L’archivage et la numérisation des documents

Les copains, il y a un truc qui me stresse grave dans la vie (à part le fait d’être détenue par les FARC sans mon Dreyfuss), c’est la paperasserie administrative. C’est simple, tu me demandes d’appeler l’URSSAF et je fais un malaise vagal. Vous me priez d’envoyer sous 48h mon attestation de responsabilité civile et je vomis ma douleur sur l’autel de la panique.

Le pire, c’est que je suis pourtant assez rangée comme jeune fille. Je veux dire, l’organisation c’est mon dada : t’as qu’à voir que je possède encore mes relevés Bouygues Telecom de 1997. On sait jamais, des fois que Martin me demanderait des comptes…
Je sais que ce n’est pas très glamour comme attitude, et que c’est beaucoup plus trendy-négligé de clamer sa désorganisation et son jemenfoutisme du classement sur twitter, mais c’est ainsi.
Je suis un être humain après tout.

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R.I.P. Blake Carrington

Misère, malheur et malédiction ! Le week-end à Pascal est bien endeuillé puisque la terrible nouvelle est tombée hier soir : Blake Carrington n’est plus.

Depuis, je suis tourmentée. N’est-ce point là un ultime coup bas de son ex-femme Alexis ? Comment est-ce donc possible que cet homme au parfait brushing grisonnant et à l’insolente fortune ait pu nous quitter, nous autres, fans de la première heure ?
Faut dire que j’ai jamais été trop Dallas de l’attitude, vous le savez je ne suis guère portée sur les histoires des provinciaux. Par contre, les épaulettes, les diamants, le capitalisme exacerbé et les fils pédés, ça m’a toujours parlé.

C’est donc avec fascination (et accessoirement mon pyjama en éponge) que je regardais chaque semaine les aventures des bling-people sur le canapé familial. Ma mère recopiait à la perfection le brush’ de Linda Evans et on se mettait à danser sur Square rooms d’Al Corley comme des grandes chauve-souris, grâce à nos manches de l’époque. C’était chouette.

Afin de rendre hommage à Blake, j’ai donc décidé de passer tout le Pâques avec mon bustier pailleté de l’époque. Ah ça, c’est sûr, les cloches risquent pas de me louper…

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Drôle de vie

 

Les potos, je suis allée voir « Tout ce qui brille« , et c’est sympa. Pas le film du siècle, mais sympa. De toute façon, je suis super bon public des trucs de jeunes. Ascendant adulescente aurais-je dû ajouter au « nostalgique » de l’autre fois. Enfin bref, on va pas retricoter l’histoire de mes billets, sinon on finira complet Alzheimer comme la pauvre Annie Girardot.

Le truc, c’est que la B.O. du film c’est une reprise d’une chanson de Véronique Sanson. Et que je suis assez touchy-feely avec Véro (avant qu’elle fasse son mariage blanc avec Palmade, j’entends). Aussi surprenant que cela puisse paraître (oh oui, surprends-nous !), et bien la reprise est vachement bien, et donne la même pêche que l’original. C’est fou ça Monsieur Perrier ! (?)
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Capri, ça commence

Salut les lentilles. Aujourd’hui je dis sus à la superficialité qui règne sur ce blog puisqu’on va parler géopolitique. Enfin, surtout politique en réalité, puisque nous allons étudier le orange, couleur chère au Modem.
Ouais, en fait t’as raison, ça sent carrément l’arnaque cet article.

Je sais plus quand, je vous disais que je préférais désormais les vernis Essie aux O.P.I. car ils tiennent aussi longtemps MAIS ils sont beaucoup plus liquides, donc plus faciles à appliquer. Du coup, j’ai acheté le Capri et j’ai décidé que c’était le it-vernis de l’été. On va pas revenir dessus. Je suis influente* oui ou merde ?

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Comment soigner la lucite estivale bénigne ?

Aujourd’hui, j’ai décidé de vous passionner. Oui, rien que ça puisqu’on va parler d’allergie solaire. D’ailleurs, j’en suis encore à me demander comment ça se fait que je vous ai jamais parlé de cette chienlit qui m’a niqué bien des étés.
Les choix du blogueur sont impénétrables…

On a tous un machin physique qui nous gâche la vie, admettez-le, les aminches : qui de gros mollets, qui d’une calvitie naissante, qui d’un gros nez ou que sais-je, c’est ainsi. Bon quand tu cumules le tout t’es bon pour l’étiquette « gros thon », certes, mais on en est pas là. Du moins je l’espère grandement.

Si SBEP devenait un nid à cageots, je crois que je ne pourrais pas le supporter.

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Bleue comme une orange

Ouais. Bon.

Ca va bien comme ça que j’entends des vertes et des trop mûres sur que « T’es bien gentille, mais on sait pas comment les porter tes godasses avec leurs coloris qui vont avec rien ! »
Ah mais je m’excuse, mais c’est pas ma faute Lolita si tu ne sais pas dédramatiser. Vous allez voir qu’à moi, pourtant certifiée reine de la dramaturgie, elles ne me font pas peur. Loin s’en faut. Et tout vient à point. La cruche est cassée, rien ne va plus, je vends ma fausse Rolex !

Figurez-vous que comme je fais rien qu’à partir en vacances j’ai un gros retard dans mes lectures. Je n’ai plus le temps de rien faire, si ce n’est glander au bord des piscines ou flâner dans le désert jordanien. Bonjour l’enfer, quoi.
C’est ainsi que hier après-midi, heureuse tout plein d’avoir retrouvé mon foyer vitrifié, je me suis installée confortablement sur mon parquet fraîchement ciré par Maria, la littérature à portée de main.

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