Voilà, voilà.

Bon les copains, c’est pas tout ça mais c’est les vacances. Je vous crois suffisamment intelligents pour avoir noté que j’avais grandement besoin de repos, puisque depuis récemment je me mets à poster uniquement le week-end et/ou les jours de grand pont d’été. Si ce n’est pas un signe que je me fais hara-kiri de l’affluence, je ne m’y connais plus en arts martiaux…

Du coup, j’avais décidé de faire un peu comme tout le monde et de vous montrer le contenu de ma valise ; le voyeurisme n’ayant pas de frontières sur l’Internet. Quand j’ai réalisé que ma vieille Delsey était sacrément éventrée par ses passages incessants sur les tapis d’aéroports (je suis mytho option grand reporter) je me suis dit que ça ferait pas sérieux pour ma e-reputation.

Je préfère donc vous montrer quelques machins nouveaux que j’embarque avec moi, devant ma fenêtre de salon que j’ai tentée de rendre propre par une surexposition photographique digne d’un enfant de 3 ans. Vous cassez pas, on voit bien qu’elle est dégueulasse. Je sais.

La suite … « Voilà, voilà. »

31

Les chaussures compensées Annabel Winship

Je viens de traverser une petite zone de turbulences pendant laquelle j’ai attaché très fort ma ceinture. Au moment de l’atterrissage, j’ai réalisé que je n’étais bien que sur la paille. Damned, vais-je finir roulée en botte afin que mon vague à l’âme plus jamais ne ressorte ?

Les réponses à toutes ces questions dans un prochain numéro affluence. En attendant, vous pouvez toujours dire bonjour à Mireille. Comment ça elle n’est pas sur les images ? Est-ce une raison pour ne pas la saluer, la pauvrette, clouée au mur du salon ?

La suite … « Les chaussures compensées Annabel Winship »

32

Les seins dans les nuages

Je sais, c’est scandaleux, je n’ai même pas parlé des soldes alors que chaque semestre c’est la même rengaine sur l’Internet : montrer le butin amassé au juste prix. Oui mais voilà entre cette histoire de Charlène qui tente de fuir le Rocher à la nage indienne et DSK qui enlève son bracelet de cheville, j’ai été prise dans le tourbillon télévisuel de la surinformation.

Enfin c’est surtout que je n’ai pas fait les soldes car l’été n’est définitivement pas ma saison (même si c’est bientôt mon anniversaire – tu m’achètes quoi ?). Pas fait les soldes c’est une façon de parler pour ne rien dire car j’ai néanmoins concentré mon attention sur la jolie lingerie. Vous me direz est-ce que 3 slibards valent vraiment la peine qu’on se foule d’un billet électronique ? Oh oui, oh oui.

La suite … « Les seins dans les nuages »

27

En espadrilles, on ne pue pas forcément des pieds

Ouais. Donc, depuis plusieurs décennies que l’espadrille est en complète disgrâce, j’ai néanmoins toujours pensé qu’elle restait un item certes pas simple à assumer, mais totalement séduisant.

Alors c’est vrai qu’en les portant toute une journée, on peut dire en rentrant ce soir j’ai les pieds qui puent. Mais pas tout le temps.

Depuis quelques mois que c’est hype et qu’on la voit ressurgir aux pieds des garçons un peu Hamptons de l’attitude, je vous raconte pas comme ma joie est immense. J’avais trop raison de croire en elle. Pour sûr !

C’est qu’en fait, à chaque fois que je pense à l’espadrille, j’imagine Inès de La Fressange en vacances à Tarascon, simplement vêtue d’un jean un peu vieux mais impeccable, d’une chemise blanche laissant voir un triangle de peau parfaitement bronzé-juste-ce-qu-il-faut et des espadrilles défoncées mais pas trop aux pieds.

Si ça se trouve, dans la vraie vie, Inès ne porte pas du tout d’espadrilles, mais j’aimerais qu’on me laisse à mes chimères de la meuf stylée provence chic, qui va choisir ses olives au marché avec ses deux filles Nine et Violette (c’est pas du prénom de camping des flots bleus, elle a un peu merdé sur ce point-là niveau bourgitude la Inès).

La suite … « En espadrilles, on ne pue pas forcément des pieds »

56

Du glitter aux pieds keeps the doctor away

Comme je dis toujours, « il vaut mieux deux chaussures que trois tu l’auras » ;  c’est pourquoi aujourd’hui je tiens la promesse faite la semaine dernière de vous les montrer. Les chaussures.
Comme vous pouvez le voir, ce sont des ballerines qui brillent, et pas seulement dans la nuit. J’ai choisi de poser devant un coq*, comme ça vous pouvez constater qu’elles s’adaptent à toutes les situations. Même les plus incongrues.

C’est peut-être ce qui justifie leur prix élevé, je ne sais pas. En tous cas, on m’avait prévenue qu’elles étaient aussi confortables que les Isotoner de mamie Simone et… elles le sont !

Avec elles, nul besoin de puiser dans le stock des protège-talons en forme de nonosses, pas la peine de compter les cratères aux pieds en fin de journée, c’est la tranquilité du peton assurée (je me déguise parfois en Jacques Séguéla).

La suite … « Du glitter aux pieds keeps the doctor away »

45