Du pourquoi de la désexualisation de Barbie

Lors d’une récente soirée avec des amies, je me suis livrée à une confidence honteuse. Tu sais le genre de truc d’où tu sais pas comment c’est arrivé dans la discussion, mais que juste après tu regrettes rapport que les gens te regardent un peu interloqués et se disent que finalement, t’as toujours été un peu barrée, sauf qu’en fait, eux aussi, donc tout va bien et tu reprends un verre de Chablis, car tu l’as bien mérité.

Bref.
J’ai avoué que, petite fille, je coupais les seins de mes poupées Barbie.
Ouais.
Je sais ce que tu es en train de penser.

Comme susnarré plus haut, y’a eu un petit blanc. Un truc est passé. Ange ou assimilé.

Ensuite, là, maintenant, histoire de te faire fuir, je pourrais te donner une vague explication analytique, histoire de me justifier.
Ce que je vais faire.
En gros, si ça te branche, tu te pencheras sur le développement du « surmoi » dans la psychanalyse Freudienne.
Là, je t’avoue, j’ai la flemme, et j’ai lu Freud y’a trop longtemps pour te délivrer ici le concept de façon claire et précise.
Par contre, laisse moi te dire quand même que couper les nichons de Barbie c’est pas complètement idiot.
Rapport qu’on dit partout que la formation de l’idéal repose sur des identifications qui commencent très tôt.
Et, parallèlement à chaque identification, advient une désexualisation.
Donc, je suis normale.

Ensuite, à la fin de cette soirée « confessions intimes », les langues se sont déliées.
T’as une fille qui avoue « ouais, ben moi, c’est bizarre, je leur rasais les cheveux »
Là, pour me faire oublier, je me suis sentie obligée de sortir un « peut être, elles avaient couché avec les Allemands »
Je sais, c’est pas brillant, mais je suis plus drôle quand je suis sobre, tu m’excuseras.

Finalement, tu te rends compte que quand t’es môme t’es encore plus cintré qu’adulte, parce que y’a une autre fille qu’a ajouté un truc dément.
Elle a argumenté que elle, oui Madame, ben elle avait jamais perdu une seule chaussure de Barbie !
Quand tu sais toute le shoesing qu’elle se trimballe (Barbie, pas ma copine), ben je dis que ça relevait de l’exploit cette histoire et que ça montre une méticulosité précoce que je dis juste chapeau bas et révérence.

Dans un premier temps, tu peux aisément conclure que j’ai des discussions passionnantes, d’une façon générale.
(en fait, il n’y aura pas de deuxième temps, je me suis avancée un peu vite, confuses et autres formules de politesse d’usage)

Pourquoi je te cause de ça qu’on s’en tamponne en réalité ?
Ben, déjà, c’est le billet merdique du week-end. Tu vois pas que j’avais failli l’oublier lui !
Et surtout, aujourd’hui, l’histoire s’est répétée rapport que Cyclamen est arrivée vers moi en tirant sa poupée Charlotte aux Fraises par les cheveux, une paire de ciseaux à la main, et qu’elle m’a sorti un « je veux y couper les cheveux »
J’ai interrogé « Et pourquoi donc, chère enfant ? »
« Parce que je veux qu’elle soit un garçon » qu’elle a répondu.
No comment.

Et là, on a mis un vieux vinyle de Mylène Farmer…

Y’a quand même une grande interrogation.
Est-ce un syndrome typiquement féminin ou bien les petits garçons coupaient aussi les couilles de leurs Big Jim et on savait pas tout ça ?
De plus, m’est avis qu’ils avaient pas de couilles les Big Jim, si ?

Pffft, ouais, je sais, ça va te perturber tout le week-end ces conneries…

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Blog en grève. Il n’y a pas de raison qui tienne !

 

Aujourd’hui, j’ai décidé de faire grève du billet.
Non, non, pas par solidarité, comme à la Maternelle où va Cyclamen, où qu’ils ont décidé de faire grève aussi, juste parce que les autres la font, donc y’a pas de raison, des fois qu’ils auraient pas assez de vacances dans l’année, tu penses…
Ils sont fonctionnaires eux ou bien ? Ah oui, ils sont fonctionnaires…Donc, non, juste par flemme, histoire de sauter un billet.
T’imagines bien, que je suis pas buse au point de me casser le cul à t’écrire un truc spirituel, alors que t’as pris un RTT, prévoyant que tu es, et que donc, comme tu blogues exclusivement depuis ton lieu de travail, je vais pas gâcher. Non, je ne vais pas gâcher. Le talent ça s’économise.
Sauf qu’en fait, comme tu le vois, je suis encore en train de te mettre une tartine alors que c’est censé être vide ici.

Mais bordel, on va jamais s’en sortir de ce blog ou bien ?Dans la vraie vie, plusieurs solutions s’offrent à moi aujourd’hui, jeudi 18 octobre.

