La pochette Wonder Woman

wonder woman

Vous vous souvenez de mes chaussures de Wonder Woman ? Si.
Et bien j’ai trouvé leur pendant niveau maroquinerie, c’est à dire cette pochette, qui éclaire et wizzzz carrément la tenue la plus chiante de la terre – jean noir/veste noire, l’outfit des matins chagrins.

C’est quoi cette nouvelle lubie ?

C’est Shine Blossom, une marque de sacs et accessoires créée en août 2011 que je viens tout juste de découvrir.

Le cuir de ma pochette Wonder Woman ft. Sheila (période Spacer) est plutôt au top et, on peut le dire, le rapport qualité/prix au rendez-vous. Bref, j’assure. Si.

 

 

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Il est libre B-Max – mon avis sur le monospace de Ford

lk bennett

Bien. Il faut que je vous dise que depuis ma montée à la capitale il y a une quinzaine d’années, j’ai abandonné la voiture dans un coin de ma belle province verdoyante. Depuis, j’ai dû conduire 4 ou 5 fois à tout casser (la dernière fois c’était pour aller au Leclerc – oui oui celui-là même où j’adorais travailler l’été pour me payer mes carrés Hermès – situé à environ 600m de la maison de mes parents). Voyez le niveau d’as du volant…

Le mois dernier, on m’a proposé de tester le nouveau monospace de Ford, le B-MAX. Ma première pensée s’est envolée vers mon permis de conduire – bordel, où était-il passé ce gredin ?

Ne vous inquiétez pas trop, j’ai finalement retrouvé ce morceau de papier rose où j’arbore fièrement une coque de 3 mètres de haut sur la tête et un joli RAL fuschia, 80’s oblige.

(N.D.A. : Caro vous racontera comment elle est restée scotchée 5 bonnes minutes sur cette photo qui, jusque là, est quasiment restée à l’abri du regard de tous mes maris, amants, petits copains, dates, etc…)

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J’ai la guitare qui me démange

tatouages éphémères

Je ne suis pas spécialement sectaire, mais le monde du tatouage ne m’a jamais passionnée, ni attirée, même quand j’étais trop une rebelle au collège et que je portais des jeans Elastis et du mascara violet aux reflets métallisés. Yeah mec, grave loubarde l’ado au menton acnéique…

Je n’ai jamais voulu en avoir un à tout prix – moi je rêvais juste d’une mob’ pour arrêter de me taper la honte quand mes parents m’emmenaient aux boums du samedi après-midi. Finalement, j’étais plutôt basique… option rebelle de pacotille.

Entendons-nous bien, je ne critique absolument pas le tatouage, mais ça m’intéresse moyen – un peu comme les cours de latin (si vous aimez mieux). Je trouve aussi que peu de filles le(s) portent vraiment bien mais c’est la même chose pour celles qui s’escriment à se déguiser avec des fringues « tendance » qui sont à mille lieux de leurs styles.

Et puis même s’il m’arrive de me marrer l’été dans le sud, où la concentration de dauphins sur l’épaule et de licornes à la cheville est à son paroxysme, finalement il n’y a rien de dramatique là-dedans. Je veux dire personne n’a égorgé des enfants (ah si, tu as égorgé un enfant ?).

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Paris, Go !

Paris Go

Les copains, je suis plutôt contente – option au taquet – de vous présenter aujourd’hui un nouveau magazine parisien. C’est un bimestriel gratuit qui s’appelle « Paris, Go ! » (tu as compris le jeu de mots ?)

Son parti pris est loin de celui du Bonbon, plutôt pratique et complaisant envers les commerçants du quartier, puisqu’il se définit comme un concentré de vie et de culture à Paris, avec un positionnement beaucoup plus éditorial qu’un city-guide classique.
On y trouve de la mode, du design, des voyages, de l’art, de la musique, du média, des geekeries, des tattoos (des vrais pas des gommettes) , de la gastronomie et de la nuit parisienne.

Je suis super fière qu’on m’ait proposé de tenir la rubrique « Mode » avec la rédaction d’un papier « tendance », un portrait d’un créateur parisien et une page shopping (je me sens trop Emmanuelle Alt de l’attitude) tous les deux mois.

Alors oui, je vous avoue que j’étais un peu en panique début juillet quand le rédac’ chef m’a demandé de lui rendre un papier sur une tendance mixte de la rentrée. A ce moment-là, je ne voyais pas plus loin que le bout de mes sandales graou… et que mes prochaines parties de pétanque dans le Lubéron.
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Du vent dans les Kleenex…

On pourrait se contenter de dire que les seuls points communs entre « Du vent dans mes mollets » et « Camille redouble » sont Denis Podalydès, et une chanson de Barbara – au générique de fin du premier film, sortie d’un jukebox et chantonnée par les parents de l’héroïne au milieu du récit, dans le second.

Il y aussi que l’histoire se déroule à la même époque, les eighties, et que ces deux films sont empreints de tendresse, et forcément de nostalgie.

Si j’ai vraiment adoré « Du vent dans mes mollets« , qui a raisonné longtemps dans ma tête, pour son intelligence, sa sensibilité et sa façon de survoler cette époque sans en afficher ses clichés – un clin d’oeil à la pub Banga (dans Banga y’a des fruits, juste c’qu’il faut) suffit à vous faire voyager dans le temps – j’ai moins aimé « Camille redouble« .

J’ai trouvé le film de Noémie Lvovsky maladroit et manquant souvent de rythme mais, paradoxalement, j’ai été scotchée par le jeu des acteurs – la comédienne ne tombe jamais dans la caricature même affublée de guêtres fluos et d’une mini-jupe à carreaux à plus de 40 ans – et surtout par sa mélancolie… la réalisatrice se disant « obsédée par ce qui ne reviendra plus » dans une récente interview à Télérama.

Le sujet du film, a priori casse-gueule (une quadragénaire revit ses 16 ans dans son corps de femme), est pourtant bien traité et évite tous les écueils du grotesque, mais il manque pourtant quelque chose.

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Shopping de rentrée

chaussures léopard

Les gars, ce n’est pas parce qu’on vient tout juste de recevoir le troisième tiers provisionnel de l’IR dans la boîte aux lettres (pardon my non-mensualisation) qu’on va se laisser abattre. Ah non. Je n’allais pas vous laisser errer comme des âmes peinées tout le week-end, ne sachant que faire de vos bourses plates d’après congés, alors voilà une petite sélection shopping chaussures, kids et tout le reste. Amitiés.

Pour celles qui ont encore envie d’été et qui n’auraient pas réussi à mettre le pied (AH AH) dans les sandales graou de chez Zara, voilà deux paires où on n’y voit que du feu (1 & 2). Pour le reste, j’ai particulièrement envie de camouflage, de noir, de clous et de glitter toujours.

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