If your house was burning, what would you take with you ? The Burning House
Pumpkin pie par Ed Bing Lee
« Totems » d’Alain Delorme via Gaze
If your house was burning, what would you take with you ? The Burning House
Pumpkin pie par Ed Bing Lee
« Totems » d’Alain Delorme via Gaze
Alors quoi de neuf, gens internautes ?
Vous allez voir, c’est pas vraiment la Californie. Dans ce billet, vous ne trouverez pas de blondes siliconées, ni de surfeurs aux muscles si bandés que votre souffle se fait court, vos yeux se révulsent, votre corps se dilate non non, rien de tout ça. Ce sont juste quelques derniers bidules venus envahir penderies, étagères et cornes de Mireille.
La galère niveau optimisation de l’espace, en somme. Ou parfait étalage de consumérisme, ça dépend de quel étage on regarde tout ça.
En tous cas, rien qui ne puisse provoquer l’hyperventilation, je vous rassure. Vous ne partirez pas du bureau en ambulance et vous finirez bien ce putain de Powerpoint demandé par N+23 qui ne le regardera même pas. Le travail, c’est pas drôle.
Coucou les cinglés. Ca va bien depuis ce matin ?
Je tenais juste à vous faire part d’une petite information cruciale, que dis-je vitale, où vais-je capitale.
Donc, c’est pour dire qu’à l’occasion du mariage de William et Kate from Albion le 29 avril prochain, New Balance a décidé de lancer des sneakers princières.
A cette occasion, la marque a créé une édition ultra limitée (seulement 10 paires) à l’effigie des futurs épousés.
Pour tenter de gagner ces modèles collector (si, j’insiste), New Balance met en place un jeu-concours sur Facebook et seuls les couples prénommés William et Kate (ou dérivés) qui posteront leurs photos pourront prétendre aux baskets merchandisés « wedding de l’année ».
Any Catherine dans la salle ?
Bonjour, ça va ? Moi ça va bizarre, surtout que ça caille. Je suis consciente que je poste étrangement en ce moment, mais comme je dis toujours : never complain never explain. En plus, si je devais vous expliquer mes turpitudes du trimestre, vous seriez déjà tous partis vers les horizons de l’easy-reading. Vous auriez raison. L’Internet c’est fait pour le rigolo ; pas le trémolo.
Aujourd’hui, nous nous sommes concertés mon blog et moi et on a décidé qu’on vous ferait un melting-pot, pote ! Voyez comme je suis fatiguée de vous faire des blagues cambodgiennes, alors que l’actualité chaude se concentre vers d’autres contrées. Je veux une vie avec des chatons, des licornes et du pain d’épice.
En somme, et pour recentrer un peu le débat, voilà quelques trucs dont je voulais vous parler, complètement accessoires, donc primordiaux…
Tiens, et si on lisait des livres ? Mon Dieu quelle idée saugrenue, et pourtant voilà deux occasions de feuilleter autre chose que le Grazia et son putain de gimmick de color blok. Le Elle et ses « grosses » à l’IMC plus bas que le PIB du Mali… Laissez donc les gondoles à Venise. Et le fuschia dans le jardin de votre mamie !
Oui oui OUI. Je sais. Je n’ai aucune personnalité. C’est pas faute d’essayer de passer pour l’originale de service mais que dalle. Je suis le mouvement, toujours prête à acquérir le dernier machin qui ne sert à rien.
Aujourd’hui c’est un machin qui ne sert à rien photographique que j’aimerais vous présenter : le mini polaroid.
C’est encore une passade de capricieuse tout ça, vous vous dites. Vous avez raison les copains, mais à quoi servirait la vie si on ne devait acheter que du PQ ou des sacs à aspirateur ?
Donc, il a suffit que je découvre l’objet entre les mains de trois copines en l’espace d’une petite semaine pour que je veuille qu’il soit mien. C’est vous dire comme la notion de patience m’est assez étrangère.
Aujourd’hui, je voulais juste vous dire que j’ai fait une jolie découverte via le journal du design. Quézako ? C’est très simple ; il s’agit de la photographe Irina Werning qui a eu la chouette idée de recontacter des gens qu’elle avait photographiés dans le passé (il y a 10 ou 20 ans, que sais-je) et de les faire poser à nouveau dans le même contexte, la même posture, le même décor.
Enjoy les copains ! (Je vous laisse, je pars à Madrid. Pas toi ?)