un reportage fotos rémunéré très chère ! Bon, j’avais oublier mon appareil foto, mais ils m’ont garder quand même pour faire les massages cardiaques aux vieilles dame, et j’ai encore changer d’orientation professionelle puisque je veux faire gigolo (et plus du tout professeure de francais ou fotographe vu que j’oublie tout le tant mon appareil).

Vous vous demander surement ce que deviennent les valses de vienne avec Nadège ? Et bien, c’est rien qu’une pute, elle en voulait juste à mon statut de confluent.
En plus, elle portait des chaussure ortopédestres et n’aimait pas les tomate. Comme Violette, d’ailleurs. C’est bizare que j’aime les meufs tout comme elle, si ça se trouverait, je ferais un transfert et je l’aimerais ?
Je n’ose pas y pensé, ça serait quasiment de l’inceste, je retourne à mes vieille aux cheveux mauves.

Ah et j’oubliais de vous dire que j’ai appri à nagé à Besancon, et donc j’en ai profiter pour acheter un maillot de bain en toile de Jouy, il parait que c’est thermo-étanche à la transpiration.

Brian

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Tailler un short

Deux événements suffisamment majeurs pour être mentionnés ici sont survenus le week-end dernier. Le premier, et pas des moindres, c’est que j’ai porté un short sans collants à Paris. Bon, okay, pas plus d’1h30, mais il parait que quand on arrive à faire des choses qui nous demandent des efforts surhumains (ou 10 ans de psy, au choix), on a le droit de multiplier la durée de vie par 7. Comme pour les chiens.

Suivant cette logique, je ne suis pas peu fière de vous annoncer que j’ai pavané pas moins de 10h30 en short, les copains !! Déjà qu’à la plage, c’est compliqué pour moi, imaginez que c’est comme si je vous disais que je n’avais pas bu de rosé depuis 15 jours. Une aberration, en somme.

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Not Guilty

Hier, vers 16h45, j’ai reçu un mail d’Anna Sand me prévenant que la vente Vanessa Bruno était ouverte… avec du 80% de remise. Infarctus. J’ai cliqué comme une folle sur les différents items qui apparaissaient : choix et prix délirants, on s’en foutait du découvert, on s’en tapait de creuser ma tombe financière, la fièvre avait déjà gagné mon sang. Ni fleurs, ni couronnes.

J’ai collé plein de trucs dans mon panier. Des robes que je porterais pour des occasions spéciales. 16h49. Des tops qui viendraient faire basculer ma commode du côté obscur de l’apesanteur. 16h52. Et putain, un manteau noir à 100 boules, quoi. 100 boules. 16h58. En courant vers l’école de Cyclamen, vers 17h04, je savais qu’en revenant mon panier serait comme un utérus après une fausse couche : vide.

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