Liliane, fais les valises !

Salut gros ! J’avais pourtant demandé à la lune de ne pas tomber malade juste avant de prendre l’avion mais un méchant gratouillis à la gorge est apparu sournoisement, aujourd’hui en début de journée, alors que je décolorais ma moustache (je lole, je n’ai pas de poils).
Je ne comprends pas. J’avais pourtant eu une bronchite l’autre fois, entre les deux tours des Primaires socialistes, et je pensais la maladie pliée pour le trimestre. Oui, je le reconnais aisément, j’avais poussé un grand ouf entre deux quintes de toux, pensant pouvoir atterrir en paix en Italie, sans hurler de douleur des esgourdes. Pouët que non, on dirait.

La suite … « Liliane, fais les valises ! »

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De West Side Story à la boutique MAC : la vie de l’HDA

La semaine dernière, lors d’une conversation de haute voltige sur les Oméga 3, l’HDA aka l’hôtesse de l’air, me narra sa soirée de la veille, des étoiles pleins les yeux que ça brillait même sur mon écran 17 pouces.

Jeudi dernier, donc, l’HDA se rendit au théâtre du Châtelet pour assister à la représentation de West Side Story, avec sa grand-mère.

« J’ai vu Manuel Legris en vrai » qu’elle me sort.

« … et après on a bu une coupette avec ma grand-mère« , qu’elle surenchérit.

« Oui, Manuel est pas mal« , je lui réponds, blasée. « Je l’ai vu danser dans La Belle au bois dormant à Bastille, il y a quelques années. »

« T’as vu comme je deviens vachement Parisienne ? » elle me coupe, angoissée par l’annonce de mon verdict.

Sur le coup, je l’avoue, ça m’a vachement touchée son histoire. Ca ressemblait trop à Sophie Marceau à l’époque où c’était une actrice (c’est à dire dans la Boum 1) avec sa grand-mère Poupette.

Ouais, on a les références qu’on peut.Je lui réponds donc que je suis vachement impressionnée et que bientôt, on va devoir se taper des expos 3 fois par semaine, si ça continue.

Sur ma lancée, je lui propose une énième soirée merdique de blogueurs et là, le couperet tombe :

« Non merci, je suis fatiguée de ces conneries, tu préfères pas un ciné ou une expo ? T’as entendu parler de Gustave Courbet ? » m’interroge-t-elle.

Autant te dire que les bras m’en sont tombés.

J’ai répondu que c’est pas parce qu’on écrit des inepties tous les jours dans un journal de bord sur le ouèbe 2.0 qu’on a jamais croisé la femme au perroquet au MET.

Oui, je lui ai porté l’estocade, telle Manolete, l’homme a la muleta.

Bon.

Donc, pour conclure cette joute verbale qu’on aurait dit qu’on était en cm2, elle me demande si ça me siérait d’aller à l’expo Courbet avec elle.

J’ai dit que je l’ai déjà vue mais que je peux bis repetita parce que c’est elle.
Sauf que c’est tôt, l’expo. Et que l’HDA, comme toute jeune provinciale montée à la Capitale pour faire carrière, ben elle se fait exploiter rapport aux horaires.
Oui, l’HDA fait souvent nocturne.

« Laisse tomber » me lance-t-elle, dépitée, « on ira se bourrer la gueule au Marlusse, c’est plus sûr« .
Finalement, lasse de son overdose culturelle, elle me proposa de l’accompagner choisir un pinceau à paupières à la boutique M.A.C. des Abbesses*. Oui, tu as bien entendu.Tu vois pas qu’en fait, elle est repartie avec une palette, l’HDA.

