La robe de mariée de Carla Bruni

Alors puisque ça veut faire son intéressant ici, que ça fait rien que critiquer la complexité d’un concours génial, tu l’auras voulu.
Tu l’as eu.

Et moi j’optimise la requête google du moment, ça t’apprendra.

 

Alors, la gonzesse, dans la robe, c’est pas Carla, ça c’est sûr. Alors elle était comment la robe de mariée de Carla Bruni ?

Dans le JDD, il disent « robe blanche Hermès, ourlée à la hauteur des genoux d’un galon bleu marine de 10 cm de largeur« .
Donc y’a des chances que ce soit celle-là. La robe. Mais c’est pas du 100%.

Bref, on en sait rien.
Et on s’en tamponne.

Puisque l’essentiel de la vie blogosphérique, cette semaine, c’est ça.

33

Le Gainsbourgscope : un Nabaztag à gagner !

 

Oui.
Ça faisait longtemps.

Alors, koitesse ce nouveau concours que tu en as l’eau à la bouche ?
C’est très simple.
Il s’agira, sur une feuille de format A4… on peut plus déconner ?

Je reprends.
Il s’agira de m’envoyer une photo (artistique, pas un truc vulgaire ou bricolé à la va-vite entre deux émissions de M6, un soir) illustrant une chanson de Serge Gainsbourg.
Vous pouvez vous mettre en scène. Ou non. C’est comme tu veux.

Je sens qu’un exemple s’impose pour le petit Brian, au fond de la classe.
Donc l’exemple : Prenons, au hasard, « les sucettes ». Bon ben voilà quoi, t’as compris, mais tu le fais de façon jolie. Tu me fous pas de la Chupa Chups achetée chez l’arabe en bas de chez toi, on est d’accord ?!

Si certains choisissent d’illustrer « 69 année érotique« , on évite de tomber dans le porno, y’a un standing ici, faudra le répéter éternellement ?

Modalités :

– Vous avez jusqu’au mercredi 13 février 2008, 23h59, pour m’envoyer vos photos, par mail. Et pas tout le monde se bouscule à 23h20.

– Merci de légender la photo. C’est à dire, toujours pour Brian, me dire de quelle chanson il s’agit.

– Je préviens tout de suite que, vu le présent, on pourra pas tricher. S’il le faut j’engagerais un stagiaire pour recenser les adresses IP.
Par contre, vous pouvez faire de la pub sur vos blogs. On le sait, un peu de trafic ne fait jamais de mal !

Cadeau :

– Il n’y aura qu’un gagnant pour cette édition. C’est dire si la pression est insoutenable.

– Le cadeau, c’est le Nabaztag by André by Violet (merci de prononcer « Vaïolette« , comme moi, quoi ! Oui, c’est du délire cette coïncidence)

– By the way, c’est lui :

 

Et pour que tu ne t’effarouches, mais un peu quand même, je précise que je serai intransigeante (oui, Madame !) sur la qualité des compositions artistiques envoyées. Ne vous déplaise !

Bordel, on parle quand même de Gainsbourg ici ! Et t’as vu le niveau du cadeau, aussi ? Et du blog ? Et de la fille qui tient le blog ? Et du melon de la fille qui tient le blog ? Et des pépins du melon de la fille qui tient le blog ? Et de la petite cuillère qui enlève les pépins (parce que c’est pas très bon) du melon de la fille qui tient le blog ?
Vous êtes pénibles, le lectorat, c’est dingue !

137

Les résultats du concours Ludéal

 

Bon.
Tu vois pas que je suis embêtée avec vos histoires, car finalement y’avait pas que 4 histoires qu’étaient biens.
Oui, mais hein, faut faire un choix !

Les gagnants du concours Ludéal, qui ont gagné un album :

1) Bean
Je crois que là, y’a même pas à se poser la question, y’a du niveau.

« Moi quand j’étais au lycée, les gens me crachaient dessus, ils mettaient du chewing gum et des mentos machouillés dans mes cheveux, et le seul gars qui restait près de moi, c’était jean-michel.

Jean-michel était particulier car il nouait consciensieusement son anorak autour de son cou, et se prenait pour superman. La morve au nez en plus…

A 16 ans… »

2) Marie au net
Parce qu’elle a fait un poème. Oui, y’en a qui se cassent le cul plus que d’autres (je ne cite personne). C’est pas du Prévert, mais quand même !

« Le lycée,
Premiers joints, premieres clopes,
Vive les petites syncopes!
Les garçons, les hommes passent
On est à ras la tasse.
Et si les parent crient
On s’en fou ton en rit!
Toujours des maladresses
Téléphone à fond la caisse
sur le jukebox du bar désert
On se met à l’envers
Pendant qu’on sèche
On oublie qu’c’est la dèche
Encore quelques mois
Ca sera derrière soi. »

3) Happy Few
Parce que. Quoiqu’elle raconte, elle le raconte bien. (Et aussi elle est prof. On connaît les salaires. Ca fait cher un CD. Tu me diras ouais, mais ils ont les vacances. Oui. Mais c’est pas une raison)

