Flowerbomb La vie en rose de Viktor & Rolf

Les gars, ça fait trop longtemps que vous n’avez pas été gâtés par ici – remédions à cela illico si vous le voulez bien. Vous le savez, Viktor & Rolf ce sont mes petits choupinous depuis qu’on a eu la chance de converser dans un anglais complètement fluent (je suis le jubilé anticipé) en janvier dernier.

A l’occasion de la sortie de la déclinaison estivale de Flowerbomb, « La vie en rose » Viktor & Rolf, je vous propose de gagner l’édition limitée de cette eau de toilette acidulée. Rien de délirant là-dedans certes (enfin quand même, quoi) mais j’aimerais profiter de ce titre lourd en signification pour vous faire une confession.
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Galia bijoux

Une fois n’est pas coutume, l’autre jour je suis tombée en arrêt face à un Communiqué de Presse tombé dans ma bal. Après avoir poussé des Wahou, des Oohh et des Dingue ! sonores face à des colliers charmants et originaux, j’ai décidé de demander un shopping au service de presse (je me sentais trop rédactrice de mode pour la première fois de ma vie).

Les gars, un shopping c’est quand on vous prête les trucs pendant quelques temps histoire de les contempler et de les photographier tout à votre aise, et après vous les rendez la mort dans l’âme car vous n’êtes pas une voleuse – et encore moins une petite malpolie.

Voilà, donc j’ai eu ces merveilles chez moi tout le week-end. Dimanche soir, comme je n’ai pas de chat, je les ai installées sur mes genoux pour les caresser amoureusement. A un moment, je crois bien avoir entendu un ronronnement (à moins que ce soit Nounours qui ronflait devant Capital)(lol).

Au premier regard j’ai senti une inspiration Shourouk et je ne me suis pas trompée puisque Justine Paul, la créatrice des bijoux Galia, y a fait un stage il y a quelques années de cela.
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Graou : les sandales léopard

Souvenez-vous, je ne dormais plus à cause de ce vernis fluo dont j’ignorais le nom.
Vendredi dernier, je suis retournée chez ma pédicuriste locale et, en entrant dans la minuscule boutique à nails, je l’ai aperçu sur une étagère qui attendait sagement sa nouvelle maman (moi).

J’ai alors crié « c’est lui, c’est lui !« , je l’ai saisi, l’ai retourné et là, stupéfaction et malheur pendant 10 générations : l’étiquette de son matricule avait disparu. Avant que la pédicuriste ne m’enfile de force la camisole, j’ai réussi à lui demander si, des fois, elle connaîtrait pas son petit nom. Elle l’ignorait.

J’ai alors posté la photo du vernis O.P.I sur tous les réseaux sociaux de la création afin qu’on m’aide à retrouver son nom. Je me suis vite retrouvée submergée par des intitulés tous plus saugrenus les uns que les autres :

Kiss Me on My Tulips, That’s hot, you’re a pisa work, D.C cherry blossom, Koala bear, Pink flamenco, Shorts story, Too hot to pink, don’t know beets me, Strawberry margherita…
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