SOIS BELLE ET PARLE - L'ÜBER VIE DE VIOLETTE

Un week-end thalasso à Saint-Malo

23 avril 2013

Retrouvez toutes mes autres expériences de séjour thalasso tout compris en consultant ces articles :

Thalasso à Pornic en Bretagne,
Week-end thalasso à Quiberon,
Thalasso en Normandie à Cabourg,
Séjour Thalasso à Ouistreham.

Passer deux jours face à la mer, c’est pas Calo qui dira le contraire, c’est drôlement chouette.
J’ai compté, c’est la cinquième fois qu’on m’invite chaleureusement à découvrir un hôtel/thalasso en France, et je ne m’en lasse pas. Jamais blasée de l’eau – je suis Cancer, je vous ai dit ?

Le week-end dernier, c’est dans le splendide Grand Hôtel des Thermes de Saint-Malo que j’ai posé mes bagages pour un séjour thalasso tout compris. La chambre avec vue sur l’océan et lit géant pour moi toute seule – A moi la position rêvée de l’étoile de mer ! – c’était déjà suffisant pour me rendre heureuse.

Si vous ajoutez à ça de la gastronomie où le beurre tient la place du roi (je pense que mon taux de cholestérol a fait exploser l’échelle de Richter)(hein ?) et des papouilles magistralement exécutées, j’étais pas loin de la béatitude.

Oh et puis le bonheur ne vaut que s’il est partagé, non ?. Ça tombait bien, j’étais accompagnée de mes beloved copines : Caro, Azzed, Cécile, Marie, Céline et Marie. Bien sûr on a parlé des attentats de Boston. Et aussi un peu de Nabilla, de cellulite, de cidre brut et de bigoudis chauffants…

Se découvrir en peignoir pour femme et en claquettes de piscine, ça casse tout de suite le postulat intello, autant ne pas insister.
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Regarde, le jour se lève…

21 avril 2013

Dédramatiser une pièce ? C’est bon, on a bien compris la leçon. En revanche, quand est-il de la délolisation d’un vêtement un peu trop lol pour être fashion honnête ? Ah ça, on fait moins les malignes les rédactrices de mode HEIN ?!
Peter et Sloane sont-ils l’apanage des nostalgiques des 80’s de Marc Toesca ? Je ne crois pas.

Un look preppy en arborant 3’40 » de variétoche sur le poitrail c’est possible. Alors délolons ensemble, si vous le voulez bien.
Le postulat de base est, dans ce cas précis, d’éviter d’enfiler des vêtements de cagoline en complément du tee.

On bannira ainsi les compensées de chagasse, les paillettes, le rouge à lèvres rose nacré, le jean serpent en synthétique d’aluminium et tout le caetera.
Peter et Sloane comme si on était sur la Canebière, c’est no way. C’est trop une évidence du lol.
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Les sandales glitter Patricia Blanchet

18 avril 2013

Quand j’ai hurlé à Cyclamen « Mayday, Mayday ! Patricia Blanchet a encore frappé !« , elle a répondu qu’elle préférait les tulipes. Je ne savais pas qu’elle présentait déjà des velléités horticoles, mais n’allons pas la contrarier, c’est déjà un peu compliqué de la gérer en ce moment (elle veut porter que des slims).

Moi, j’aime les renoncules, mais les chaussures par-dessus tout. Alors comme j’ai encore la cheville faiblarde (c’est gentil de demander de mes nouvelles – ça change), bah, j’ai été faible niveau hauteur de talons. Mais très haute en matières : peau de serpent métallisée et velours, je me sens très « boudoir » des pieds.

