Joie du vent qui passe
Salut les terrines, c’est moi. Voyez que tel un boomerang je reviens toujours vers vous, même après deux semaines de rêve passées au Maroc.
Alors oui, je sais que l’illustration donne pas trop dans l’ambiance tajines, arganiers et Aladin, mais je n’ai pas encore eu le temps de trier toutes mes photos. J’ai pensé que coller ma trombine en haut de page comblerait le manque narcissique de cette quinzaine passée loin de vous. Ouf, je respire.
En parlant d’ego-trip, je vous raconte pas comme ma fierté capillaire en a pris un coup, là-bas. Putain, c’est mon coiffeur Michel qui va pas manquer de m’engueuler quand il va plonger ses doigts dans la paille qui officie sur mon crâne désormais. De la paille, les copains, de la paille ! Ruinés, niqués, incinérés les cheveux. R.I.P.
Sans aller jusqu’à partir avec le container de Volvic en soute, croyez pourtant bien que je les ai soignés à coups de masques, brumes, sprays et toute la délégation anti-UV (tu me connais). Las. Le vent brûlant (le Chergui, que s’apelorio) a eu raison de tous les onguents du monde, les 50°c de Marrakech les ont achevés.