Comme je dis toujours, « il vaut mieux deux chaussures que trois tu l’auras » ; c’est pourquoi aujourd’hui je tiens la promesse faite la semaine dernière de vous les montrer. Les chaussures.
Comme vous pouvez le voir, ce sont des ballerines qui brillent, et pas seulement dans la nuit. J’ai choisi de poser devant un coq*, comme ça vous pouvez constater qu’elles s’adaptent à toutes les situations. Même les plus incongrues.
C’est peut-être ce qui justifie leur prix élevé, je ne sais pas. En tous cas, on m’avait prévenue qu’elles étaient aussi confortables que les Isotoner de mamie Simone et… elles le sont !
Avec elles, nul besoin de puiser dans le stock des protège-talons en forme de nonosses, pas la peine de compter les cratères aux pieds en fin de journée, c’est la tranquilité du peton assurée (je me déguise parfois en Jacques Séguéla).