DÜO, voire plus…

duo restaurant galerie paris 5

Hey, tu as faim ?
J’ai découvert cette semaine une petite cantine du midi, grâce à ma copine Violaine qui tient la chouette boutique La Minaudière – d’ailleurs on fait un Vide-Dressing là-bas, dimanche prochain avec les copines, ; vous avez intérêt à passer sinon on vous explose vraiment – mais je m’égare.

Dans le quartier Popincourt, on trouve donc Düo, un espace hybride où cohabitent une galerie d’art et un petit resto, testé et approuvé. Je vous raconte.

Un buffet en formica, des chaises en bois scandinave, de larges baies vitrées, des tables en pin plantent le décor rétro-broc de cette cantoche tenue par la chef Franco-Japonaise Maori Murota. L’endroit est baigné de lumière (en même temps le soleil donne tellement en ce moment que même les catacombes arriveraient à nous coller une cataracte) et propose une cuisine de marché le midi.

Le menu est griffonné sur un grand tableau noir, une entrée, trois plats et trois desserts au choix, un menu à 15€, on ne s’embarrasse pas. Les plats ne sont pas aussi photogéniques que les burgers savamment mis en scène par les blogueuses sur instagram MAIS C’EST SUPER BON !
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3 vernis blanc laiteux au banc d’essai

vernis blanc

Bien. Essayons aujourd’hui d’élever nos âmes avec un sujet plus intellectuel : le vernis à ongles.

La nouvelle tendance ongulaire, depuis un an, c’est le vernis blanc laiteux, mais je dois vous avouer que je ne suis pas spécialement fan de ces ongles qu’on dirait coloriés au typex au fond de la classe, pendant le cours de physique.
Pour le coup, ça fait vraiment des mains chelous et ça fait aussi vite cracra, parce que le vernis blanc opaque c’est pas si simple à appliquer de façon nette et précise.

Tendance inside the tendance (ah oui, faut suivre !), cette saison, les marques sortent chacune leur tour des vernis blancs (oui) mais plus légers et nude : des vernis blanc laiteux.

Ces derniers ont un rendu beaucoup plus discret et chic, et comme je suis une grande artiste ongulaire, voilà un petit crash test de trois vernis blanc laiteux. Vous allez voir, la différence est subtile, mais j’avais prévenu au début que cet article aurait des accents philosophiques.

On lève les bras bien haut, allez c’est parti ! Ah oui, précision importante, j’ai posé deux couches de vernis à chaque fois.
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Grouille !

Hey, c’est moi à nouveau !
Deux fois dans la même journée, mais que se passe-t-il ? C’est simple, entre la poire et le fromage (allégé) je reviens vous parler de promotions chez Asos.
Pendant 48 heures (GROUILLE !), 250 articles sont à -50% sur le site. Et afin de vous faciliter la tache et le porte-monnaie, j’ai fabriqué une mini-sélection – je suis habile.

promotions asos

1. Parka à capuche oversize (52€) | 2. Pull rayé empiècement dentelle (22€) | 3. Jupe fourreau en cuir (63€) | 4. Blazer long (35€) | 5. Montre Boyfriend (19€) | 6. Sandales à talons (29,50€) | 7. Robe droite, col contrastant (22€)

Bien sûr, tout ça n’est point exhaustif. La totalité des produits à moitié prix se trouve par ici #poésie

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Le Jean-Jacques Goldman (40)

hm home

✔ L’autre jour, je réfléchissais. Je me demandais si il ne serait pas enfin temps de donner un coup de jeune au Jean-Jacques Goldman.

En effet, ce dernier pourrait devenir, sous le coup d’un vent de folie, le Francis Cabrel. Voire, mieux, le Etienne Daho ? Bon, rien n’est encore vraiment décidé, et réfléchissons-y ensemble, si vous le voulez bien.

A part ça, bonne nouvelle pour nos intérieurs, la collection H&M Home débarque en France le 13 mars prochain avec un corner H&M Home Kids, exclusivement dédié à la déco de la chambre d’enfant, dans le magasin parisien de la rue Lafayette (9è).

Un corner avec l’intégralité des collections maison suivra ensuite dans le magasin de l’avenue de France, à Paris.
Enfin, avec le lancement de la vente en ligne au printemps-été 2014, toute la collection sera disponible partout en France. Est-ce qu’on ne serait pas TROP au taquet ?
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Mi-Figue, Mi-Fugain en marinière

mariniere ekyog

Bonjour. Je n’ai pas encore réellement atterri, depuis mon retour de vacances à Zanzibar, passant du stade désabusé au stade déprimé en moins de temps qu’il ne faut pour le dire – la pêche, quoi.

Il n’empêche qu’il a bien fallu remiser les paréos et autres outfits débraillés au fond du placard, et penser à s’updater de façon décente. Le temps mi-figue mi-Fugain n’aidant pas vraiment à composer des tenues franches du collier (la mode est une souffrance), et comme je n’ai pas le trop le temps de philosopher sur le mix & match des imprimés, j’ai opté pour la facilité.

Vous savez ? Si, vous savez, je parle de ce genre de pièces qu’on enfile le matin et qui sont un peu comme des doudous de la fashion au niveau de la réassurance. Dès qu’on les porte on a confiance en soi, on se sent presque comme une Wonderwoman (sans le shorty ras le bonbon) des temps modernes.

Il y a trois vêtements basiques qui provoquent en moi ce petit bonheur : le tee-shirt blanc, le blazer noir et la marinière.

Dans sa nouvelle collection, la marque Ekyog a inséré le parfait pull marinière en baby alpaga, ni trop chaud ni trop froid, coupe boyfriend qui ne gratouille pas. Je veux dire, c’est quasi le Nirvana.

Demain, nous irons voir là-bas si j’y suis (j’y serai). Tchuss.
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Simple Diary

simple diary

J’ai commencé un journal intime à 11 ans, à l’âge où on étudie le journal d’Anne Franck à l’école (zéro personnalité). Cette histoire a duré environ 4 ans et, même si ça fait mal, je suis forcée de reconnaître que mes écrits d’alors n’avaient pas la force des siens.

Entre « Mes parents sont rien que des cons » et « Je vais me suicider parce que Pascal B. m’a larguée au bout de 3 semaines« , je ne suis pas sûre que, si quelqu’un découvre un jour ce journal au fond d’un grenier, je passe vraiment à la postérité – même si je suis blogueuse de réputation internationale…

Aujourd’hui, à l’âge adulte et en pleine flamboyance de la trentaine (hein ?), je vous avoue que je ne vois pas l’intérêt de coucher mes pensées sur papier.

Déjà, parce que ça fait bientôt 7 ans que je raconte des morceaux de vie sur les internets, ensuite parce que même si je suis autant torturée qu’à 13 ans, je sais que ce n’est pas en écrivant que je trouverais le réconfort (rien ne vaut des Margaritas, ou un nouveau sac Dreyfuss).
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