Sus aux idées reçues que le trader ou assimilé serait un homme au costume foncé irréprochable. Le trader ne possède pas toujours la gueule d’amour de l’ambitieux Charlie Sheen dans Wall Street, devenu, depuis, obsédé sexuel.
Non, tout le monde n’est pas Gordon Gekko, l’homme qui a le cigare chevillé au rictus dominateur. Non, des gens se sont battus de leurs petits poings rageurs pour garder leur vraie personnalité malgré la pression incessante liée à la profession, à Brognard. Et c’est tellement beau que ça méritait d’être souligné. La suite … « Les traders sont sympa, en direct du Palais Brognard »