décembre, 2014

Salut les jeunes. Comme l’an dernier j’ai sacrifié au rituel du déballage d’ego. Croyez-moi, ça fait toujours bizarre de se voir sous toutes les coutures même si j’ai l’air détaché (pour les besoins narratifs).
En 2014, point trop de folies vestimentaires même si j’ai beaucoup montré mon soutif et à part, peut-être, ce tutu de Grande Duchesse. Toujours beaucoup de jean, du noir, du gris et des nouvelles chaussures, sinon la vie n’est pas drôle.

Dans ce gros loto fashion, je vous laisse me donner vos numéros préférés (on s’amuse bien) et je vous souhaite une douce année 2015, que je partagerai avec vous une fois encore, avec le plus grand des bonheurs. Merci pour votre fidélité, amour et cotillons.

PS : Si vous cliquez sur chaque photo, vous accéderez au billet correspondant. C’est beau la technologie, non ?

Trêve des confiseurs oblige (même si je suis plus « salé »), je vais être moins présente ici pendant les vacances de Noël.
Mais comme ma mère fabrique le meilleur foie gras du monde et que j’ai bien peur de rentrer à la capitale avec 12 tailles de plus à la ceinture (OH CA VA MARSEILLE !), voilà un look boyish d’avant agapes*.

* essayez donc de répéter « boyish d’avant agapes » plusieurs fois, de plus en plus vite, sans vous tromper, vous verrez que vous allez finir par regretter le jeu du pendu !

Au menu, un chouette pantalon à carreaux 7/8è – dira-t-on suffisamment que le 7/8è est l’allié des jolies chaussures ? -, une chemise blanche qui n’engonce pas (est-ce enfin le Graal ?), le cuir préféré de ces dernières années, des derbies lumineux, et hop à Créteil. Je plaisante, je suis en Province.

Avant de commencer les festivités, je tenais VRAIMENT à vous remercier pour toutes vos réactions sous cet article.

J’ai laissé chacun(e) exprimer son point de vue ou partager un morceau de vie sans intervenir parce que c’est compliqué de commenter les sentiments, surtout si ils sont parfois douloureux. Mais c’était vraiment chouette et réconfortant de vous lire. Trop de sentiments.

Bon, c’est pas tout ça, mais aujourd’hui c’est un mini JJG qui vous attend. C’est pas vraiment un JJG mais c’est quand même un peu un JJG (vous suivez ?)(ou je t’explose), et comme c’est un hybride il ne sera pas numéroté. C’est l’armée ici, hein.

Vous voyez ce soutien-gorge ? Non ? (les lunettes, ça s’essuie de temps en temps les gars)
On va dire que si, et bien il fait des seins de dingue. Croyez-moi sur parole – je suis pudique -, le tulle imprimé épouse si bien la poitrine qu’on dirait que tous les deux dansent un slow torride sur l’été indien (tu nous manques Joe !).

L’auteur de ce délit, pour les initiés de la jolie lingerie, c’est NOO, une marque de sous-vêtements qui se décline en 4 gammes pour elle et lui. On peut décider de s’assortir à son compte-joint (postulat classique) ou bien de mixer les pièces d’une même gamme, en portant son caleçon en bas par exemple (postulat foufou).

Ça n’a pas manqué de me rappeler les années 90 où on portait les dessous Arthur de nos amoureux pour s’endormir à leurs côtés (vous vous souvenez ?)(chut, votre mère lit mon blog).

Si j’étais aux affaires publiques – c’est possible, j’ai fait des études juridiques – j’interdirais les Noëls sans enfants.

Je peux en parler en toute légèreté cette année, puisque c’est mon tour « avec », mais ceux qui ont pris le 50/50 dans le terrible jeu familial le savent. Dans cette équation où tout est savamment divisé en temps égal, si on arrive tant bien que mal à se faire à l’absence de l’enfant une semaine sur deux, l’année du Noël « sans » est l’épreuve qu’on ne souhaite à personne. Pas même au pire troll de blogs féminins…

Ok, le calendrier de l’Avent est aussi un passage un peu désagréable. Certaines de ses cases désespérément fermées en décembre nous rappellent que le partage n’est pas toujours une chouette notion.

Mais après tout, ce n’est que du carton avec des petites fenêtres et du chocolat bas de gamme à l’intérieur. Pour ma part, j’ai arrêté d’en acheter, ça me faisait le même effet que Les paradis perdus de Christophe (oui, oui, l’envie de chialer).

Salut, c’est moi (Violette).
J’ai toujours le même problème avec la chemise blanche ; je l’adore dans les magazines, mais je me sens hyper engoncée dedans (la vérité, c’est que je voudrais pouvoir sortir en pyjama).

Je n’ai toujours pas trouvé la solution miracle – la chemise blanche en pilou aurait-elle le même rendu ? -, mais quitte à s’engoncer pour les besoins stylistiques, autant le faire avec panache. Et en la matière, piquer la chemise blanche de son mec, je trouve que ça donne sacrément fière allure.

C’est ainsi que l’autre jour je pavanais dans la rue, nonchalamment dégingandée des poignets, pensant que pour une fois j’avais réussi mon engoncement de parisienne faussement désinvolte (celui que nous envie, parait-il, la terre entière).

Perdue dans mes pensées mouillées (ça pleuvait), Nounours m’a alors vite ramenée à la réalité : « Tu ne fous pas de fond de teint sur le col, hein ! » (sympa).
Trop terre-à-terre, je crois qu’il n’a pas remarqué mon hommage à D’Artagnan.