Ouais. Bon.
Ca va bien comme ça que j’entends des vertes et des trop mûres sur que « T’es bien gentille, mais on sait pas comment les porter tes godasses avec leurs coloris qui vont avec rien ! »
Ah mais je m’excuse, mais c’est pas ma faute Lolita si tu ne sais pas dédramatiser. Vous allez voir qu’à moi, pourtant certifiée reine de la dramaturgie, elles ne me font pas peur. Loin s’en faut. Et tout vient à point. La cruche est cassée, rien ne va plus, je vends ma fausse Rolex !
Figurez-vous que comme je fais rien qu’à partir en vacances j’ai un gros retard dans mes lectures. Je n’ai plus le temps de rien faire, si ce n’est glander au bord des piscines ou flâner dans le désert jordanien. Bonjour l’enfer, quoi.
C’est ainsi que hier après-midi, heureuse tout plein d’avoir retrouvé mon foyer vitrifié, je me suis installée confortablement sur mon parquet fraîchement ciré par Maria, la littérature à portée de main.