L’ancrage

stan smith rouges

C’est à dire que non, je n’ai pas lâché l’affaire avec mes problèmes de Stan Smith – ni les couineuses, ni les stan smith puent n’ont eu raison de ma ténacité. NON MAIS OH.

Mais pour éviter de commander une troisième paire identique aux deux premières (je suis tenace, mais pas routinière), j’ai collé un peu de fantaisie à ma commande : des nouvelles Stan Smith oui, mais en cuir texturé et rouges ! LA MALADE.

Pour l’instant, rien à déclarer : rien ne grince, ni ne pue (il faut dire qu’elles restent loin des regards de Cyclamen)(enfin, des regards…).
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Rastignac à la capitale

A l’affiche, une plaque « entrée des élèves » pile le jour où la marmaille reprend l’école après les vacances de la Toussaint, dans un article qui n’a aucun rapport avec le sujet scolaire. Quel talent !

Blague à part, le look que vous voyez aujourd’hui c’est tellement moi que ça en devient presque gênant. Je n’aime rien plus que porter mon vieux jean doudou, une paire de baskets, et hop une allure low profile, agrémentée d’une touche gentleman farmer (j’ai grandi en campanule).

Encore une veste à carreaux ? Euh. Oui. Mais celle-ci n’a rien à voir avec celle de l’autre jour, elle est plus molle, plus dégaine, plus je vais chasser le faisan de façon urbaine. Outfit de Rastignac à la capitale.

Tiens, ça tombe bien que vous me parliez de lui (Rastignac), puisque cette veste de fermier cool c’est une Balzac Paris, marque créée par Chrysoline avec qui j’ai bossé il y a quelques années.

Comme quoi l’open space mène à tout, même et surtout au talent couturier. Oui, aujourd’hui les coïncidences de la vie se ramassent à la pelle. Mais surtout, et c’est bien là l’essentiel, je me suis fait couper les cheveux.
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Les couineuses

stan smith font du bruit

Vous êtes encore là, vous ? Moi aussi, ça tombe bien.

Je ne vous ai jamais parlé d’un truc qui me mortifie jusqu’au plus profond de ma chair : alors voilà, j’ai les Stan Smith qui couinent… (ça fait un choc, hein ?). Je vous avoue que je ne comprends pas, j’ai eu beau tout essayer – tordre la languette jusqu’à plus soif, les balancer contre un mur en béton, les tournicoter dans tous les sens – rien n’y fait, je couine des pieds.

Mes Stan Smith font du bruit.

Alors quand je marche dans la rue, dans le brouhaha des piétons et des bagnoles, ça passe. Mais je ne vous raconte pas la honte quand il faut traverser un open space silencieux, se déplacer dans un lieu feutré ou descendre mes escaliers.

J’ai l’impression que la terre arrête de tourner, que tous les regards se tournent vers mes pieds tapageurs… Scrounch Crouing, voilà l’élégance.
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