Bon. Euh. Je ne vais pas être prolixe cette semaine, je suis malade. Dans le sens TRÈS MALADE, bien sûr, sinon vous pensez bien que je ne vous embêterais pas avec un rhume banal…
J’ai le cerveau tellement rempli de morve (pouah, Violette, noooonnn !) que chaque action du quotidien me prend 2 heures au bas mot. Même m’habiller. Du coup, je reste en legging au coin du feu, en attendant que la pneumonie m’emporte – je me demande, quand même, si je n’en fais pas un peu trop ? La suite … « Pouce ! »
Ce samedi matin là, je partais à un événement un peu sapé. Comme souvent (toujours), la petite robe noire me sauve la mise, mais si on jette par dessus encore un truc noir, il n’y a pas loin de nous imaginer jouer les éplorées derrière un cercueil (alors que pas du tout, la vie n’est que pluie de jonquilles).
Du coup, j’ai innové du coloris en sortant pour la première fois mon manteau Iro. Des boots et une petite pochette collector plus tard, j’étais parée pour faire le marché.
On ne dit jamais assez que la nonchalance de l’habit ne s’accorde pas forcément au panier tressé. Je vous laisse méditer. La suite … « Jour de marché »
Et si je vous collais un petit coup de miroir pour vous présenter une robe ? Non ? Trop tard.
J’avoue que je fais un peu collégienne Mormone sur le retour, mais je vous le dis quand même, j’aime. Parce que rien n’est plus simple que d’enfiler une robe imprimée sur une paire de collants opaques pour se sentir d’humeur primesautière.
Quand en plus on chausse des mocassins plats pour gambader sur le pavé, on se sentirait presque pousser des ailes. Attention, toutefois, à ne pas lever les bras trop haut en partant dans les airs, on risquerait d’apercevoir la salle de jeux…
On ne va pas y échapper, ça va bientôt cailler. Bientôt, là, demain, il fera nuit à 5 heures, on fera une dépression en mangeant tristement notre soupe au coin du chauffage d’appoint – notre amant, Charles, sera allé couper du bois pour réchauffer Manderley (un petit mix de références fera toujours passer la pilule hivernale, sachez-le).
Bref. Pour éviter, en plus de toute cette misère, l’angine et les oreilles qui tombent, voilà une sélection d’écharpes et de bonnets. Évidemment, on pourra faire son shopping cachemire chez Bompard où on ne sera jamais déçu par la qualité. Pour l’accueil en boutique, en revanche, ça n’est pas pareil…
Mais on pourra aller voir aussi du côté de chez COS pour un bonnet tout doux, chez Mango pour du cachemire à prix serré, ou encore chez Zara pour afficher de la (fausse) fourrure à son cou.
Enfin, pour faire joli sur Instagram, on n’hésitera pas à compulser ce bonnet rose chez American Vintage…
Vive le vent d’hiver. Finalement.
1. et 5. Snood 100% cachemire Eric Bompard180€ | 2. Bonnet rose American Vintage40€ | 3. Bonnet 100% cachemire COS55€ | 4. Écharpe en cachemire mélangé H&M50€ | 6. Écharpe 100% cachemire Mango60€ | 7. Bonnet en laine d’agneau Asos17€
8. Bonnet en cachemire & Other Stories45€ | 9. Écharpe 100€ Cachemire COS69€ | 10. Snood en maille moutarde Zara9,95€ | 11. Écharpe en mohair rose Mes Demoiselles185€ | 12. Snood en fausse fourrure Soft Grey27€ | 13. Bonnet 100% cachemire Mango36€ | 14. Maxi écharpe en fausse fourrure Zara 60€
Salut les jeunes. Il y a beaucoup trop d’infos dans ce look, je ne sais déjà plus par quel bout commencer, ça promet. Du coup, je vais vous mettre des tirets (on se croirait à l’école, quelle déprime).
– Bon, alors, je commence avec ce chemisier lavallière pas vraiment lavallière (voyez, je vous l’avais bien dit que tout était compliqué aujourd’hui).
On ne va pas se mentir, même si vous me voyez de temps à autre en stilletos sur le blog, il est extrêmement rare qu’ils m’accompagnent toute une journée pour arpenter Paris. No way, je ne suis pas cobaye ampoules et cors aux pieds !
En revanche, je porte régulièrement des escarpins quand je me rends à un rendez-vous/soirée/dîner en taxi, ou quand il n’y a pas de trajet de 5 kms (#TeamMarseillaise) à faire à pied.
Car oui, à part pour une paire ou deux, il y a quand même toujours un moment où la cambrure et la hauteur me font traîner la patte. Et où je balancerais bien l’objet de torture dans la première poubelle venue pour enfiler une paire de UGG.