Chère Marie Lannelongue,
J’ai acheté Glamour ce matin parce que je savais qu’une « enquête » sur le business de la blogosphère féminine apparaîtrait dans vos pages. Evidemment, je n’ai rien appris sur le sujet, mais là n’est pas le propos.
J’ai été très étonnée de lire votre édito qui se faisait l’écho, ce mois-ci, de ce reportage vendu sur la couverture comme « Le vrai business des blogueuses de mode », marronnier des temps 2.0…
Fausse promesse, puisque au détour de ce passionnant article, le journaliste laisse planer le doute sur une rumeur (mais laquelle, mon Dieu ?) selon laquelle les 6 blogueuses ayant créé leur paire de chaussures pour André (dont je fais partie) auraient négocié 11% sur les ventes.