– Aller à pied au bureau. 6 stations de métro = combien en pieds l’un devant l’autre ? Aucune idée, mais c’est beaucoup trop, quoiqu’il en soit.- Le vélib’. Bon là je me gausse. Tu crois sincèrement qu’il va y avoir une seule bicyclette de free aujourd’hui ? Tu me diras, les gens, ils les posent bien, à un moment, leurs vélos ?! Ils font pas du tricycle all over the day.
Pas faux, mais ils vont pas forcément les déposer devant chez moi.
Voilà. Et là, tu ne sais plus quoi dire. Oui, on peut l’avancer, tu as l’air con avec ton argument qui tient pas la route (vélo / tenir la route / jeu de mot pourri / tout ça).

Le covoiturage. Le quoi ? J’ai pas compris.

Ne pas aller bosser. En voilà une idée qu’elle est séduisante.

Je te propose donc, que tu sois chez toi, sur ton vélib, dans les embouteillages, chez ta grand-mère en train de bouffer des financiers à la figue (très bon, j’ai testé mardi soir à une sauterie, je te conseille), au bureau comme un gros con, ou encore en train de te reposer après un rapport sexuel héroïque, de : gueuler si tu le veux, de faire des mots mêlés, de danser la Javanaise, de faire une écharpe au crochet, que séje encore, …

Mais tout ça dans les commentaires.

Ouais, j’ai bien vu, tu penses, y’a challenge en la demeure. Mais ne me déçois pas.Sinon, t’as qu’à te recoucher.

– Une pointe de culture ne fais jamais de mal : Sais-tu ce qu’est la « grève à la Japonaise » ? Non, sûrement.
Et bien, c’est quand les grévistes mécontents s’expriment par le port d’un brassard, affichant parfois leurs revendications, durant les heures de travail.

En gros, une grève qu’est chiante car ça bloque pas les transports et t’es obligé d’aller bosser. Aucun intérêt, donc !J’en profite pour remercier mes parents et mon Producteur. Et aussi mon boss, tiens !
Ha si, j’oubliais, j’ai rien à vendre sur ebay.
Pfft, ce que je peux être conne, parfois…
T’imagines si je revendais tous les cadeaux que je reçois des boîtes de buzz marketing, comment je serais trop riche ?
Non, mais pas assez en fait.
Quitte à être riche, autant être très riche, non ?

Post Scriptum : Tu chausses du combien ? Du 2 ? Non, je demande car j’ai très envie de t’offrir des souliers, en cadeau, pour tes vacances de la Toussaint qui approchent à grands pas (les vacances, pas les souliers)

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Radiohead – Nude… Pis c’est tout !

Je sais bien que tu vas dire mais qu’est-ce qui se passe Bordel, c’est pas encore la grève ou si, ayé, ça commence ?
Pourquoi qu’elle nous balance des vidéos, comme sur les blogs des geeks ou assimilés ?
Pourquoi que y’a un deuxième billet où qu’elle dit rien, à 23h30, de surcroît ?
Pourquoi que ça fait deux fois dans la semaine qu’elle nous fait chier avec du Radiohead et que, de toute façon, on aime pas regarder les vidéos sur le ouèbe 2.0, que t’as raison, moi aussi, souvent ça me fait chier.

Je te réponds rapidement, sinon je vais encore me coucher tard sans raison évidente, que tu écoutes et tu te tais.
Si t’as les nerfs qui lâchent, que tu t’es fait largué, viré, aimé, les deux, les trois, ou aucun des cinq, c’est pareil.
Si t’es sensible, limite tu vas pleurer.
Si t’es pas sensible, t’es une buse.
Si t’as pas envie de pleurer, je ne sais pas dans quelle case te foutre.
Si t’es pas sensible et que t’as quand même envie de pleurer, tu as bon.
Pour les autres cas, merci d’adresser vos réclamations par courrier électronique.

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L’hôtesse de l’air – inepties dans la High Society

 

Souvent, l’hôtesse de l’air me fait remarquer : « En tous cas, je te fais bien rigoler, hein ?« …
Elle n’a pas tort.
De là à sous-entendre qu’elle pourrait être une sorte de muse, faut quand même pas déconner. Même si on est pas loin, dans le fond.
Pour toi qui n’aurait pas encore saisi l’essence même de ce blog, sache que l’hôtesse de l’air a été avertie de la teneur du présent billet et qu’elle l’a validé.
Tu me diras, que ne ferait-elle pas pour un linkage et un peu de trafic, quitte à s’en prendre plein la gueule. Oui, que ne ferait-elle pas.– L’affaire des low boots de l’hôtesse de l’air.

