Sheitan

top dentelle

Salut, c’est Violette. Je vous préviens DIRECT, pas de look révolutionnaire aujourd’hui (est-ce que ça change vraiment, telle est la question ?), mais un outfit de pacotille et absolument plus de saison, porté en vacances à Tanger la semaine dernière.

Mais, pour ma défense votre honneur, tout ceci n’est qu’un prétexte qui va me servir à vous parler de ce petit point relou concernant mon séjour marocain.

Durant ces quatre jours, et à l’intérieur de la Médina exclusivement, j’ai souvent senti plein de regards appuyés (et masculins), et je dois vous avouer que parfois je n’étais pas franchement à l’aise (encore pire que pendant mon road trip en Jordanie et que je ne trouvais aucun WC pour femmes sur ma route, imaginez !).

Pourtant, je suis plutôt respectueuse des us et coutumes des pays dans lesquels je passe. Par exemple, vous ne me verrez jamais bronzer en string sur une plage d’un pays musulman…

Et puis, vous me connaissez, c’est pas comme si j’avais le look cagoline chevillé au corps – c’est quand même pas si fréquent que je me promène ras la moquette et talons de 50.
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Boden : Raiponce en marinière

boden

Aujourd’hui c’est Cyclamen qui s’y colle en ce qui concerne la moderie sur SBEP, mais ne fuyez pas pour autant, elle chausse désormais du 36 et certaines d’entre vous vont dorénavant pouvoir lui piquer ses grolles. Imaginez qu’elle devienne encore plus affluence que moi ? (je crois que mon ego ne pourrait pas le supporter, ne parlez pas de malheur)

Bref, comme chaque saison depuis deux ans, elle vous présente la nouvelle collection de la marque Boden, que nous chérissons à la maison plus que de raison (poésie, ne vois-tu rien venir ?). En 2013, on est passées à la gamme Johnnie B, « pour les grandes » de 8 à 16 ans (OH YEAH).

Au fil des années, son comportement face à l’objectif varie selon ses humeurs. Cette fois-ci elle était plutôt au taquet, prenant des poses que même Betty aurait jamais pensé adopter (elle va traduire son journal intime en brésilien d’ici la fin du mois).

Le fait qu’elle soit de plus en plus coquette me fait plutôt plaisir (elle a voulu porter des joggings toute l’année du CE1 et j’ai cru qu’elle était la jumelle de Karma de Shiloh Jolie-Pitt) et m’inquiète en même temps.
Enfin, l’essentiel c’est qu’elle soit heureuse… et qu’elle ne ramène pas de poux à la maison. Ce qui n’est pas si évident avec ses velléités de Raiponce.
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Tanger, la douceur de vivre

plage hotel mirage

Salut les jeunes. Je suis rentrée hier soir après un vol Tanger-Paris particulièrement chaud les marrons – l’avion est toujours une épreuve pour moi (pire que manger de la cervelle). Alors que je commençais tout juste à me détendre après le décollage, un trou d’air a décidé de nous faire un petit coucou en passant.

Pendant qu’une femme vomissait au loin et que celle assise devant moi hurlait comme un coyotte, j’ai fermé les yeux en espérant très fort que le crash arrive vite, histoire qu’on ne souffre pas trop.

Cinq minutes plus tard, le commandant de bord a dit qu’on avait traversé des vents contraires (les cons) mais que tout allait bien, on pouvait continuer à manger nos sandwichs en plastique. Moi, la prochaine fois, je prends le bateau JE VOUS PREVIENS. La suite … « Tanger, la douceur de vivre »

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Rock tiédasse

boots delphine conty

Je crois que le couscous me rend complètement Alzheimer, parce qu’avec tout ça j’avais complètement oublié de vous parler de mes nouvelles boots.

La qualité de ces boots est vraiment dingue, le cuir hyper souple et même si elles paraissent sobres au premier regard, elles ont toujours ce tout petit supplément de créativité qui fait que tu n’auras pas (Ô misère !) les mêmes shoes que la voisine de table.

Ce qui arrive un peu trop souvent dans le quotidien de la blogueuse mode (qui, avouons-le, n’est pas la meilleure représentante de la personnalité incarnée…).
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4 jours à Tanger : quoi faire ?

the a la menthe

Hey salut, je suis à Tanger (y’a Internet).

Comme on se la joue plutôt cool cette fois-ci (j’ai tellement arpenté Florence l’autre jour que j’ai encore les mollets cristallisés par l’angoisse de la marche), j’ai trouvé un peu de temps pour vous poster mes premières impressions car, comme je dis toujours, mieux vaut tout découper que poster du pavé.

En vrac et sans décodeur, c’est la douce torpeur qui règne ici. Comme dit le propriétaire du charmant Riad où on crèche : « A Tanger on se lève quand on n’a plus sommeil, on mange quand on a faim et on travaille quand on n’a plus d’argent« . C’est tellement sage comme maxime que j’en chialerais presque de bonheur.

En plus, joie dans les coeurs, le tourisme de masse ne passe pas par ici. Il faut vraiment faire des efforts pour croiser des non-tangerois dans les rues de la médina, et ça donne un charme supplémentaire à la ville.

Je me sens un peu hors du temps, comme anesthésiée, malgré les multiples thés à la menthe offerts de bon coeur tout au long de la journée qui finissent par me faire palpiter le coeur (ou bien je fais de la tachycardie marocaine ?).
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