Bon les aminches. C’est pas tout ça, mais je me rends compte que je ne me suis pas fendue du billet annuel sur cette fabuleuse émission télévisuelle qui ferait presque passer Finkielkraut pour un sous-Steevy. Secret Story, j’entends.
Faut dire que j’ai des circonstances atténuantes pour 2010 : j’ai raté les trois premières semaines de diff’ pour cause d’abus de vacances sans tube cathodique aucun. Et oui, la vie est souvent faite de choix cornéliens. Les vacances au Maroc ou TF1. TF1 ou deux jours a Essaouira. Dieu que c’est encore pire que de choisir du coloris de son nouveau Dreyfuss, je vous jure !
Tout ça pour dire que j’ai un peu de mal, cette année, à rentrer dans la substantifique moelle des débats sur que machine est rien qu’une pute ou que untel a grave dégobillé dans le dos d’un autre mentaliste/hermaphro je sais pas quoi qui pose son blush comme une redoublante de première année d’école de make-up (sic).
De toute manière, j’ai toujours pensé qu’on ne peut s’attacher aux blaireaux si et seulement si on les suit depuis le début. C’est comme sur twitter, en somme (pardon).