C’est le coeur battant comme une porte du même nom avec un « e » à la fin, que je me suis rendue au kiosque, ce matin, pour acheter mon Voici.
Je le sentais bien qu’aujourd’hui ne serait pas un jour comme les autres, et qu’une terrible nouvelle m’attendait sur papier glacé. Le pressentiment qu’un grand malheur allait m’arriver, un peu comme quand je retrouve mon vernis écaillé après un après-midi de jardinage, avec les primevères.
Les aminches, ça a pas loupé !