L’an dernier, à peu près à la même époque, j’avais écrit un article que je chéris tout particulièrement : Une mèche de cheveux. Alors qu’il n’y a pas pire critique que moi envers tout ce qui est posté ici, j’avais même choisi de l’insérer dans mon guide sur l’adolescence. C’est dire…
Si je vous en parle c’est parce qu’on vient tout juste de passer un week-end quasi identique, à Paris. Mes sentiments contradictoires à l’égard de la capitale s’évanouissent toujours à l’approche de Noël, dès que les décorations apparaissent et que la foule se presse dans les grands magasins. En décembre, il y a dans cette ville une sorte d’électricité dans l’air terriblement excitante. Ce qui permet de mettre la campanule entre parenthèses pour profiter des lumières de la ville avec la descendance. Youpi.
Vu le froid polaire le week-end dernier, on avait envisagé un truc plutôt glandouille à base de pyjama jusqu’à plus soif, films à la con et repas anarchiques sur la table basse avec les miettes partout on s’en fout. Sans me vanter, on a respecté ces résolutions – pas faciles – dans les grandes lignes.
Et puis, comme la descendance est une fine bouche et que son repas préféré au monde ce sont les brochettes boeuf/fromage du japonais (Tremble Mercotte !) j’ai dit « En avant la gastronomie », j’ai cassé le PEL et on a quitté nos pyjamas pour nous plonger dans les plaisirs nippons.
La suite … « La fièvre (nippone) du samedi soir »