Avant de partir en vacances, à l’heure où ma peau était aussi blanche qu’un matin d’hiver grognon, j’ai testé la nouvelle BB crème de l’Oréal : Nude Magique. Vous allez sûrement penser que je suis en train d’évoluer professionnellement pour devenir rat de labo, puisque ce n’est pas la première fois que je teste ici ce produit magique 5-en-1 pour nous, les femmes pressées en stilettos/bandoulières.
Il faut croire que j’ai une petite étoile du fond de teint tout là-haut qui trace ma destinée beauty.
Jusqu’ici, j’ai été plus ou moins sceptique quant au rendu des BB crèmes testées sur ma peau. Certes, elles unifient, mais ce teint plâtreux qui me fait ressembler à une geisha-maçon-du-coeur en pleine scène de kabuki m’a laissée incrédule plus d’une fois. Et on sait que la perplexité, c’est pas bon du tout pour les ulcères.
Mais j’avais bien aimé le rendu de la bb creme garnier !
Donc j’ai accepté de tester Nude Magique et voyons voir si cette dernière m’a également donné l’allure japonaise (suspense insoutenable) :
Si je faisais partie de la Fashion Police de Grazia, pour sûr je dirais que ce look est banal, dépourvu d’audace, degré zéro de la créativité fashion, ordinaire de la dégaine, bref aucune chance de se faire sartorialiser, nul, viré, 0/20.
Comme je n’ai pas pour ambition de faire juré de profession ou socialite à headband clouté éponge, j’envoie valser ces diktats de plus en plus saoulants, qui confinent bien souvent au déguisement.
Voilà le look le plus « moi » de toute l’histoire de la création de ce blog : un jean, un tee blanc, une veste et des baskets fatiguées. Bordel, on n’est pas bien là (Tintin) ?
A look basique, sac identique. Afin de me remettre de mes émotions dépressives post-mauriciennes, il me fallait bien un nouveau compagnon. Après avoir usé jusqu’à la croûte – de cuir – Billy & Tom, voilà Carlos Jérome Dreyfuss. Ne serait-ce point là mon tiercé gagnant by Dreyfuss ?
Un grand sac pour transporter tout mon bordel organisé + un coloris aussi osé que la penderie de sa maîtresse, y’a pas, on était faits l’un pour l’autre.
Hello internautes. Reprenons nos vieilles habitudes superficielles pour recentrer notre débat sur la mode et la beauté, ces deux mamelles consuméristes qui nous sont si chères. Isn’t it ? Oh yes, it is !
Il y a 15 jours de cela, Bobbi Brown & Maje m’ont invitée à tester les soirées Pretty Powerful dans la boutique de la rue St Honoré (la vie est dure).
Ces soirées reposent sur la mise en place d’un service exclusif de Personal shoppers Maje et de make up Artists Bobbi Brown le temps d’un shopping privé, et c’est ce qu’on a testé avec d’autres collègues 2.0 dans la bonne humeur et le jus de goyave – la blogueuse ne picole jamais avant 19h sinon elle a du mal à rédiger tous ses articles sponsorisés lors de son après-midi de travail forcené.
Bref, durant cette pause déj’ enchantée, j’ai essayé plein de pièces de la nouvelle collection P/E Maje et j’ai été maquillée comme si j’étais Kate Middleton. « Un statement lumineux mais naturel » adapté à ma tenue, c’est ainsi que je définirais mon make-up du jour si j’étais rédactrice chez Elle…
Salut, c’est Violette. Bon, comme je dis toujours « Il y a une fin à tout, sinon il n’y aurait pas de début« , et donc voilà je suis rentrée de mon voyage à l’île Maurice. C’est ainsi qu’un peu jet-laguée et très déprimée, je vous colle aujourd’hui un dernier article/cartes postales.
Comme je disais l’autre jour à une amie, autour d’une margarita mauricienne – savamment dosée pour un voyage sans retour vers un delirium tremens – ce n’est pas du tout pour faire la mariole que j’aime bien coucher ici mes souvenirs de voyages.
Bon, ok, nous autres blogueuses on aime bien faire 2 ou 3 fois nos intéressantes quand on est par monts et par vaux tropicaux, mais pour ma part, les seuls articles de ce blog que je relis parfois avec plaisir sont ceux de mes vacances.
Je sais que sans cet espace des internets, mes photos se décomposeraient au fond de mon disque dur. L’album en ligne c’est trop contraignant à mettre à jour à chaque virée hors de nos contrées ; le blog m’oblige à une certaine discipline quant au tri des photos et à leur mise en ligne, même si je garde quelques clichés hors de votre vue – par exemple quand Nounours me photographie pendant que j’essaie d’enlever un kilo de sable de ma culotte. Vive les blogs. Vive Internet.