Autant être aussi claire que de l’eau de Quézac élevée au grain, on m’a demandé de commenter, deux fois par mois, un article qui m’a plu, interpellé, que sais-je, dans Courrier International.
Pour une fois, mes intentions sont nobles, puisque j’ai accepté pour des raisons autres que pécuniaires. Voyez comme je deviens raisonnable comme fille.
Déjà, j’avais envie de redécouvrir ce canard auquel j’étais abonnée durant mes premières années de fac (celles où on s’y croit) et que j’avais lâchement lourdé en fin de parcours universitaire (là où on voit la porte de l’ANPE se profiler à l’horizon).
Et puis aussi, ce sera peut-être l’occasion de traiter de nouveaux sujets ici, parce que ça va bien, mais on a pas toujours l’inspiration galopante, nous autres gens du web.12