Je ne vais rien vous apprendre – à vous autres, les calées de l’Internet -, les ventes privées online sont devenues la raison d’être des années 2000 de la shoppeuse effrénée. Et de la moins effrénée, aussi.
Je confesse, je suis hyper cliente du concept : pour Cyclamen depuis qu’elle est bébé (hop, les bodies par lots de 50 / hop, les chaussures aster fille à moitié prix) et bien sûr pour moi aussi (comment m’oublier ?), mais là je ne vais pas vous faire la liste de tout ce que j’ai compulsé sur les ventes privées depuis leur création, sinon vous allez avoir le tournis…
Zalando Privé m’a proposé de composer un look avec des pièces issues de ses ventes privées. Challenge accepté et aisément réalisé en me connectant tôt le matin pour avoir le maximum de choix, puisque j’ai trouvé là-bas des pièces basiques (c’est tout moi ça, non ?) who do well the lol / qui font bien la blague. La suite … « Lapalissade »
Mes expériences avec le caviar se résument à la Noël, quand il se retrouve mêlé à quelques œufs brouillés ou cocotte (même si chez nous, on est plutôt #teamfoiegras), et aussi à quelques dégustations chez Petrossian, grâce au blog.
D’ailleurs, c’est surtout au restaurant Petrossian que j’ai appris à l’apprécier (#teamfoiegras certes, mais #teamsnob avant tout).
Aussi, c’est complètement intriguée que j’ai répondu présente quand Caviar de Neuvic m’a gentiment invitée, la semaine dernière, à venir découvrir les secrets de fabrication du caviar Français – Cocorico et boule de Montebourg. Blague à part, c’est pas tout les jours qu’on assiste à la renaissance du caviar d’Aquitaine.
Bref, Laurent Deverlanges, le fondateur de Caviar de Neuvic, est un pionnier de cette nouvelle culture du grain noir.
Il est fasciné par les poissons depuis sa plus tendre enfance, et avant de créer sa propre marque il y a deux ans, fournissait les plus grands en marque blanche… notamment Fauchon, qui posait sa jolie étiquette sur les produits… et multipliait son prix par 1000 (le marketing nous tuera, les gars). La suite … « Caviar de Neuvic : le caviar français »
Bonjour. La chaussette qui brille est devenue l’accessoire incontournable pour habiller ses pieds d’une touche de wizzz.
Car oui, souvent on n’ose pas sortir de chez soi en habit de lumière – le costard de CloClo ou la robe boule-au-plafond de Dalida, ça fait désordre pour aller au bureau -, mais cette petite touche de lurex en dit long sur notre caractère festif… malgré nos habits austères.
Bref, la chaussette en lurex on adore. Mais Mon Dieu, où la trouver ? ne manquerez-vous pas de me demander, avec cet air angoissé qui vous caractérise si bien.
Soyez heureuses, mes stressées chéries, puisqu’on trouve des chaussettes en lurex un peu partout, même si ces dernières entrent dans la catégorie des trucs qu’on aperçoit toujours quand on s’en fout… et qu’on ne trouve jamais quand on en cherche désespérément (les petites putes).
Du coup, pour vous aider dans vos démarches, voilà une liste qui, je l’espère vous aidera à marcher au pas ! La suite … « Où acheter des chaussettes en lurex ? »
Salut la compagnie. Si ça se trouve, vous faites le pont et n’allez même pas lire ce billet. Quel gâchis. Que de désillusions dès ce lundi matin. Enfin, j’imagine que c’est ça la solitude des artistes maudits, donner des représentations devant des salles vides.
Bref. Aujourd’hui, j’avais envie de parler du kaki. Pas le fruit, mais plutôt ce coloris militaire qui reste un de mes favoris depuis des années – souvenez-vous de cette veste E2 La Redoute, le meilleur plan de l’univers – et qui revient en force cette saison.
Alors oui, on lit beaucoup de conneries dans les magazines, comme quoi « le kaki est le nouveau gris » (ce genre de postulat est assurément énoncé pour rassurer le lectorat daltonien), ou autres analyses très sérieuses du genre « Toutes à l’armée ! », etc… La suite … « Sir Yes Sir : le manteau kaki »
J’ai déjà eu l’occasion de fréquenter des « divas », des vraies – je ne parle pas de moi quand je me prends pour Isabelle Adjani, bien sûr. J’ai même collaboré un temps avec un spécimen de compétition, DA d’une grande maison parisienne.
Au début c’est rigolo – le mec est tellement persuadé d’être une star qu’il nous auréole de sa puissance divine -, ensuite on finit par être emporté par cet ego, jusqu’à l’écoeurement. Le mien, de diva, se prenait pour le fils spirituel de Cartier-Bresson et ne comprenait pas qu’on puisse porter de la maroquinerie d’un autre fournisseur que Hermès.
Bonjour c’est Brian, et excusez moi par avance pour le ton sola, solognote ? solanelle ?, pour le ton triste, mais vous n’allez pas me croyer, nadège n’est pas morte. Comme le punk, nadège’S NOT DEAD. On peut le dire que notre vie est pleine de rebondissement.
Je vous racontais l’autre foie que nounouille était morte (elle l’est toujours, elle), et que nadège aussi, et bien patatra, cette patate m’avait mentie.
En fait, elle avait prit un sosie pour la remplacer dans le petit cercueil où que je l’avais plié en 5 (souvenez-vous). Quand j’y repense, je me dis tu es bien sot brian (c’est moi), tu n’y as vue que du feu.
Donc, elle avait prit un sosie, car elle en avait marre de la vie et voulait tout quitté, la mort de nounouille a été le déclic à sa fuite. Comment je m’en suis rendue compte que nadège était pas morte vous aller me demander.
Et bien, j’ai reçu un message anodine qui disait que la personne qui avait écrit le message anodine (je sais pas si je suis claire, mais les émotions me brouilles l’écriture) l’avait croisé à la boulangerie de son village. Ni une ni deux j’ai pris ma voiture (je suis sponsoriser par Fiat 500 qui m’a prêté une caisse en échange de 18 articles ici, violette serait fier de moi) et j’ai foncer au village où la personne qui avait écrit le message anodine l’avait vue (nadège).
Je me suis garer sur le parking de la mairie, j’ai couru jusqu’à la boulangerie et là comme de par hasard, nadège avait une tradition à la main. Je l’ai reconnu comme ça, car elle ne mange que de la tradition, la farine de blé normale (et pas tradition) la rend allergène.
On est tomber dans les bras de chacun, et nadège a dit pardon pardon pardon (plein de fois) mon Brian, mais je voulais quitté ma vie qu’était trop douloureuse.
j’ai dit que je comprend sa douleur et on a décidé de refaire notre vie dans ce village, qu’est pas en Vendez (c’est un vrai déracinage), mais en Lorraine. Demain on achètera des sabots pour faire comme dans la chanson, vous connaisser ? En passant par la lorraine avec mes sabots;… la la la. pardon, je suis écrivain pas chanteur.
Quel aventure me direz vous. C’est vrai, mais c’est dans les épreuve de la vie qu’on devient forgeron, non ?
Bon, je vous dit à très vite, j’ai encore 17 article sponsorisés à pondre pour Fiat 500.
Brian Affluence.
PS : pour celles qui m’ont envoyer des lettres d’amour suite à mon dernier article où je croyait que nadège était morte, je suis désoler, mais je ne peux plus vous répondre. On remet les cartouche à plus tard.