Enjoy and surtout, don’t forget to advance the grande aiguille of your clock/watch, because if not, you’ll be trop tôt at the boulot tomorrow morning, and it’s dommage to offer de ton temps at your boss, surtout qu’he will not pay you more.
Album « Paint Your Face« , sortie le 6 avril (I think it will be a carton all over the world, even if the artist is from Saint-Etienne)(lol)
Non.
Non, pas de panique, ceci n’est pas un billet.
Aujourd’hui j’ai fait l’école buissonnière, j’avais les cheveux blonds, un caïman sur mon blouson New Man.
Et donc, pour fêter ce retour aux sources 80’s, comme chaque mardi, cet espace est dédié à toute l’intelligentsia qui souhaite y aller de son analyse poussée télévisuelle.
Ah ça c’est sûr que le quidam non aguerri n’est pas le bienvenu ici, tant c’est philosophiquement poussé le mardi soir. Enfin, excusez-moi, mais les blogs c’est pas fait que pour la rigolade, je n’aimerais pas passer pour une écervelée.
Bref, ce soir il y aura eamimi, alexiane qui fête son anniversaire les cheveux gras cette année, et moi-même, vu que je suis clouée au sol par une luxure de l’épaule due à un excès de bowling sur la wii (voyez comme je suis trop sportive de l’attitude).
Et aussi plein de gens bizarres qui passent par là, voir si on y est. Et justement, ça tombe bien, on y est, dis donc !
Aujourd’hui, attention !
Pas zéro.
Mais une chose dont je veux vous causer !
Trop la fête.
Ainsi, amis de la littérature, un livre tout à fait scotchant. Un livre phénomène. Un livre que j’avais jamais lu un truc pareil, avant. C’est « Zones humides » de Charlotte Roche, un livre sorti en février 08 en Allemagne et vendu à 1 million d’exemplaires.
Ça fait quelques semaines que je vois fleurir plein de papiers dans la presse sur le sujet, et interloquée que j’étais, j’ai couru à la librairie. Alors, je ne sais pas du tout faire la critique littéraire. Pour moi, c’est un vrai métier que de commenter le bouquinage sans paraphraser et surtout en donnant envie !
Donc on va faire simple.
Cet après-midi, j’ai essayé des chaussures et je puais un peu des pieds*. J’aime bien.
A part ça, je vous ai compris que ça te perturbait la Nouvelle Star sur une page dédiée, donc voilà un billet exprès pour. C’est la dernière fois que je cède à vos caprices.
Donc, eamimi, qui est désormais blogueuse (soyez indulgents) animera la soirée avec Alexiane (soi-disant) et vous feront des Campari à la demande.
Si cela ne vous intéresse nullement, soyez néanmoins bien élevés en venant le faire un kikoo de la main atrophiée. Si vous êtes vraiment des blaireaux, je vous donne rendez-vous dès minuit pour un billet un peu spécial, où nous ferons des mathématiques (Oula !).
* C’est pas vrai, c’est juste pour faire mon intéressante.
Bonsoir,
Ca doit sûrement être la fatigue, mais je crois bien que c’est la première fois que je chiale en apprenant le décès d’un chanteur.
Bashung is gone et ça me rappelle que mon adolescence est définitivement révolue, que le 45 Tours de « Vertige de l’amour » n’est plus en vente chez mon petit disquaire miteux, que je ne danserai plus sur « Gaby » dans des boums de cakos boutonneux en Burlington, et que là, tout de suite, je rêve d’apesanteur (pour rejoindre Calogéro, en fait).
Ses circuits étaient niqués, mais le courant, lui, passe toujours…
C’est juste pour dire que comme j’étais en vacances à Serre Chevalier, j’avais pas vu que j’étais citée brièvement dans Vendredi, vendredi. Oh, pas de quoi avoir le melon, tu sais. Je le vois bien que je suis réduite au noyau d’abricot sur ce coup-là.
Ca c’est rien qu’à cause que je parle pas de choses sérieuses ici. Pourtant, je comprends pas que j’ai pas droit à un quart de page (au moins), j’ai quand même cité Séguéla y’a pas si longtemps. Ah bon, c’est pas un philosophe ?
Alors, qu’est-ce qu’on fait, du coup ?
Rien. Bonsoir.