Je sais, les copains, je suis en vacances avant l’heure. Mais tout ça c’est pas ma faute, non, c’est celle du calendrier scolaire.
Ô bienheureuses nullipares qui ne vivez qu’au joyeux rythme biologique des congés payés, sachez que nous autres, mères de famille, devons aussi nous cogner celui de nos minots. Offrir autant de vacances à des gens qui font des dessins toute la journée, c’est quasi de l’indécence, je ne te le fais pas dire. Oh si, dis-le !
Bref, aujourd’hui la cloche a sonné pour moi aussi, quelque part. Alors, ok, je pars en vacances seulement dans 6 jours (encore ?), mais j’attends avec tant de hâte cette pause sans wireless aucun que je suis déjà au taquet de débrancher toutes les prises de l’informatique quitte, dans ma rage, à arracher quelques plinthes au passage. Tant pis pour la caution.
Tout ça pour dire que, en juillet, je vais laisser de jolies toiles d’araignées envahir SBEP, histoire que je reprenne mon souffle, histoire de ne pas gâcher ne serait-ce que 30 minutes de mon précieux temps de décompression à coller ici les cartes postales 2.0, histoire de partir vraiment pour mieux revenir (c’est beau, on dirait du Julien Clerc).