Oui, pour te la jouer courte, comme elle hésitait grandement entre la palette smoky et la palette metallic à coups de « mais la metallic c’est pas un peu too much, en même temps je me smokyse tous les jours, ayons du cran, la smoky me parait fade, je ne sais plus où j’habite, etc…« , le vendeur/euse a volé à son secours.
Parce que le gros problème de l’HDA, ce jour-là, c’était mais quid de cette couleur improbable plantée au milieu des 5 autres ?
(je sais, lecteur masculin, faut suivre, le pire restant à venir)

Le verdict est tombé après le brillant exposé du vendeur/deuse qui lui a assené, en fin de parcours, un retentissant : « c’est une espèce de plume de paon qui bouge en marronné« , que tout le monde s’est figé dans la boutique, tellement c’était grand.

Plus tard, devant notre 3ème kir châtaigne je lui ai demandé « mais c’est quoi ces conneries de plume de paon ? »
« Ah mais pas du tout, c’est une nuance, t’y connais vraiment rien. » qu’elle a sournoisé.
J’ai repris un kir.

* M.A.C.
4, rue des Abbesses
75018 Paris

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L’hôtesse de l’air s’habille dans le Sentier

 

L’hôtesse de l’air aime la superposition.

Non contente de découvrir de nouvelles marques, elle se permet toutes les audaces et associe les pièces de façon surprenante.

Petit exposé de ses dernières associations garderobesques…

1) L’aventure « Marilyn et John »

La semaine dernière, je me rends toute bottée dans ses appartements pour une soirée Nordique.

Quand l’hôtesse de l’air ouvre la porte, mon sang se glace et j’avance :

« Excusez-moi Mademoiselle, j’ai du me tromper d’étage. C’est un tournage pour l’adaptation cinéma de la Petite maison dans la prairie ? Ou bien ? »

L’air narquois, elle rétorque : « Attends, ma robe c’est une « Marilyn et John« . Regarde, elle tourbillonne quand je danse, n’est-ce pas tout simplement charmant ? »

J’ai alors demandé qui jouait le rôle de Nelly Olson, cette petite pute aux anglaises blondes dotée d’une mère acariâtre.

Elle n’a pas compris.
Walnut Grove, ça lui causait pas trop.

Finalement, j’ai ri de bon coeur, m’apercevant de ma méprise et découvrant mon hôtesse de l’air vêtue d’une robe improbable, chamarrée à outrance, la taille soulignée par une rangée de rectangles en plastique noir évoquant de très loin des pierreries précieuses. Que la begum Aga Khan en aurait été bouleversée.

Sous cette robe merveilleuse, elle avait réussi à glisser un chemiser à col lavallière crème, transparent, sous lequel on pouvait apercevoir subtilement les agrafes de son soutien-gorge blanc, de dos.

« On voit ton soutif« , j’ai persiflé.

« Je sais » qu’elle a répondu, « c’est pour trashisher un tantinet ma tenue et lui donner un genre porno amateur »

« Bien joué« , j’ai pensé.

Le déguisement était complété par un petit chignon bien serré et des lunettes d’institutrice gréviste.

« C’est que j’ai plus de lentilles !« , s’est justifiée Laura Ingalls.

Mon conseil :

On ne donne jamais la marque de son vêtement, sauf demande faite sous seing privé de la part de son interlocuteur. C’est extrêmement vulgaire, voire nouveau riche.

Annoncer tout de go « C’est une Marilyn et John« , on est d’accord, c’est pire que de claironner qu’on porte du »Pimkie vintage« .

On ne namedroppe de la marque si et seulement si cette dernière a pignon sur avenue Montaigne.

Sinon, on la boucle.

2) L’aventure « je reviens de la vente presse Sandro »

Jeudi dernier, tu le sais, y’a eu une soirée wi filles. Un des rares concepts de soirée où t’arrives bourrée et où tu repars sobre, rapport que y’a du champagne pendant une heure, point barre.

Alors, à moins d’enquiller cul sec coupe sur coupe, y’avait pas moyen.

On le saura pour la prochaine fois. Ou pas.

Bon.

Donc.

Le matin, l’hôtesse de l’air avait enfourché sa bicyclette pour se rendre à sa première vente presse. Un grand moment dans la vie d’une provinciale récemment débarquée « à la Capitale ».

