Je ne suis pas spécialement sectaire, mais le monde du tatouage ne m’a jamais passionnée, ni attirée, même quand j’étais trop une rebelle au collège et que je portais des jeans Elastis et du mascara violet aux reflets métallisés. Yeah mec, grave loubarde l’ado au menton acnéique…
Je n’ai jamais voulu en avoir un à tout prix – moi je rêvais juste d’une mob’ pour arrêter de me taper la honte quand mes parents m’emmenaient aux boums du samedi après-midi. Finalement, j’étais plutôt basique… option rebelle de pacotille.
Entendons-nous bien, je ne critique absolument pas le tatouage, mais ça m’intéresse moyen – un peu comme les cours de latin (si vous aimez mieux). Je trouve aussi que peu de filles le(s) portent vraiment bien mais c’est la même chose pour celles qui s’escriment à se déguiser avec des fringues « tendance » qui sont à mille lieux de leurs styles.
Et puis même s’il m’arrive de me marrer l’été dans le sud, où la concentration de dauphins sur l’épaule et de licornes à la cheville est à son paroxysme, finalement il n’y a rien de dramatique là-dedans. Je veux dire personne n’a égorgé des enfants (ah si, tu as égorgé un enfant ?).