Le 20 février 2008 : Le Yalta de la blogofille…

Le 20 février 2008, je suis allée chez Biotherm.
L’histoire, c’est qu’avec l’HDA, à la base, nous étions invitées la veille, mais que par un concours circonstancié, nous avions dû décliné l’invit’.
Ô Désespoir !
Tu vois pas que le matin du 20/02, on nous demande par mail si des fois on serait pas disponibles pour la séance de rattrapage, le soir même.
« Ha mais ouais« , qu’on fait.
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Les traders sont sympa, en direct du Palais Brognard

 

Sus aux idées reçues que le trader ou assimilé serait un homme au costume foncé irréprochable. Le trader ne possède pas toujours la gueule d’amour de l’ambitieux Charlie Sheen dans Wall Street, devenu, depuis, obsédé sexuel.

Non, tout le monde n’est pas Gordon Gekko, l’homme qui a le cigare chevillé au rictus dominateur. Non, des gens se sont battus de leurs petits poings rageurs pour garder leur vraie personnalité malgré la pression incessante liée à la profession, à Brognard. Et c’est tellement beau que ça méritait d’être souligné. La suite … « Les traders sont sympa, en direct du Palais Brognard »

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De la spécificité de l’échange post-coïtal

 

Ce qui est bien, quand tu baises avec un blogueur, c’est qu’après l’amour, tu n’es pas obligée de fumer.

Non, non.

Tu peux aussi parler de wikio, de quid de la baisse de fréquentation bloguesque le week-end, de twitter et aussi de comment Technorati c’est pas fiable du tout.
C’est drôlement chouette de bousculer ses habitudes !

N.D.A. : Néanmoins, tu peux toujours boire de la San Pellegrino à la bouteille, ce n’est pas interdit par la profession !

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Le dentiste frappe toujours deux fois (minimum)

 

Votre attention, s’il vous plaît, les ascenseurs de la station Lamarck sont hors service.
Bien.
Je répète ? Non, hein.

Ainsi, lundi matin, je me suis réveillée avec une douleur d’un lancinant, en bas à gauche, dans ma bouche !
J’ai dit « oh mais mince alors, s’agirait-il donc de ce que nous avons coutume d’appeler une rage de dents ?
Voire, un abcès ?
 »
Pour l’abcès, j’ai vite évacuer l’hypoténuse, y’a pas marqué hamster.
J’appelle ma dentiste.
touc touc touc touc touc touc touc touc touc touc

(Bruit que fait le fixe pendant qu’il numérote. Oui, il est limite, il a arrêté en première année de Deug)

Alors, ma dentiste, si t’aimes mieux, c’est Bree Van De Kamp/Hodge, en petite et grosse. Et moche aussi.
Bon, en gros, c’est pas Bree, hein !
En résumé, elle est rousse.
Note que j’ai remarqué une étrangeté avec les rousses
(Je ne parle pas ici de la station de ski du Haut-Jura, même si les plaisirs alpins sont d’actualité. Je ne vais pas vendre mon âme au diable pour de la requête google. Non, je ne vais pas ©).
Elles sont soit canons, soit thons. La rousse anodine n’existe pas, apparemment.

N.D.A. : y’a aucune cohérence depuis le début ou c’est moi ? C’est moi, cherche pas. Y’a cohérence.

Bon, donc, pour en finir avec cette histoire dentaire, j’arrive et je dis que j’ai rage de dents depuis 12 heures au compteur.
Elle répond qu’elle doit faire un détartrage et me prend après.
Pourquoi les gens fument, bordel ?

Après, elle annonce que oui, effectivement y’a carie sous dent de sagesse (phénomène assez rare nécessitant d’être souligné pour les besoins du récit), mais que c’est pas en bas, mais en haut !
Je dis qu’on va pas chipoter pour 3 cm de distance, non ? Cette overdose de cartésianisme au sein du corps médical me rend folle !

Enfin, venons-en à la véritable interrogation que souhaite souligner ce billet.
Il y a un truc qu’il faudra qu’on m’explique un jour, c’est comment le dentiste arrive en toute impunité et de façon notoire à t’arnaquer à chaque fois que tu franchis le seuil de son cabinet ; et le pire c’est que tu n’opposes aucune résistance.

Je m’explique.
J’entends, tu vas pas me dire que la meuf, elle peut pas te faire la totale en 45 mn ? Non.
Faut que ça te découpe le soin en 4 rendez-vous minimum !
C’est insensé cette histoire.
« Je viens de vous charcuter jusqu’au nerf, putain je suis claquée, ça m’a pris 10 mn, on se revoit lundi prochain »
Non, mais c’est quoi ça ?

T’imagines chez l’esthéticienne (au hasard) et qu’elle te dit : « pardon, mais pour le maillot, on finira en février et peut être mi-mars pour fignoler, j’ai encore une place » ?

Un jour, il faudra tout se dire (ha non, c’est déjà pris par Benjamin Castaldi, ça).
Je reprends.
Un jour, il faudra s’interroger sur les vrais problèmes de fond, en France. Y’a pas que la Société Générale.

Une prochaine fois, j’irai faire mon frottis annuel chez la gynéco et j’enverrai le prélèvement au laboratoire, dans une enveloppe exprès prévue pour.

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Je l’attrape par la queue, je la montre à ces messieurs

 

 

Aujourd’hui, on va causer que j’en ai un peu marre que y’a pas plus de Romantisme dans l’air.
Oui, rien que ça Madame !
Loin de moi l’idée saugrenue de vouloir faire l’apologie de neuneuland, niaiseries et consorts, ne nous méprenons pas, mais je constate que les rapports amoureux c’est devenu n’importe quoi.

Où qu’il est l’esprit chevaleresque, tendance automne/hiver 2007-2008 ?
(on ne répond pas « dans ton cul« , s’il te plaît !)

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