Elle me dit je ne t’aime plus, elle m’a dit ça hier.

J’ai répondu que me chanter du Cali, au téléphone, une journée de grèves, ce n’est vraiment pas sérieux.

Majestueuse, elle avance alors qu’elle a trouvé 4 pièces chez Sandro et que le soir, juste pour moi, elle en portera 3, je vais voir ce que je vais voir !J’ai vu !

Je dois t’avouer que y’en avait que deux, des pièces, mais ça m’a largement suffi pour noter de nouveau que l’hôtesse de l’air a de sérieux problèmes de superposition !

Sur une robe noire qui ne ressemblait à rien, elle avait enfilé un gilet gris sans manches avec un noeud-noeud noir qui ceinturait sa taille de façon énigmatique.

C’est quoi l’intérêt de porter une robe si on pense que c’est une jupe ?

Où était donc passée la troisième pièce ?

Quid de la problématique d’une soirée sans alcool, où la fête n’en devient pas plus folle pour autant ?

Mon conseil :

Quand on se rend dans une soirée de blogueuses sponsorisées par Maje et Sandro, on évite de porter 45 pièces des marques suscitées, sous peine de se voir reprocher un manque de personnalité qui n’a d’égal que le port de low boots.

C’est pathétique et ridicule. Oui, ça l’est !

La prochaine fois, je te causerai du gimmick de l’hôtesse de l’air qui conclue inlassablement ses conversations téléphoniques par un « Bon, je te tiens au courant !« .

« De quoi ? » tu demandes.

« Ben je sais pas trop en fait, de rien, je suppose… » qu’elle te répond, l’air un peu con.

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L’hôtesse de l’air – inepties dans la High Society

 

Souvent, l’hôtesse de l’air me fait remarquer : « En tous cas, je te fais bien rigoler, hein ?« …
Elle n’a pas tort.
De là à sous-entendre qu’elle pourrait être une sorte de muse, faut quand même pas déconner. Même si on est pas loin, dans le fond.
Pour toi qui n’aurait pas encore saisi l’essence même de ce blog, sache que l’hôtesse de l’air a été avertie de la teneur du présent billet et qu’elle l’a validé.
Tu me diras, que ne ferait-elle pas pour un linkage et un peu de trafic, quitte à s’en prendre plein la gueule. Oui, que ne ferait-elle pas.– L’affaire des low boots de l’hôtesse de l’air.

Récemment, l’hôtesse de l’air a acheté des low boots chez Minelli qu’on dirait du plastique gris, un peu comme l’intérieur des sacs poubelle. De la super came, en bref.
La première chose à faire, quand on aime sincèrement l’hôtesse de l’air, c’est lui conseiller de les porter avec pantalon/jean/robe assez courte si on n’est pas gaulée comme Kate.
Rapport qu’avec une robe qui arrive au genou, ça casse la silhouette.
L’hôtesse de l’air, elle te rétorque sans vergogne, qu’au contraire, la low boot, ça allonge la plastique féminine.
??!!! Oui, bien souvent, l’hôtesse de l’air perd tout sens commun.

Il se raconte aussi, dans les milieux bien informés, que lors de l’achat des low boots, elle a été obligée de les enfiler avec un chausse-pieds. Sans, y’a pas moyen, selon elle.
Or, l’hôtesse de l’air ne possède pas de chausse-pieds au domicile conjugal.
Conclusion, l’hôtesse de l’air se sert d’un couteau pour enfiler ses low boots. (oui, je sais)
Pensant qu’elle déconnait, j’ai questionné si c’était avec un couteau à pain, ou bien ?

Très sérieuse, elle a répondu que non, un petit couteau pointu suffisait.Le problème : A la fin d’une soirée, quand l’hôtesse de l’air s’est retrouvée pieds nus pour on ne sait quelle obscure raison et qu’elle demande à son hôte s’il n’aurait pas un couteau, des fois, pour qu’elle puisse se chausser, comment garder détachement, classe et volupté ?
Le mystère reste entier.

