Les copains, ce n’est pas sans émotion que je viens vous claquer la traditionnelle bise festive. Sauf que je peux pas vous coller le poème que j’avais écrit exprès pour, j’ai un renne qui fait la sieste sur le clavier informatique.
Je préfère ne pas le réveiller. Il est prévu qu’il fasse un spectacle avec son frère ce soir pour accueillir Père No, sur mes cheveux. Ca fait des semaines qu’ils répètent leur choré ; je peux pas leur faire ça.
Je m’en vais donc comme une preppy-conne, avec mon serre-tête de wineuse… Mais je vous aime, hein, allez pas croire.