Ces petites douceurs répondent au joli nom de Renato, comme Ugo Tognazzi dans La Cage aux folles. Je ne sais pas vous, mais personnellement je ne crois pas au hasard (?!?).
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Le brunch Petrossian

17 avril 2013

OH.LA.LA. Je garde un souvenir ému de ce jour de janvier 2008 où j’avais été invitée à dîner, avec une poignée d’autres blogueurs, chez Petrossian. Je ne sais pas. Hormis la dinguerie des petites choses dégustées ce soir-là, je crois que j’avais été plus que touchée par l’intarissable passion du maître de cérémonie, Mr Petrossian himself, pour son métier.

Ce moment de grâce culinaire reste un des meilleurs événements auxquels j’ai participé au cours de ma longue vie de blogueuse, semée d’embûches et d’espièglerie. Se souvenir des belles choses, quoi.

Bon, bref, sus aux violons, car voilatipa – comme on dit dans la Vendée de Brian – que 5 ans plus tard, je reçois dans ma boite mail une jolie invitation à un brunch. Un brunch Petrossian un lundi, première pirouette aux convenances de la part de cette maison soucieuse de dédramatiser le caviar.
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Les yeux doux

16 avril 2013

Les yeux qui piquent après avoir enlevé le vilain mascara qui fait les yeux de panda en fin de journée, vous connaissez ? Si, je vous vois.

Le bleuet, appelé « casse lunette » à la Renaissance, est là pour vous sauver. Ah bon ? Et oui, car Klorane vient de sortir une gamme de soins, dédiée aux yeux sensibles, pour un démaquillage qui apaise. Je vous explique !

– Une lotion florale démaquillante au bleuet : elle décongestionne les yeux les plus sensibles, même porteurs de lentilles. Astuce : si on a le temps avant d’aller au dodo, on l’applique en compresse sur les yeux. Oui on est ridicule pendant 10 minutes, mais on rejoint ensuite son aimé les yeux reposés.

– Une eau florale démaquillante au bleuet visage et yeux. Sans rinçage, sans paraben et sans alcool (la sobriété incarnée, quoi), elle démaquillage sans irriter. C’est parfait.

J’ai testé pour vous ces deux nouveautés et malgré mon côté ronchonnant je n’ai rien trouvé à redire. Aussi, afin de fêter ce positivisme débordant et exceptionnel, je vous propose de gagner ici-même 5 coffrets comprenant ces deux produits doudous, pour que vous aussi vous puissiez les découvrir.

On laisse un commentaire jusqu’au 18 avril – 20h pétantes, et Nounours, cet être juste et magnanime (il est prof de Latin), désignera les 5 gagnant(e)s d’ici la fin de la semaine. Inch’Allah et bonne journée !

EDIT : Hop, voilà les 5 gagnantes : Marie Royer n°104, Nanikaa n°92, LZA n°62, Marie n°60 et Cleopatra n°57. Vous m’envoyez vos coordonnées postales par mail svp ?

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Le pantacourt en héritage

14 avril 2013

Vous vous souvenez de ce pantalon Zara, acheté à Barcelone, que Nounours avait dit qu’il me faisait un beau cul mais que #ohwait il était transparent du cucul ? Et bien le voilà !

Oh, bien sûr, aujourd’hui vous ne verrez rien de mon côté pile, et la couleur blanc de poulet de supermarché de mes jambes vous fera sûrement frémir d’horreur, je le sais déjà.
Mais même si on se sent un peu fébrile de dévoiler autant de peau pour la première fois de l’année (t’es sûr, cette fois je prends pas mon écharpe ?), que ma cheville est encore un peu branlante sur des talons pourtant pas très hauts et même si ce futal, en fait, bah il est moyen seyant hein ?

Et bien tout ça n’a pas vraiment d’importance, parce que figurez-vous qu’avec Cyclamen on a adopté le pantacourt de quinconce (ou était-ce de concert ?) dimanche, sous le soleil parisien.

Et parce qu’une telle harmonie vestimentaire filiale c’est tellement beau que j’en aurais presque chialé (les hormones), j’ai décidé de vous en faire profiter. Sous le soleil exactement.
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