Bracelet triple, Marie-Hélène de Taillac
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Je sais que si je ne vous expose pas ici, ce soir, ce qui me tracasse depuis un bon moment, je ne pourrais pas aller me coucher sereine (et c’est important le Dimanche soir).
Non, mais, on passe quand même souvent à côté de problèmes terribles qui, si on prenait le temps d’y réfléchir avec intelligence, pourraient être résolus bien plus souvent qu’on ne le croit !
Bon, franchement, est-ce que ce n’est pas débile comme prénom « hello Kitty » ?
Littéralement, imaginez juste un moment que vous vous appeliez, par exemple, « Bonjour Florence », parce que c’est ça en gros, même si Kitty n’est pas la traduction exacte de Florence, mais le problème est bien là, hein ?
Comprenez-moi, ce n’est pas le Kitty qui me gène, c’est le Hello.
C’est quand même bizarre ce prénom composé, non ? En plus, il n’y a même pas de tiret entre les 2 prénoms ?!? C’est super troublant…
Ou alors, je n’ai rien compris et il s’agit de son prénom et de son nom ?
C’est à dire, prénom = Hello / nom = Kitty ?
Si c’est le cas, c’est vraiment la misère pour cette pauvre fille, s’appeler bonjour, c’est vraiment pas gagné.
Si vous avez des infos sur ce sujet à polémique, je le concède, je suis preneuse.
Finalement, ça m’a donné super mal au crane cette histoire…
On oublie trop souvent que les enfants ne maîtrisent pas le second degré.
Il y a quelques jours, Cyclamen (ma fille adorée – bientôt 3 ans), me tend une crotte de nez tout juste extirpée de son petit nez si adorable en criant « Pouahhhh » !!!
Moi : ????
Cyclamen : Tiens Maman !
Moi : Non merci, je n’en veux pas.
Cyclamen : Ben j’en fais quoi alors ? Je sais pas où la mettre !
Moi : Ben, tu n’as qu’à la manger
Évidemment, qu’elle l’a fait ! Vous croyez sincèrement qu’une enfant (si intelligente soit-elle) peut assimiler mon humour dévastateur ?
J’ai été très déçue ce jour-là…
Comment ? Qu’est-ce que j’apprends ? (célèbre tirade
tirée du film « la vérité si je mens 2 » : et oui, grosse référence cinématographique)
Vendredi dernier, Ségolène Royal a déclaré « Je pense que les Français devraient avoir chez eux le drapeau tricolore, comme dans d’autres pays où dans les fêtes nationales les drapeaux sont mis aux fenêtres »
Alors là, je m’insurge, je me révolte, je dis NON !
Pour la simple et bonne raison qu’esthétiquement parlant (parce que ici c’est la seule chose qui nous intéresse), ce n’est vraiment pas le plus beau.
Ben ouais, on n’a pas eu de chance sur ce coup là, c’est vrai, mais moi, tant qu’on me demandait pas d’en mettre un à mes fenêtres, ça ne me dérangeait pas.
Je sais pas moi, mais l’Union Jack, il est vachement plus sexy comme drapeau ; c’est quand même celui de Kate et de Robbie quoi !
Alors, je te le dis franchement Ségo, NON, ça va vraiment pas le faire !
Le violet est incontournable cet été, donc il me les faut !
(Vous avez relevé le brillant jeu de mots contenu dans le titre de ce billet ?)
J’avoue, j’ai du décrocher vers 1979.
Je crois que j’étais trop petite pour comprendre tous les imbroglios familiaux qui tournaient autour de cette pauvre Candy, donc j’ai lâché l’affaire.
J’ai découvert récemment une analyse psychologique du manga « Candy » (non, on ne se marre pas, c’est très sérieux) et là, j’ai appris un truc de malade !
Apparemment, à la toute fin de « Candy », on apprend que l’oncle William, M. Albert et le Prince des collines ne font qu’un : l’avenir romanesque de Candy est désormais bouché, son premier amour se trouve être son père adoptif, et les liens affectifs supplantent désormais les épanchements sentimentaux.
Alors, voilà, je suis un peu chiffonnée par tout ça et pas très rassurée, je l’avoue, par l’état de santé mental dans lequel doit se trouver cette pauvre Candy Neige-André (My god, quel nom de malade!).
Alors, si vous avez des news, faites passer…