✔ Commençons ce nouveau JJG dans une ambiance pop acidulée avec cette collaboration entre André et Apologie.
Bon, comme souvent, il y a à boire et à manger, mais cette paire d’escarpins « ananas » est quand même un peu démente. Si en plus on brûle nos graisses tout en étant trendy des pieds, on n’a plus qu’à jeter les magazines marronniers de l’été.
Dans ma liste de trucs que je possède depuis des années et que je porte toujours avec délectation – comme tu y vas Violette ! -, il y a ces boots André, pourtant pas bien jobardes (qui écrit encore jobardes en 2016 ?!!)(<=moi).
Je les avais achetées en soldes, genre 25€, en 2010. Elles font le pied tout rond, petit, mignon et me vont comme des chaussons, mais je leur avais déjà dédié un article il y a 4 ans, alors sus au doublon !
A part ça, comme vous pouvez aisément le constater, je suis toujours aussi débraillée/décoiffée en campanule, même si parfois j’ose la jupe – wahou – quand je dois rencontrer le fermier du coin (on discute du marché bovin, je ne peux décemment pas faire ça en jogging si je veux être prise au sérieux dans mes nouvelles fonctions agricoles). La suite … « Claude(s) »
Au niveau du quotient edgy, je suis parfois – Brian soutient que c’est plutôt « toujours » que « parfois », quel trouble-fête ce vendéen – une vraie imposture. C’est le cas aujourd’hui puisque je viens tout juste de terminer ce bouquin, deux ans après sa sortie. Qu’est-ce qu’on s’en fiche.
☞ La quatrième de couv’
À l’origine, Bénédicte Ombredanne avait voulu le rencontrer pour lui dire combien son dernier livre avait changé sa vie. Une vie sur laquelle elle fit bientôt des confidences à l’écrivain, l’entraînant dans sa détresse, lui racontant une folle journée de rébellion vécue deux ans plus tôt, en réaction au harcèlement continuel de son mari. La plus belle journée de toute son existence, mais aussi le début de sa perte.
Récit poignant d’une émancipation féminine, L’amour et les forêts est un texte fascinant, où la volonté d’être libre se dresse contre l’avilissement.
Parce qu’il n’y a pas que la moderie – malheureusement – dans la vie, voilà une petite sélection pour la maison. On ne travaille pas, il faut bien qu’on s’occupe (déjà qu’on coud pas NOUS-MÊME les rideaux)(la première qui répond « Si, moi » je la bannis d’ici à vie).
Chez moi j’ai le n°8, que j’utilise pour le café de l’après dej – (beaucoup) trop souvent accompagné de Nounours à la guimauve, mais comme quelqu’un m’a dit sur instagram que ces petites merdouilles n’étaient pas si caloriques, on me reprend souvent à replonger la main dans le sac… Ah mais oui, attends, je viens de regarder c’est 55 calories le Nounours. C’est RIEN.
Et comme je sens que ma vaisselle vous fascine, je possède également le n°2 dans sa version pot à sucre (que vous pouvez voir en cliquant sur le lien « instagram » plus haut).
Voilà qu’on partait pour un truc à la Art & Décoration et qu’on se retrouve avec un billet borderline du diabète. Vous me tuez.
1. Patère en bois AM.PM | 2. Mug Enjoy Miss Étoile | 3. Torchon homard Anthropologie | 4. Mug monogramme Anthropologie | 5. Paniers Trebla AM.PM | 6. Ananas Bloomingville
Mais ?! Vous avez mangé beaucoup trop de chocolats, c’est ça ? Le blog tangue dangereusement vers l’arrière, aujourd’hui, à cause de vos boules (vous m’aurez TOUT fait).
Tiens, justement, pour cacher habilement des excès chocolatés, quoi de plus astucieux que de porter la salopette, combinée à cette sempiternelle veste de Lady Chatterlay afin de lui ôter tout côté plombier ?
C’est en tous cas mon pari. Joyeux mardi. La suite … « Cache-misère »
Yo. L’autre soir, je me suis rendue à une réunion d’information au collège, qui portait sur le choix d’une deuxième langue dès la 5ème (réforme des collèges, you know).
Je préfère passer sous silence le discours du prof d’allemand qui assurait que si si sa langue était parlée dans plein d’autres pays dans le monde « L’Autriche, la Suisse, euh, et voilà, toute l’Europe centrale quoi ! » (…)(???!), l’absence de la prof d’Espagnol (peut-être c’était l’heure du pan con tomato en terrasse ?) et du discours de l’enseignante en chinois qui disait qu’elle essayait d’emmener ses élèves au cinéma chaque année quand, bien sûr, des films chinois de leur âge étaient diffusés (pas depuis deux ans hélas)(bon, jamais quoi). La suite … « Je travaille (moi) »