❖ Introduction
Vous le savez, depuis que j’ai enfin appris à vernir ses ongles parfaitement, je suis devenue obsédée du vernis. Je veux dire, en plus de lire Voici. Oui, je suis pas mal occupée, du coup.
Ainsi, je ne vais pas vous la raconter, à vous autres, les gens à l’oeil exercé et suspicieux de nature, puisque comme beaucoup de mes collègues blogosphériques j’ai reçu, moi aussi, un charmant colis du CCB, blindé de produits de beauty et de maquillerie.
Attends, puisqu’on en est dans les gamineries, j’ai complet oublié de vous montrer comment Cyclamen elle se la raconte et qu’elle se prend trop pour Daft Punk.
Ah ah.
Elle est con, celle-là !
L’autre soir, je trouvais que Cyclamen ne mangeait que des frites et des nouilles.
Alors, pour lui faire tester un nouveau légume (les flageolets en boîte de Cassegrain), j’ai trouvé un stratagème.
« Mange donc« , que j’y ai commandé, « Tu vas voir, ça fait faire des jolis prouts »
« Pfff« , elle a fait, « N’importe quoi, toi !«
Le compte-joint, qui passait par là, a eu vite fait de valider ma théorie…
☞ L’éducation, c’est super simple.
C’est moi (Violette).
Dis moi, vous auriez pas un peu la peau grasse, en ce moment ?
Aujourd’hui, je vous propose de recentrer le débat avec des choses un peu moins futiles que d’ordinaire. Je te propose de voyager dans le temps via planète fashion. Tu viens ? (ou je t’explose ?)
Ainsi, faudrait voir à être sérieux deux minutes et à pas dire n’importe quoi, parce que non ! Non, le boyfriend jean ne fait pas un gros cul !
La preuve en images rien que pour toi et ta zone T luisante de gras de jambon ibérique :
Non.
Non, pas de panique, ceci n’est pas un billet.
Aujourd’hui j’ai fait l’école buissonnière, j’avais les cheveux blonds, un caïman sur mon blouson New Man.
Et donc, pour fêter ce retour aux sources 80’s, comme chaque mardi, cet espace est dédié à toute l’intelligentsia qui souhaite y aller de son analyse poussée télévisuelle.
Ah ça c’est sûr que le quidam non aguerri n’est pas le bienvenu ici, tant c’est philosophiquement poussé le mardi soir. Enfin, excusez-moi, mais les blogs c’est pas fait que pour la rigolade, je n’aimerais pas passer pour une écervelée.
Bref, ce soir il y aura eamimi, alexiane qui fête son anniversaire les cheveux gras cette année, et moi-même, vu que je suis clouée au sol par une luxure de l’épaule due à un excès de bowling sur la wii (voyez comme je suis trop sportive de l’attitude).
Et aussi plein de gens bizarres qui passent par là, voir si on y est. Et justement, ça tombe bien, on y est, dis donc !
Aujourd’hui, attention !
Pas zéro.
Mais une chose dont je veux vous causer !
Trop la fête.
Ainsi, amis de la littérature, un livre tout à fait scotchant. Un livre phénomène. Un livre que j’avais jamais lu un truc pareil, avant. C’est « Zones humides » de Charlotte Roche, un livre sorti en février 08 en Allemagne et vendu à 1 million d’exemplaires.
Ça fait quelques semaines que je vois fleurir plein de papiers dans la presse sur le sujet, et interloquée que j’étais, j’ai couru à la librairie. Alors, je ne sais pas du tout faire la critique littéraire. Pour moi, c’est un vrai métier que de commenter le bouquinage sans paraphraser et surtout en donnant envie !
Donc on va faire simple.