Les gros, aujourd’hui prenons le chemin de la moderie si vous le voulez bien.
Il s’agira de vous démontrer que la blogueuse n’est pas toujours une super-consommatrice Kleenex, oh que non. Ainsi, c’est sans honte aucune que je vous ressors le Tom de l’ami Dreyfuss acheté il y a des siècles (en unité-mesure 2.0, ça équivaut environ à 19 mois), et re-aimé récemment par votre serviteuse.
Un peu défoncé et couvert de grabouillages au Bic 4 couleurs, je crois qu’il reste ma valeur sûre. Mon refuge en ces temps tourmentés où nos penderies, à nous autres les vendues de l’Internet, ressemblent à un showroom.
C’est pas l’amie Galliane qui dira le contraire…
Néanmoins ! Néanmoins, c’est pas parce qu’on se réfugie dans la valeur refuge qu’il faut perdre tout sens de la spéculation (ami non-trader sors donc ton lexique économique).
Et c’est ainsi que j’ai décidé, en ces temps de grande froidure qui font l’ouverture d’un JT proche de la préoccupation populaire, d’accessoiriser mon vieux sac indigne d’une queue. Et d’un nouveau manteau en laine.