La baignoire dans la chambre

Salut les brioches. La dernière fois j’avais dit un truc du genre je reviens vite pour vous montrer deux ou trois moderies et puis, étonnamment, voilà que je n’ai rien acheté du mois d’août !?! Alors je me suis tue car tout le monde sait que sur l’Internet nulle vieillerie tu ne montreras sous peine de pugilat (c’est de moi).

Parce que oui, durant ces quelques jours de vacances venus s’ajouter à mon panier garni de juilletiste, je n’ai porté que des robes & sandales de la saison dernière. Voire de 2009…
Je vous demande bien à quoi ça sert d’accumuler dans la penderie tiens.

Alors, comme il faut bien vous parler quand même de quelque chose, et bien j’ai trouvé un sujet très intéressant (si, tu vas voir) : la baignoire dans la chambre. La baignoire dans la chambre comme on en voit seulement dans le Elle Déco ou Côté Sud. La baignoire dans la chambre qui fait trop XVIIIè siècle, ou je ne sais plus lequel mais pas un siècle récent en tous cas. La baignoire dans la chambre qui fait blogueuse mode en fleurs (tu vois laquelle ?).

Bref, la baignoire dans la chambre que j’ai découverte quand le monsieur de l’accueil a ouvert la porte (de la chambre), bookée pour quelques jours loin de Paris. Mais toujours en Provence.

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L’art de la contemplation

photo @Carlie Armstrong

Le mois d’août au bureau est propice à la contemplation. Je ne sais pas qui a dit ça (si ça se trouve c’est moi ?) mais en tout cas je n’aime pas du tout contempler dans l’absolu. C’est ainsi que depuis le début de la semaine je me sens un peu barbouillée face à tous mes collègues de travail qui contemplent.

Finalement, avec une collègue du travail, on s’y est mises tant bien que mal (les gens qui contemplent font baisser la productivité – même celle des autres) et à force de contempler des gens qu’on avait jamais contemplés avant on rigole bien. Parfois, on se lance même des défis compliqués. Je vous dis.

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Le trèfle à 4 feuilles

Amis Internet, je finis rapidement le roman-photo de mes vacances en attendant d’avoir des nouveaux trucs plus intellectuels à vous raconter. On est pas vraiment rendus sachant que cette année je n’arrive même pas à m’accrocher à la médiocrité médiocre de Secret Story 5. C’est dire si j’atteins les bas-fonds de la culture (hein ?).

Il faut croire que je ne suis pas sensible au charme si bien caché du jumeau au noeil qui tente d’atteindre l’extra-ball mais qui n’y arrive jamais. Ca fait de la peine, sérieux.

Enfin, je me fais confiance, je vais bien acheter deux ou trois conneries mode d’ici la fin du mois et vous serez repus de nouveautés à compulser grâce à cette affluence qui est mienne et que je partage avec vous depuis des années.
C’est bon le pouvoir, tu sais.

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Faut-il dépenser 4,90€ pour le paréo Jean-Paul Gaultier dans Grazia ?

Dans un passé pas si lointain, les blogueuses mode poussaient des grands HI et parfois aussi des OH quand venait le temps de l’été et de ses cadeaux dans les magazines féminins.
Depuis que les blogueuses mode ne se chaussent qu’en 400€ H.T. (minimum), elles ne regardent même plus ces goodies qui autrefois les enchantaient (y’a 3 ans, quoi).

Oui oh c’est pas forcément qu’elles sont snobinardes. C’est aussi que les cadeaux sont devenus un peu poucraves au fil des ans (ou bien si c’est qu’on est snob ?). Oh non, me dites pas que ?!

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Le musée du bonbon à Uzes

L’autre jour, il y avait un nuage, bon deux. Ok, il pleuvait. Donc on a dit qu’on irait au musée du bonbon Haribo à Uzès.

Si un jour vous passez par là-bas voir si j’y suis, je vous conseille de visiter absolument la boutique ; le « musée » n’étant qu’un prétexte culturel qui vous permettra d’apaiser sans scrupules votre penchant pour la régression (en gros, on voit des gonzes dans l’usine qui remplissent des bouteilles de Ricqlès).

C’est bien simple, les aminches, j’ai jamais vu autant de bonbecs de toute ma vie. Des bonbecs de partout. Des bonbecs par paquets de 5 kilos. Des bonbecs à prix d’usine. Rien qu’à regarder réglisses et guimauves, j’avais la gerbouille au bord des lèvres.

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