Un amour impossible

Il aura fallu tout ce matraquage médiatique de la rentrée. Tous ces articles de magazines où elle paraissait si apaisée et même certains passages TV dans lesquels elle a eu, parfois, presque un air amusé, pour que je finisse par acheter mon premier Christine Angot. De guerre lasse.

Au premier tiers du livre, je me suis arrêtée un instant et j’ai pensé que le style n’était pas très littéraire, mais extrêmement narratif. Je me suis replongée aussitôt dans ce récit vif, rythmé, précis, sec et sans pathos, s’étalant sur presque un siècle, et racontant l’histoire d’amour entre un homme et une femme, les parents de Christine Angot.

Au deuxième tiers du livre, j’ai dit mais non en fait, l’objet central du livre c’est l’amour entre une mère et une fille : l’amour inconditionnel, l’amour perturbé, l’amour agacé, l’amour à la folie, le désamour parfois – du coup de fil expédié jusqu’au rejet complet du mot « maman » -, mais l’amour malgré tout.
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Exclu : visite de l’appartement Sézane

appartement sezane

Hi guys ! La semaine dernière, Morgane (la talentueuse créatrice de Sézane) m’a proposé de venir visiter en avant-première « L’appartement Sézane », qui ouvrira au mois d’octobre prochain.

Parce qu’il n’est pas toujours facile de commander ses sapes sur Internet, Morgane a ainsi voulu proposer à ses clientes un store to web, un endroit où on peut essayer à cœur joie, tâter les matières ou bien enfiler les escarpins graou devant lesquels on bave depuis des mois par écrans interposés. Bref, voir les productions Sézane in real life.

Attention, ce n’est pas une boutique « classique ». C’est à dire qu’on ne pourra pas repartir de là avec son sac en papier recyclé bourré à craquer (oui, oui, on vous connait niveau démesure !) ; mais on pourra passer commande, bien sûr, et même se faire livrer gratuitement par coursier à Paris, dès le lendemain de notre visite.
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Le Jean-Jacques Goldman (84)

mr wonderful

✔ Joyeux mardi, voilà le JJ !
J’ai récemment découvert une e-boutique (espagnole, mais là n’est pas le sujet) qui produit toutes ces petites choses qui ne servent strictement à rien – donc indispensables -, dont je raffole. Là-bas, chez Mr Wonderful, tout est neuf et tout est sauvage.

Mais on y trouve aussi des mugs qui plairaient à Chantal Goya ou des jolis carnets à messages qu’on laisse nonchalamment traîner. Sûr que vous allez craquer.
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Blue jean, striped shirt

pochette prada

Vous l’avez sans doute remarqué – ah oui, pardon, bonjour -, je mets souvent dans mes sélections shopping des jupes-culottes ou autres jeans un peu hybrides, courts et plutôt larges. Tout ce que les hommes aiment, en somme.

Il y a quelques années, bien avant les internets du blog, j’avais trouvé une sorte de graal de ce style chez H&M… que j’ai égaré dans un déménagement. Comment perd-t-on un jean, vous demandez-vous très légitimement. Je vous en pose des questions HEIN !!

Bref. J’ai récemment mis la main (et les fesses)(quel humour) sur CE jean, commandé en un double-clic sans même l’essayer. Vous voulez que je vous dise ? Oh oui, dis-nous.
Il est parfait.
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Good vibrations : mes bonnes résolutions

bonnes resolutions

Je pourrais vous mentir – oui, oui, je suis Soleil des Internets, mais j’ai quelques vices cachés -, et vous assurer que je suis une vraie punk de la rentrée. Que je ne prends jamais de bonnes résolutions quand vient la fin de l’été et du rosé, que tout ça c’est bon pour les filles rangées. Et que j’aime déranger, tout bousculer et inverser.

Malheureusement, je suis d’une banalité sans nom dans ce domaine. Le 1er janvier je m’en fiche.

En revanche, septembre m’inspire toujours pour me lancer dans des chantiers. Place à ceux déjà entamés, voire même réalisés !
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Histoire d’Optique

eponyme boots

Bon. Comme je ne porte pas de lentilles – toucher mon oeil avec mon doigt, c’est pire que mordre dans une fourchette -, je me suis résignée aux lunettes, depuis des années.

Je sais que certains adorent s’amuser quant au choix de leurs lorgnons (monture fluo, ailes de papillons strassées, etc…) ; moi je vais toujours au plus basique. Souvent du noir et une monture plastique, histoire de ne pas focaliser l’attention sur ma myopie (j’ai d’autres attributs bien plus sexy)(mes chevilles ?).

Et puis je me demande souvent à propos des lunettes quels modèles pour quels visages ?

Je sais aussi, à force, que seules les grosses montures me vont. Voilà pourquoi je me sers bien souvent au rayon masculin, sinon j’ai vite fait de ressembler à Melle Beadle, l’institutrice de Walnut Grove.
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