– L’affaire des macarons Pierre Hermé.

Dans une soirée, ce qui fait marrer en premier lieu l’hôtesse de l’air, c’est la boîte de macarons en forme de couronne. Elle te la fout sur la tête, et elle t’appelle Sainte Violette.
Ouais, du grand niveau.
Après, elle ouvre la boîte et elle dit : « Wouah mais je savais pas que Pierre Hermé il faisait des macarons aussi, pour moi y’avait que Ladurée. Et dire que y’a 6 mois, je bouffais des sandwichs de la Brioche Dorée »

Le problème : La tête me tourne tellement l’éducation Parisienne de l’hôtesse de l’air est un vaste chantier, qu’à côté, tuer l’hydre de Lerne, c’est de la foutaise.

– L’affaire du paillasson volé.

Quand l’hôtesse de l’air décolle d’une soirée, elle est souvent un peu « partie », car elle ne tient pas très bien l’alcool, ceci pour une raison évidente : la dépressurisation.
Il lui arrive donc de faire quelques bêtises. Voler des trucs en l’occurrence. Sauf, qu’elle n’a plus 16 ans, l’hôtesse de l’air.
Elle s’arrête donc au premier étage d’un immeuble et détrousse une pauvre famille d’un sublime paillasson « BONJOUR ».
Je te concède, c’est la grande classe Internationale.

Le problème : Quitte à chourer, chourons chic, moi je dis.
Il y a quelques années, j’ai passé une soirée chez un Ministre en exercice. Je suis partie avec un agenda Cartier et des Louboutin. N’est pas Arsène Lupin qui veut. J’ai envie de te dire.

– L’affaire de l’erreur de conjugaison.

Quand l’hôtesse de l’air a atteint son paroxysme niveau déchaînement, son débit de paroles est tel que la migraine te guette à chaque coin de rue.
Quand elle voit un sujet intéressant, qui pourrait joliment illustrer un de ses billets sur son blog, elle hurle « Où qui sont mon appareil photo ? » (oui, je sais bis)

Le problème : Soit l’hôtesse de l’air ne possède qu’un seul appareil photo et auquel cas doit s’exclamer « Diantre, où est mon reflex argentique ? »
Soit l’hôtesse de l’air porte toujours en bandoulière 2 appareils photo (on ne cherche pas à comprendre) et doit donc demander : « Mazette, où est mon numérique ? ».

La méga conclusion de tout ça : C’est que, en fait, elle serait pas un peu touchante, quelque part, la belle plante ?
Pour répondre à cette question, je te laisse feuilleter les Rêveries du Promeneur Solitaire, de JJ Rousseau. Tu y trouveras foultitude d’informations sur la flore.

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Comment dire à une amie qu’elle a un look d’hôtesse de l’air

Le 6 septembre (249è jour de l’année du calendrier grégorien et, accessoirement, anniversaire de feu le Marquis de Lafayette, j’ai participé à une petite sauterie avec quelques copines blogueuses.

J’avais déjà noté dans mon inconscient torturé qu’Alexiane avait un look bien à elle, un mélange de Provincialité à laquelle il faut ajouter un zeste de je ne sais quoi qui fait que cette fille, tu sais jamais dire si son allure est terrible, voire early adopter (mais alors vraiment borderline) ou complètement beauf.

Maintenant qu’elle commence à acheter des trucs un peu chers rapport au fait qu’elle a pas encore demandé d’augmentation mais que ça ne saurait tarder, ça va un peu mieux, car au moins, même si c’est moche et raté, au moins c’est de la bonne camelote !

Donc, m’est avis qu’elle pensait se rendre à une soirée costumée car elle a débarqué déguisée en hôtesse de l’air ou au sol, selon tes préférences en la matière, je te laisse le choix dans la date.
Sauf que c’était pas la thématique.

Tout de suite, là, aucun rapport, mais j’ai envie de te raconter un truc, donc je te narre et après je ferme la parenthèse.

