Yo ! Figurez-vous que jeudi dernier j’ai fait la fashion week (je sais, ça poutre d’entrée de jeu).
Ne vous méprenez pas : je ne suis trop « FW » de façon générale. Je ne suis pas non plus de celles qui posent 4 jours de RTT et je ne retiens rien pour assister à tout ce que la capitale compte de shows. Je préfère jeter mes congés dans les vacances. Nobody’s perfect comme on dit par chez nous.
Néanmoins, j’aime bien assister à 1 ou 2 défilés par an, grand max, parce que c’est un peu comme vivre une parenthèse enchantée – et déconnectée – au beau milieu d’une semaine de travail ordinaire, ascendant morose.
Je garde, du coup, une âme de gamine émerveillée dans un magasin de jouets, bouffant des yeux tout ce que le monde fashion people chabala compte de gens déjantés… et parfois pathétiques. Bref, ça me fascine, parce que ça reste exceptionnel et aussi, je crois, parce que je n’ai pas vraiment de légitimité à être assise là, au milieu de japonaises perchées sur des talons de 67…