Linvosges : Du beau linge de maison de qualité

linvosges commande en ligne

Les amis, le défi qui est le mien aujourd’hui est grand puisque je dois vous parler de beau linge de maison. Mais sachez quand même qu’en matière de housewife ordonnée y’a mieux, vu que mes serviettes de bain sont encore rangées dans le carton du déménageur de l’année dernière. Ca calme.

Bref, j’ai reçu des serviettes de bain Linvosges couleur « brume » assorti à mon moral actuel, et je les ai testées consciencieusement. Vous vous doutez que je ne suis pas exactement une spécialiste de l’éponge, mais j’ai quand même mes petites manies en matière d’essuyage corporel.

C’est à dire que je ne supporte pas les mauvaises serviettes où quand tu t’essuies avec, t’es toujours aussi mouillé après qu’avant. Genre la serviette qui sert à rien. Genre la serviette qui ne retient pas la pluie.

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Le travail du noir chez Pierre Soulages

Pierre Soulages

Les aminches, je suis en week-end chez ma mère (chance !). Comme vous le savez, à chaque fois j’en profite pour me cultiver un peu plus. Notamment, en dévorant Paris-Match. Je vais même jusqu’à lire ceux des semaines précédentes quand j’ai le temps, c’est dire si ma soif d’apprendre est grande.

Donc, là, je lis dans le Paris-Match « spécial Polanski » que Pierre Soulages (au Centre Pompidou jusqu’au 8 mars) est le plus grand peintre français vivant ! ? Attends, moi qui croyais que c’était Andy Warhol et ses portraits colorés qu’on trouve chez Ikéa, les bras m’en sont tombés.
Ca, ils sont fort dans la vulgarisation culturelle, chez Match.

Enfin, spécifiquement pour les lecteurs de ce magazine de l’intelligentsia, Monsieur Soulages nous explique un peu les secrets de son art, à nous autres, les néophytes picturaux. Ou les teubés du pinceau, si vous préférez.

Soulages est le chantre du « luminarisme », mouvement pictural qui s’intéresse aux reflets, au spectre, à la matière. Le noir est une couleur vivante, il le montre. C’est sûr, il faut être un brin initié, comme dans beaucoup d’autres choses, autrement on passe totalement à côté…

Il y a beaucoup de truqueurs et et d’opportunistes oisifs dans l’art contemporain, certes. Soulages, lui, est loin d’en être un. C’est un grand chercheur. (Mais bon, dans Paris Match, évidemment, la formule est un brin anachronique…)

peinture monopigmentaire

Ah, pardon…

Explication de texte :

Bien que n’utilisant qu’un seul pigment, Soulages a quand même travaillé sur la couleur, il a même recherché des couleurs différentes, bien que n’utilisant qu’un seul pigment (le noir en l’occurence), et c’est au travers de textures, des épaisseurs, des différents outils utilisés qu’il est arrivé à créer des couleurs et des toiles, à mon avis, fortes et profondes.

Bref c’est vrai que l’art moderne est souvent gâché par la préciosité et la prétention du discours qui va avec, c’est vrai que c’est à mille lieues des bouses prétentieuses, poseuses, vides et sans intérêt aucun, c’est vrai que c’est un marché aujourd’hui spéculatif (Koons, Hirst et consorts); mais mais c’est aussi plein d’oeuvre riches, forts, passionnantes, touchantes. perso je me suis pris quelques claques esthétiques. Et Soulages en fait vraiment partie.

Ses toiles sont fascinantes, il se dégage de ces noirs un force et un mystère…

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Mary et Max : poésie et pâte à modeler

Mary et Max

Dernièrement, je reçois une invitation des copains Alexiane et Pingoo à se traîner à une projo d’un film en pâte à modeler ! Vous me connaissez, dès qu’il faut pétrir, malaxer et y coller les doigts, je suis pas la dernière.
C’est donc la fleur au body que je me suis rendue chez Gaumont, jeudi soir dernier.

Je n’ai pas regretté, les copains, tant ce film a exacerbé ma sensibilité et touché ma nostalgie ambiante. « Mary et Max », donc, c’est l’histoire de Mary, 8 ans, une tache couleur caca sur le front, qui fabrique des colliers avec des paquets de chips et qui vit au pays des kangourous.
C’est aussi l’histoire de Max, 45 ans, un juif new-yorkais de 159 kilos, qui possède 8 survêtements de la même couleur.

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Merci bien !

blague carambar

Vendredi, je vous promettais de revenir très vite avec une blague Carambar. Il faut croire que ma quinte de toux s’est éternisée, la salope.
Alors on en est où de cet état grippal ? Bah on en est que j’ai fanfaronné un peu trop vite, les aminches. J’erre dans un état d’abrutissement proche de celui d’Eve Angeli au salon de la lingerie.
Fatiguée, défragmentée, lessivée je suis, après ces 4 jours passés sur ma couche dont on n’a même pas changé la paille ; le personnel de maison s’étant fait la malle de peur d’attraper la terrible maladie de la rentrée. Ils n’auront pas d’étrennes, c’est dit.

Etrennes. Etrennes. Etrennes. (Oh ! Tiens-le bien)
Ah oui, dis donc, j’ai laissé des neurones dans la bataille, moi.

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J’ai la grippe H1N1 : quels sont les symptômes ?

tamiflu

Caramba, amigos ! SBEP se met à l’heure mexicaine.
Figurez-vous que j’ai gaulé la maladie tendance. The it disease est passée par ici. Je suis hype du médical.

J’ai la grippe H1 N1, quoi.

Toute cette histoire a commencé lundi avec un petit mal de gorge. On a continué avec un brin de sinusite, de la toux sèche qui inquiète le quidam sis à mes côtés dans le métro, de la grosse fatigue en fin de journée et puis hier, vers 18h, de la sueur a commencé à perler sur mon grand front intellectuel. Et j’ai eu un peu de mal à respirer.
Je suis alors passée devant un miroir : j’étais aussi livide que le Saint Suaire. Putain.

En rentrant, alertée par la grosse sirène médiatique des 6 derniers mois, je me suis jetée sur le thermomètre à mercure : 38°
En temps normal, j’aurais gobé du Dolip’ en serrant les dents comme un brave petit soldat, mais là, les copains, j’avoue que j’ai cédé à la facilité : SOS Médecins.

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Dilemme

slim noir

Depuis 35 minutes, j’ai hyper envie d’apprendre à faire des pompes sur une seule main. Comme Kevin de Secret Story.
Seulement, j’ai vachement peur de craquer mon slim vintage de 2007.

Putain, j’arrive pas à me décider.

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