Un week-end dans les Corbières : les Jardins de Saint Benoît

Salut. J’ai passé le week-end dernier à la fraîche, entre verres de rosé et… verres de rosé dans les Corbières (juge et flic)… Les copains, vous ne pouvez imaginer comme ces parenthèses enchantées loin de Paris me font du bien, même si je rentre toujours un peu bouboule à cause de l’abus d’alcool qui est dangereux pour la santé (et de saucisson).

Néanmoins, vous allez être fiers de moi car j’ai évité la lucite estivale, mais par contre mon épaule droite ressemble désormais au gyrophare de Kitt, la voiture de David Hasselhoff dans K2000. Enfin, comme je dis toujours, les coups de soleil ça devient beige deux jours après, c’est donc que du bonheur.

Bref, j’ai donc été invitée deux jours aux jardins de Saint-Benoît qui se trouvent dans une charmante contrée répondant au doux nom de Saint Laurent de la Cabrerisse. Késaco ces jardins ?

Ce sont des petites maisons de village et vigneronnes qui se positionnent autour d’une bastide, au milieu des oliviers, et puis histoire de se remettre de toutes les émotions vinicoles et glandophiles autour de la piscine, il y a même un SPA pour décompresser. La base, ouais.

Je reviendrai sur ma visite du Musée d’art contemporain de Serignan en fin de semaine, car je sais que vous adorez les articles qui parlent de culture…

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Week-end à Lisbonne en amoureux : mes bonnes adresses

C’est toujours moi, les copains. Me revoilà avec la suite de mon séjour à Lisbonne.

Bref, j’ai vraiment beaucoup aimé cette ville, même si je l’ai parcourue un parapluie à la main la moitié du temps et qu’une cité du sud sous la pluie, c’est quand même une grosse hérésie qui devrait être punie par 100 coups de fouet de Catherine Laborde. Oh oui, fouettez-nous Sainte Catherine…

Alors, Lisbonne séduit donc dès le premier coup d’oeil. Mais c’est aussi une ville « facile », beaucoup plus que Madrid la rivale mystérieuse. Sitôt débarqués du grand oiseau métallique, le dépaysement est bien là ; murs pastels, collines et tramways font le reste.

Comme je ne suis pas très douée en radioguidage touristique, je ne saurais que trop vous conseiller de balancer guides et autres Routards dans le Tage, et de muser le nez au vent à travers la ville. Chaque quartier cache sa pépite, des drôles d’endroits où se mélangent vrais gens et touristes, car oui, Lisbonne est une ville très touristique (surtout à Pâques – paye ta chrétienté).

Surtout, pensez à vous chausser confort ! On marche beaucoup à Libonne ; j’ai ramené des courbatures au cul en souvenir.

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Un week-end de 3 jours à Lisbonne

 

Salut la compagnie, c’est moi. Je suis allée passer 3 jours à Lisbonne, en amoureux. C’était bien.

Comme j’ai plein d’acouphènes dans les oreilles qui font rien qu’à ronronner depuis l’atterrissage musclé de hier soir, je suis un peu ronchon des écoutilles, alors je vous propose un jeu de cartes postales. Et demain (ou genre demain), je vous donne quelques adresses de là-bas, si toutefois ça vous intéresse. D’ailleurs je ne comprends pas pourquoi le petit Jésus m’a punie de l’audition : j’ai quand même passé un dimanche de Pâques à Lisbonne, c’est pas comme si je n’avais pas fait le plein de chrétienté pour les dix ans à venir. Bâtard.

Pour vous faire passer le temps, juste deux anecdotes amusantes, vous allez voir.
– Sitôt débarqués dans la capitale du Fado, nous nous ruâmes dans un rade pour goûter la morue locale, sur le coup des 14 heures. C’était très bon cette connerie de poisson ; par contre c’est jamais déssalé là-bas, et on a donc cru qu’on avait bouffé la mer morte tout l’après-midi. Verdict : ne jamais manger de morue avant de faire les montagnes russes de la ville, sous peine de finir aussi salés qu’elle (la morue, I mean).

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Un week end à Madrid : photos

Hola la compagnie, me revoilà. J’étais donc partie 3 jours à Madrid et le moins que l’on puisse dire c’est que la ville n’est pas spécialement commode d’approche. J’entends par là que Madrid mérite sûrement qu’on s’y attarde plus longuement qu’un week-end prolongé, mais bon, on va pas squatter le Prado comme des vulgaires va-nu-pieds, alors je suis repartie comme une princesse, un peu sur ma faim.

De toute façon, même dans le Berry je serais heureuse moi. Du moment que je m’échappe des pots d’échappement et des castes pseudo-branchouilles de la capitale. Voyez comme je suis pas si socialite, en somme.

Bref, j’ai fait comme à chaque fois que je connais pas une ville : j’ai marché. J’ai toujours pensé que c’est le meilleur moyen pour se perdre dans la cité qui m’accueille et tomber sur des bidules de la vraie vie qui sont pas dans les guides. Ouais, okay, j’ai aussi croisé des endroits genre « Tour Eiffel », mais la preuve que j’ai pas passé mon temps le nez dans les monuments ibériques : j’ai quasi que des photos de bouffe et de vieux dans mon escarcelle.

Si ça se trouve je suis en train de devenir un blog géronto-culinaire. Si ça se trouve, c’est LA NICHE où on se fait le plus de blé sur l’Internet. Je suis en train de piller toute la blogosphérie du beau sexe. Je savoure mon succès à venir.

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Amsterdam : le royaume du cupcake

Ecoute, puisque vous voulez tout savoir, ce n’est pas en Hollande que les critiques gastronomiques vont s’enrichir. Ah ça non ! Il faut dire que nous sommes mal habitués, nous autres français, à manger de la merde. C’est donc avec une arrogance non dissimulée que nous faisons des têtes de 10 kilomètres à pied lorsque le menu apparaît sur la table made in Batavie.

Forcément nos souliers sont usés à force d’estomacs dans les talons (décalage culinaire oblige), mais si il y a bien une chose dont ils sont les rois, c’est la pâtisserie. Attention malheureux, pas n’importe laquelle de pâtisserie, j’entends la crémeuse, la jolie, la kitchissime. C’était tellement beau que j’en aurais chialé d’impuissance moi qui rate la préparation à flan Alsa depuis l’âge où je sais tenir une spatule en Teflon.

Regarde que même dans les boutiques easy-branchées, on te propose gentiment de « taker a cupcake ». Amsterdam est le royaume du cupcake !
« No thank you« , je répondais poliment, « I just want to buy something. Anything. Don’t even think to mention cupcakes, it’s so 2009 in french blogospherie hi hi ! » Et je multipliais les hauts-le-coeur…

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