Essaouira, je suis tombée pour elle

Les copains, j’ai jamais vu autant de mouettes qu’à Essaouira. Sûr que si Pascal Obispo avait été marocain, l’île aux oiseaux aurait eu plus de gueule que celle du bassin d’Arcachon. Enfin c’est son choix. Après tout est encore possible, il est bien devenu samouraï dernièrement…
Bref, je suis plus que feignasse aujourd’hui, et comme plus tard je ne veux pas faire guide touristique comme métier (mais juste fille qui part toujours en vacances), je vous laisse avec ces dernières photos de mon voyage au Maroc. Et tout mon amour. Bien sûr.

P.S. : Excusez ma méchante humeur, mais avec toutes ces conneries de vacances, je n’ai toujours pas maté un seul épisode de Secret Story. Je commence à me sentir has been de la télé-réalité, cru été 2010. Ca va pas fort, quoi.

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Rock the Kasbah : 2 jours à Marrakech

Comment ça où sont les Bounty de la soirée diapo ? Attends les copains, si en plus on doit vous filer le catering sur les blogs, on va jamais s’en sortir hein ! Donc, j’ai passé deux jours à Marrakech la semaine dernière et j’avoue que je ne me souvenais que très vaguement de cette ville où j’avais séjourné d’antan, je ne sais plus trop quand. Ma mémoire est plus que sélective. C’est une vraie salope, en fait.

Hormis le fait que j’ai littéralement grillé sur place par 50°c (pas la peine de te charger en LSD, ton corps réagit très bizarrement sous grand cagnard aussi), cette ville est une vraie charmeuse. Et je dis pas ça parce qu’il y a des photos plus que flatteuses du King à tous les coins de rue. Je suis pas chaudasse à ce point.

Un grand écart absolu entre le bordel ambiant de la Kasbah où l’opium est plus facile à trouver qu’une bouteille de rosé et la nonchalance de la Palmeraie où j’ai fini de tuer mes cheveux dans le chlore d’une piscine plus que parfaite.
21 juillet 2010 : une douche dans une salle de bains/cathédrale – la lumière était jolie – happy birthday to me…

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Séjour au Maroc : Taghazout, Tifnit et la vallée du paradis

Bon, les copains, assez parlé de cheveux ou autres protections intimes, place à la géographie du Maghreb ça ne vous fera pas de mal. D’ailleurs, Brian en est toujours à sa première fiche de révisions (celle qu’on remplit à l’aéroport)… c’est vous dire comme on est pas rendus.

Je pourrais discuter des heures avec vous autres de toutes les émotions ressenties là-bas, au Maroc, mais comme la majorité sont liées à l’affect et que vous connaissez ma pudeur légendaire, je préfère les garder pour moi. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait la première semaine de mon séjour, oubliant bien souvent mon reflex au vestiaire, souhaitant remplir ma tête plutôt que la noire et glaciale carte mémoire de mon appareil chéri d’images heureuses… Putain, c’est donc ça qu’on appelle le « lâcher prise » ?

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Joie du vent qui passe

Salut les terrines, c’est moi. Voyez que tel un boomerang je reviens toujours vers vous, même après deux semaines de rêve passées au Maroc.
Alors oui, je sais que l’illustration donne pas trop dans l’ambiance tajines, arganiers et Aladin, mais je n’ai pas encore eu le temps de trier toutes mes photos. J’ai pensé que coller ma trombine en haut de page comblerait le manque narcissique de cette quinzaine passée loin de vous. Ouf, je respire.

En parlant d’ego-trip, je vous raconte pas comme ma fierté capillaire en a pris un coup, là-bas. Putain, c’est mon coiffeur Michel qui va pas manquer de m’engueuler quand il va plonger ses doigts dans la paille qui officie sur mon crâne désormais. De la paille, les copains, de la paille ! Ruinés, niqués, incinérés les cheveux. R.I.P.

Sans aller jusqu’à partir avec le container de Volvic en soute, croyez pourtant bien que je les ai soignés à coups de masques, brumes, sprays et toute la délégation anti-UV (tu me connais). Las. Le vent brûlant (le Chergui, que s’apelorio) a eu raison de tous les onguents du monde, les 50°c de Marrakech les ont achevés.

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Let’s make love

Marilyn et Montand dans Le Millionnaire, c’était surtout l’histoire de Simone Signoret un peu cocue aux entournures. Mais aussi celle du pull-over torsadé porté à même les collants par la blonde peroxydée. Hot quoi. Faut dire que le film n’étant pas un chef d’oeuvre, fallait bien s’entourer d’histoires parallèles, devenues des mythes, pour que George Cukor s’en sorte financièrement.

Bref, Gérard Darel a remporté aux enchères chez Christie’s en 1999 ce légendaire pull en laine torsadée blanc cassé, dans lequel Marilyn aimait se pelotonner en gobant ses anxiolytiques (thèse officielle). Et même si la vision d’un pull irlandais m’a toujours donné envie de me gratter jusqu’au sang, je dois bien reconnaître que celui-là incarne à mes yeux le paroxysme de la sexytude.

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