L’hiver dernier mon amie A. était invitée à une soirée chez un animateur télé assez connu et quand ce dernier lui dit que le thème c’est de mettre un loup, cette conne elle lui a répondu « Ah ouais, c’est comme au bal masqué, la Compagnie Créole, tout ça, en fait » et lui, le mec, donc, de lui rétorquer « non, je voyais plutôt Eyes Wide Shut, en réalité« .
Ouais t’as vu le niveau et comment qu’elle s’est grillée ?!

Bref, moi, quand j’ai vu Alexiane avec son déguisement, je lui ai dit que pour Roissy, c’était pas la bonne direction.
Elle a ri.

Puis, à son (joli) corps défendant elle m’a rétorqué que, le matin, elle avait un petit dej « clients » au Bristol.

Règle n°1 : ne jamais chercher à se well looker quand on va dans un resto chic/bar d’hôtel, ça te colle direct l’étiquette « Provinciale qui se met sur son 32 pour aller à la Capitale », voire « Parisienne qui n’en est pas et qu’habite Porte d’Orléans rapport au fait que c’est plus rapide pour rentrer le week-end chez ses parents, en Province ».

Quand on va dans ce genre d’endroit, c’est juste normal, voire on décale et on se low sape, histoire de montrer que faut pas nous la raconter et que ouais on a la fibre capillaire pas très nette, so what ?

Après, Solenne qui est toujours un peu fayotte sur les bords ajoute :

« elle est vachement bien ta chemise blanche, j’adore »
« oui, c’est toujours la même que je mets, en fait« , qu’elle répond, l’autre buse, au lieu de la boucler et que là ça fait vraiment pauvre fille. Non ? Si, hein ?

Et attends, c’est pas fini :
« Mais ce qui est chiant avec les chemises blanches, c’est que tu peux pas les mettre deux jours de suite, ça se voit que c’est sale… »
« Hein ???? » que j’ai abasourdi.
« Est-ce à dire que, quand la couleur est présente dans la fibre cotoneuse de ton chemisier, tu te le coltines deux jours d’affilée**« , j’ai demandé.
La réponse était affirmative, tu t’en doutes.

Règle n°2 : Changer de chemise tous les jours. Même si t’as pas l’impression qu’elle est sale, elle l’est quand même. C’est par respect pour toi-même que je dis ça.
Après si ça te gonfle parce que t’as pas assez de stock pour en changer tous les jours de la quinzaine (minimum), j’ai envie de te dire que t’as qu’à pas être pauvre, c’est pas mon problème.

Si la raison est que ça te gave de repasser de manière fréquente, même analyse que susdit, t’as qu’à prendre une femme de ménage qui repassera tes chemisiers, blouses et consorts.
What else ?

Tu l’auras compris, je vais bientôt clore ce billet sous peine de résiliation amicale imminente. Évidemment, j’ai d’autres règles à édicter, mais ce sera pour une prochaine fois, j’entends déjà la pluie d’injures clapoter sur mon écran de portable.

D’un sens, elle a de l’humour, elle nous a quand même montré les sorties de secours sans piper mot, lors de la célèbre séance où t’écoutes les consignes de sécurité…

** Pour ta gouverne, « d’affilée » est encore une locution adverbiale. Peut être tu t’en branles, c’est sûr, mais y’a pas que les low boots et Chloé dans la vie. Y’a aussi des gens qui sont un peu bêtes et qui, en plus, n’ont pas trop d’argent.
Leur offrir un peu de grammaire chaque jour, c’est un peu comme si tu tendais la main à un enfant dans un pays en voie de développement.
Hein ?

*
T’as noté que le titre est d’une longueur effrayante et que le billet n’a aucun rapport avec Zadig et Voltaire ? C’est normal j’ai envie de te dire, c’est juste pour ajouter un mot-clef, rapport à google, tout ça, le référencement.
C’est moche. Je sais.

zéro*
Là, c’est ce que tu veux. C’est un peu open astérisque. Et vieilles dentelles. Nul. Je sais aussi.

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