OHLALA. C’est la déprime / It’s depression, le bronzage se fait la malle (en plus j’ai un bouton), il fait presque nuit dès la fin de l’apéro et j’ai mis des chaussettes. Et en plus j’ai un bouton (je vous ai dit ?).
Mais comme à chaque problème il y a une solution – un peu comme chaque pot son couvercle, ou le corbeau et le renard (fable) – j’ai enfilé mon jean-huilé-qui-fait-bien-gaulée, un top de la galaxie (si !) et saisi mon nouveau sac noir, au postulat sobre et minimal.
Est-ce que ça va mieux pour autant ? Tant que ce bouton ne sera pas parti, ça ira toujours très mal je ne vous le cache pas, mais j’arrive néanmoins à surmonter ce moment difficile avec plus de sérénité.
Et puis, franchement, quand on se pose deux minutes pour réfléchir, on sait bien qu’un bouton ce n’est jamais pour l’éternité. Non, il laisse toujours la place à un autre quand il finit par mourir de vieillesse.
Ça s’appelle le miracle de la vie, et c’est beau. Pensez-y.
 La suite … « Un peu plus près des étoiles »













