Le 6 juillet dernier, je vous contais l’histoire d’une robe où que je ressemblais à un santon dedans (la robe).
Oh, tu sais, on ne me la fait pas à moi, puisque j’ai bien senti que la frustration était immense chez le lectorat de ne point pouvoir mirer sur ce journal intime du web 2.0, l’objet de la risée.
J’ai donc décidé de remédier à cette négligence, que dis-je à cette paresse, de la part de votre serviteuse.
C’est ainsi que maintenant, tout de suite, sous vos yeux globuleux, here it is la robe « santon » :
Alors, écoute, puisque tu me le demandes, c’est une petite robe longue toute simple, en cotonnade sans prétention, de fabrication ibérique.
Zara, quoi.
Hein ?
Pourquoi j’ai acheté ça ? Là n’est pas le propos.
Le propos, c’est qu’avec cette petite pute de robe tout le monde fait du 44/46. C’est la première robe démocratique qui mettra toutes les gonzesses d’accord.
(Christine Boutin est en train de plancher cet été sur le sujet, pour voir si on peut pas l’imposer comme uniforme féminin pour aller bosser. Ainsi, la productivité augmentera de façon conséquente dans les entreprises, puisque les hommes pourront enfin travailler plus, et reluquer moins).
Oui, mais voilà. Il y a un MAIS dans l’histoire de la robe « santon » !
Effectivement, si celle-ci vous prend de la taille pour vous transformer en sac, elle vous donne, de l’autre côté, une paire de seins atomique.
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