Un soir à l’opéra, une collection de luxe

guerlain collection noel

J’ai déjà eu l’occasion de fréquenter des « divas », des vraies – je ne parle pas de moi quand je me prends pour Isabelle Adjani, bien sûr. J’ai même collaboré un temps avec un spécimen de compétition, DA d’une grande maison parisienne.

Au début c’est rigolo – le mec est tellement persuadé d’être une star qu’il nous auréole de sa puissance divine -, ensuite on finit par être emporté par cet ego, jusqu’à l’écoeurement. Le mien, de diva, se prenait pour le fils spirituel de Cartier-Bresson et ne comprenait pas qu’on puisse porter de la maroquinerie d’un autre fournisseur que Hermès.

Quand j’arrivais au bureau avec un sac Zara (en cuir, quand même, putain), c’est comme si j’avais vomi sur ses Tod’s sur-mesure. L’éclate, quoi.
Mais je m’égare.
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Nadège’s not dead – Nadège n’est pas morte

nadege is not dead

Bonjour c’est Brian, et excusez moi par avance pour le ton sola, solognote ? solanelle ?, pour le ton triste, mais vous n’allez pas me croyer, nadège n’est pas morte. Comme le punk, nadège’S NOT DEAD. On peut le dire que notre vie est pleine de rebondissement.

Je vous racontais l’autre foie que nounouille était morte (elle l’est toujours, elle), et que nadège aussi, et bien patatra, cette patate m’avait mentie.

En fait, elle avait prit un sosie pour la remplacer dans le petit cercueil où que je l’avais plié en 5 (souvenez-vous). Quand j’y repense, je me dis tu es bien sot brian (c’est moi), tu n’y as vue que du feu.

Donc, elle avait prit un sosie, car elle en avait marre de la vie et voulait tout quitté, la mort de nounouille a été le déclic à sa fuite. Comment je m’en suis rendue compte que nadège était pas morte vous aller me demander.

Et bien, j’ai reçu un message anodine qui disait que la personne qui avait écrit le message anodine (je sais pas si je suis claire, mais les émotions me brouilles l’écriture) l’avait croisé à la boulangerie de son village. Ni une ni deux j’ai pris ma voiture (je suis sponsoriser par Fiat 500 qui m’a prêté une caisse en échange de 18 articles ici, violette serait fier de moi) et j’ai foncer au village où la personne qui avait écrit le message anodine l’avait vue (nadège).

Je me suis garer sur le parking de la mairie, j’ai couru jusqu’à la boulangerie et là comme de par hasard, nadège avait une tradition à la main. Je l’ai reconnu comme ça, car elle ne mange que de la tradition, la farine de blé normale (et pas tradition) la rend allergène.

On est tomber dans les bras de chacun, et nadège a dit pardon pardon pardon (plein de fois) mon Brian, mais je voulais quitté ma vie qu’était trop douloureuse.

j’ai dit que je comprend sa douleur et on a décidé de refaire notre vie dans ce village, qu’est pas en Vendez (c’est un vrai déracinage), mais en Lorraine. Demain on achètera des sabots pour faire comme dans la chanson, vous connaisser ? En passant par la lorraine avec mes sabots;… la la la. pardon, je suis écrivain pas chanteur.

Quel aventure me direz vous. C’est vrai, mais c’est dans les épreuve de la vie qu’on devient forgeron, non ?

Bon, je vous dit à très vite, j’ai encore 17 article sponsorisés à pondre pour Fiat 500.
Brian Affluence.

PS : pour celles qui m’ont envoyer des lettres d’amour suite à mon dernier article où je croyait que nadège était morte, je suis désoler, mais je ne peux plus vous répondre. On remet les cartouche à plus tard.

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Le Jean-Jacques Goldman (60)

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✔ Decalecatan, decalecatan (ohé ?). Soyons honnêtes, j’arrive rarement à trouver mon bonheur niveau sapes, chez Urban Outfitters – est-ce un mal, je ne pense pas -, mais en revanche, niveau déco, c’est une toute autre histoire.

Une toute autre histoire, oui, surtout que la sélection est de plus en plus méchante avec le temps.

Avec le temps, tout s’en va dans mon panier, et notamment un porte-magazine doré, une housse de couette pleine de triangles pour Cyclamen (afin d’apprendre la géométrie en s’endormant)(malin, le dauphin), un tapis coloré et un guéridon années 50. Je m’arrête là pour les besoins narratifs, mais je pourrais égrener le site jusqu’au bout de la nuit. Une Tourtel ?
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Rastignac à la capitale

A l’affiche, une plaque « entrée des élèves » pile le jour où la marmaille reprend l’école après les vacances de la Toussaint, dans un article qui n’a aucun rapport avec le sujet scolaire. Quel talent !

Blague à part, le look que vous voyez aujourd’hui c’est tellement moi que ça en devient presque gênant. Je n’aime rien plus que porter mon vieux jean doudou, une paire de baskets, et hop une allure low profile, agrémentée d’une touche gentleman farmer (j’ai grandi en campanule).

Encore une veste à carreaux ? Euh. Oui. Mais celle-ci n’a rien à voir avec celle de l’autre jour, elle est plus molle, plus dégaine, plus je vais chasser le faisan de façon urbaine. Outfit de Rastignac à la capitale.

Tiens, ça tombe bien que vous me parliez de lui (Rastignac), puisque cette veste de fermier cool c’est une Balzac Paris, marque créée par Chrysoline avec qui j’ai bossé il y a quelques années.

Comme quoi l’open space mène à tout, même et surtout au talent couturier. Oui, aujourd’hui les coïncidences de la vie se ramassent à la pelle. Mais surtout, et c’est bien là l’essentiel, je me suis fait couper les cheveux.
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