« Mon meilleur souvenir de lycée c’est quand je me suis présentée à l’oral de latin attifée comme un pot de fleurs, avec des cheveux orange rapport à la teinture blonde qu’avait viré (j’ai appris depuis que blonde jamais je ne serai à cause de ma matière capillaire et ça a ruiné ma vie, n’ayons pas peur des mots).
J’étais sexy comme un camion, belle comme un flamboyant automnal (ça c’était à cause du tailleur pantalon blanc avec des grosses fleurs roses et vertes, que franchement c’était la classe, surtout que la veste était à basque, si, si, je te jure).
Je portais à cette époque bénie de l’acné et des lunettes à montures noires rayées de blanc, un vrai bonheur. Mais j’ai quand même eu 19 à cet oral de latin. Le prof était vieux et miro et moi brillante (rapport au gel dans les cheveux, évidemment)… »

4) Macha
Pour la séquence « émotion ». Tu vas croire que je galèje, mais non. La vérité, ça m’a fait de la peine cette histoire. Un jour, je deviendrais la nouvelle Barbara Cartland…

« Mon souvenir de lycée le plus marquant remonte au jour où j’ai entendu ma “meilleure amie” dire à une autre fille, en parlant de moi : “Elle est pas belle, hein.”
Le pire c’est que je l’ai crue et il m’a fallu attendre près de 10 ans et la rencontre avec celui qui est devenu mon mari pour qu’enfin j’admette que je n’étais pas si laide que ça. (sortez les mouchoirs) »

Alors, pour recevoir votre CD, c’est tout couillon.
On envoie un mail à : contact@anolis.fr et on met en objet du mail : concours Ludéal
(bon et on explique en gros la démarche, hein, on n’est pas mal élevés, je te fais confiance)

Une prochaine fois, je ferai un concours moins épuisant.

24

Le dentiste frappe toujours deux fois (minimum)

 

Votre attention, s’il vous plaît, les ascenseurs de la station Lamarck sont hors service.
Bien.
Je répète ? Non, hein.

Ainsi, lundi matin, je me suis réveillée avec une douleur d’un lancinant, en bas à gauche, dans ma bouche !
J’ai dit « oh mais mince alors, s’agirait-il donc de ce que nous avons coutume d’appeler une rage de dents ?
Voire, un abcès ?
 »
Pour l’abcès, j’ai vite évacuer l’hypoténuse, y’a pas marqué hamster.
J’appelle ma dentiste.
touc touc touc touc touc touc touc touc touc touc

(Bruit que fait le fixe pendant qu’il numérote. Oui, il est limite, il a arrêté en première année de Deug)

Alors, ma dentiste, si t’aimes mieux, c’est Bree Van De Kamp/Hodge, en petite et grosse. Et moche aussi.
Bon, en gros, c’est pas Bree, hein !
En résumé, elle est rousse.
Note que j’ai remarqué une étrangeté avec les rousses
(Je ne parle pas ici de la station de ski du Haut-Jura, même si les plaisirs alpins sont d’actualité. Je ne vais pas vendre mon âme au diable pour de la requête google. Non, je ne vais pas ©).
Elles sont soit canons, soit thons. La rousse anodine n’existe pas, apparemment.

N.D.A. : y’a aucune cohérence depuis le début ou c’est moi ? C’est moi, cherche pas. Y’a cohérence.

Bon, donc, pour en finir avec cette histoire dentaire, j’arrive et je dis que j’ai rage de dents depuis 12 heures au compteur.
Elle répond qu’elle doit faire un détartrage et me prend après.
Pourquoi les gens fument, bordel ?

Après, elle annonce que oui, effectivement y’a carie sous dent de sagesse (phénomène assez rare nécessitant d’être souligné pour les besoins du récit), mais que c’est pas en bas, mais en haut !
Je dis qu’on va pas chipoter pour 3 cm de distance, non ? Cette overdose de cartésianisme au sein du corps médical me rend folle !

Enfin, venons-en à la véritable interrogation que souhaite souligner ce billet.
Il y a un truc qu’il faudra qu’on m’explique un jour, c’est comment le dentiste arrive en toute impunité et de façon notoire à t’arnaquer à chaque fois que tu franchis le seuil de son cabinet ; et le pire c’est que tu n’opposes aucune résistance.

Je m’explique.
J’entends, tu vas pas me dire que la meuf, elle peut pas te faire la totale en 45 mn ? Non.
Faut que ça te découpe le soin en 4 rendez-vous minimum !
C’est insensé cette histoire.
« Je viens de vous charcuter jusqu’au nerf, putain je suis claquée, ça m’a pris 10 mn, on se revoit lundi prochain »
Non, mais c’est quoi ça ?

T’imagines chez l’esthéticienne (au hasard) et qu’elle te dit : « pardon, mais pour le maillot, on finira en février et peut être mi-mars pour fignoler, j’ai encore une place » ?

Un jour, il faudra tout se dire (ha non, c’est déjà pris par Benjamin Castaldi, ça).
Je reprends.
Un jour, il faudra s’interroger sur les vrais problèmes de fond, en France. Y’a pas que la Société Générale.

Une prochaine fois, j’irai faire mon frottis annuel chez la gynéco et j’enverrai le prélèvement au laboratoire, dans une enveloppe exprès prévue pour.

115