Presque tout sur ma mère et ses névroses

Ca fait un moment que je tournicote ce billet dans ma tête, ne sachant point qui implorer pour trouver la façon de le rédiger sans blesser personne, mais en taclant un peu quand même, sinon c’est trop pas rigolo.
A fond j’avais laissé tomber l’affaire, depuis que ma colère envers ma génitrice était retombée tel un soufflé au fromage complètement loosé.
N’est pas Jamie Oliver qui veut, les neuneus !

Finalement, c’est grâce au billet de Caro que j’ai remis le bouton sur ON.

Comme moi, ma mère est handic’ des sentiments. Sauf que mezigue je m’améliore avec l’âge, et même que parfois, il m’arrive de dire aux gens que je les apprécie.
Attention, le verbe « aimer » est rarement conjugué dans mon vocabulaire quotidien, faut pas déconner non plus !

Ma mère, elle, son handicap est lourd. Disons que, si on veut métaphorer, elle est en fauteuil roulant au niveau des feelings. Voyez le niveau, quoi ! Certes, elle est grave aimante comme mother, mais c’est parce que j’ai acquis le décodeur à prix d’or.

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Les glands

Bienvenue sur mon nouvel espace intime de l’Internet, consacré à l’art culinaire,
les aminches !
Voyez comme on s’y sent bien, déjà.
Sentez cette bonne odeur de Béchamel qui s’échappe de ton clavier.
Miam, miam, quoi…

Bon, donc, aujourd’hui, c’est pour gueuler encore une fois, mais c’est mérité.
En effet, où qui sont passés les glands d’antan ? J’entends ceux qui provoquaient le désir, la salivation d’escargot et dont la couleur vert Ladurée éveillait les talents artistiques de chacun ?

Perdez pas de temps à chercher, ces glands-là sont partis avec Vendredi, sur une île sauvage, où même le Bertrand de Koh-Lanta pourra pas les rattraper dans l’épreuve ultime du totem aztèque à cloche-pied.

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L’Adelscott, la bière qui me botte

Chers poivrots, cela fait bien longtemps que nous ne sommes point partis dans les vapeurs d’alcool ; faites vos valises, on trace.

Souviens-toi, quand j’étais petite, on hissait haut cette magnifique bannière sur SBEP et, récemment, je réalisais avec effroi que jamais, je dis bien jamais, je n’ai donné de justificatif quant à la première vignette.

Etes-vous léthargiques à ce point pour n’avoir nullement demandé le késaco de cette passion étalée à la face de l’Internet ? Suis-je donc condamnée à subir un lectorat de bulots à la fraîcheur plus que douteuse ?
Je préfère penser qu’il s’agit là d’une faute d’inattention de ta part, et comme j’aime beaucoup faire les questions et les réponses, voilà aujourd’hui l’histoire de pourquoi l’Adelscott c’est le must-have.

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Le sac Union Jack

L’autre jour qu’était un jour férié et que la ville dormait tellement qu’on se serait crus dans Silent Hill, j’ai eu envie d’acheter quelque chose d’inutile, parce que ça faisait quand même trop longtemps que ma CB avait pas fumé.
C’est pas ma faute, il lui faut sa dose, sinon elle me fait des crises de manque pas belles à voir, je te dis pas.

Donc, y’avait que l’Internet pour assouvir tout ça, et ma CB et moi, on a tapé Union Jack dans la petite barre de search, sur le site d’Asos.
Y’avait lui :

J’ai pas hésité trop longtemps avant de pas le prendre, le mignon, rapport que la qualité doit rudement laisser à désirer et que surtout, la mannequine est vraiment trop Pam’ dans l’attitude, et que ça vulgarise grave le sac.
Associer le gros nibard à la perfide Albion, y’a pas, c’est contre nature cette histoire.

Mais en fait, c’est pas de la blonde que je voulais causer aujourd’hui, mais de cette addiction qui est mienne depuis les histoires de Richard and Kathy, en 6ème B.
Je kiffe grave ce drapeau. Je love trop l’Union Jack. Je suis croque de lui, quoi.

Et il faudra un jour qu’on m’explique pourquoi que le tricolorisme British est so cool, alors que le même à la sauce Frenchie, ostensiblement affiché sur un tee, te vaudra des jets de cailloux et des quolibets, dans la rue.

On va pas me faire croire que c’est les diagonales qu’ont un effet trendy, je suis pas débile.

Fini.

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Recherche Sylvie désespérément

Je sais bien.
J’ai pas épistolé hier.

En sus, tu y perds au change car je t’aime moins qu’hier, mais plus que demain. Voyez comme ça va pas aller en s’arrangeant, nous deux !
Oui, je suis volage, je me lasse vite, mais avouez que tu ne m’aides pas à entretenir la passion en ce moment. Vous êtes d’un tiède, c’est effarant.

Ah oui ?
Oui.

Ah bon ?
Bon.

Ah Ha ?
Take on me.

Bon, donc, hier, là où je vous aimais moins, c’est que je cherchais désespérément le DVD de Sylvie Vartan.

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J’aurais voulu vivre dans le Devonshire

Bonjour mes petites amies.
Aujourd’hui, j’aimerais bien vous montrer quelques petites choses que j’aime beaucoup et que je trouve très belles que je possède chez moi.
Et aussi, je vais prendre la pose pour vous montrer ma nouvelle tenue préférée du moment (depuis 8 heures exactement, car je suis assez changeante, comme la lune).

Bienvenue dans mon petit univers.

Dear dear friends.
Today, I wish to share with you a number of things which are close to my heart. Indeed, I shall take this opportunity to pause for you, such as a model, with my newly favorite outfit of the moment (since about 8 hours) because like the moon, I often change my mind.

Welcome in my little world.

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