Res Publica
Vous avez sûrement remarqué depuis le temps – et oui dix ans, vous êtes vielles, désolée -, je ne parle jamais ici de sujets de société un peu touchy ou de politique, c’est une sorte de ligne de conduite que je me suis fixée il y a une décennie (putain, mais vous êtes VRAIMENT vieilles).
Déjà parce que je pense que je n’ai pas vraiment de légitimité en la matière, mais vous me direz que des gonzesses comme Cotillard l’ouvrent bien alors qu’on ne leur a rien demandé. Pas faux.
Il y a aussi, surtout, que j’ai toujours voulu donner quelques minutes de frivolité à nos/vos vies déjà compliquées plutôt que d’engager des débats un peu plombants. C’est mon postulat, je ne compte pas changer PAS DE PANIQUE LES CAGOLES !
Enfin, je déteste les conflits que je fuis toujours comme la peste avec une certaine lâcheté, j’avoue. Et on sait bien que, quand on part sur le terrain politique, ça finit rarement en hug collectif, même avec les copains. C’est d’ailleurs fou que ce sujet entraîne autant de passion ; comme si le candidat qu’on soutenait était devenu notre frère, notre père ou notre mari… alors que bon, tu imagines le dîner de Noël avec Dupont-Aignan (moi non) ?