Récemment, l’hôtesse de l’air a acheté des low boots chez Minelli qu’on dirait du plastique gris, un peu comme l’intérieur des sacs poubelle. De la super came, en bref.
La première chose à faire, quand on aime sincèrement l’hôtesse de l’air, c’est lui conseiller de les porter avec pantalon/jean/robe assez courte si on n’est pas gaulée comme Kate.
Rapport qu’avec une robe qui arrive au genou, ça casse la silhouette.
L’hôtesse de l’air, elle te rétorque sans vergogne, qu’au contraire, la low boot, ça allonge la plastique féminine.
??!!! Oui, bien souvent, l’hôtesse de l’air perd tout sens commun.

Il se raconte aussi, dans les milieux bien informés, que lors de l’achat des low boots, elle a été obligée de les enfiler avec un chausse-pieds. Sans, y’a pas moyen, selon elle.
Or, l’hôtesse de l’air ne possède pas de chausse-pieds au domicile conjugal.
Conclusion, l’hôtesse de l’air se sert d’un couteau pour enfiler ses low boots. (oui, je sais)
Pensant qu’elle déconnait, j’ai questionné si c’était avec un couteau à pain, ou bien ?

Très sérieuse, elle a répondu que non, un petit couteau pointu suffisait.Le problème : A la fin d’une soirée, quand l’hôtesse de l’air s’est retrouvée pieds nus pour on ne sait quelle obscure raison et qu’elle demande à son hôte s’il n’aurait pas un couteau, des fois, pour qu’elle puisse se chausser, comment garder détachement, classe et volupté ?
Le mystère reste entier.

– L’affaire des macarons Pierre Hermé.

Dans une soirée, ce qui fait marrer en premier lieu l’hôtesse de l’air, c’est la boîte de macarons en forme de couronne. Elle te la fout sur la tête, et elle t’appelle Sainte Violette.
Ouais, du grand niveau.
Après, elle ouvre la boîte et elle dit : « Wouah mais je savais pas que Pierre Hermé il faisait des macarons aussi, pour moi y’avait que Ladurée. Et dire que y’a 6 mois, je bouffais des sandwichs de la Brioche Dorée »

Le problème : La tête me tourne tellement l’éducation Parisienne de l’hôtesse de l’air est un vaste chantier, qu’à côté, tuer l’hydre de Lerne, c’est de la foutaise.

– L’affaire du paillasson volé.

Quand l’hôtesse de l’air décolle d’une soirée, elle est souvent un peu « partie », car elle ne tient pas très bien l’alcool, ceci pour une raison évidente : la dépressurisation.
Il lui arrive donc de faire quelques bêtises. Voler des trucs en l’occurrence. Sauf, qu’elle n’a plus 16 ans, l’hôtesse de l’air.
Elle s’arrête donc au premier étage d’un immeuble et détrousse une pauvre famille d’un sublime paillasson « BONJOUR ».
Je te concède, c’est la grande classe Internationale.

Le problème : Quitte à chourer, chourons chic, moi je dis.
Il y a quelques années, j’ai passé une soirée chez un Ministre en exercice. Je suis partie avec un agenda Cartier et des Louboutin. N’est pas Arsène Lupin qui veut. J’ai envie de te dire.

– L’affaire de l’erreur de conjugaison.

Quand l’hôtesse de l’air a atteint son paroxysme niveau déchaînement, son débit de paroles est tel que la migraine te guette à chaque coin de rue.
Quand elle voit un sujet intéressant, qui pourrait joliment illustrer un de ses billets sur son blog, elle hurle « Où qui sont mon appareil photo ? » (oui, je sais bis)

Le problème : Soit l’hôtesse de l’air ne possède qu’un seul appareil photo et auquel cas doit s’exclamer « Diantre, où est mon reflex argentique ? »
Soit l’hôtesse de l’air porte toujours en bandoulière 2 appareils photo (on ne cherche pas à comprendre) et doit donc demander : « Mazette, où est mon numérique ? ».

La méga conclusion de tout ça : C’est que, en fait, elle serait pas un peu touchante, quelque part, la belle plante ?
Pour répondre à cette question, je te laisse feuilleter les Rêveries du Promeneur Solitaire, de JJ Rousseau. Tu y trouveras foultitude d’informations sur la flore.

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Le Molière Imaginaire : invitations

Non, non, tu ne rêves pas tout éveillé.
Oui, oui, deux billets dans la même journée.
Je sais, ça déjante.

Je ne sais pas si tu te remémores, rapport à ta cervelle de gallinacé, mais la semaine dernière, je suis allée voir Le Molière Imaginaire.
Si, tu sais, cette pièce où un des deux acteurs principaux avait une grosse bite. Tu remets ou bien ?

Aujourd’hui, j’ai reçu un courrier électronique avec plusieurs infos :

– Benoit Solès (l’homme qui porte à droite) est l’ex-David des « Vacances de L’Amour » ( le méchant qu’on me signale dans le mail).
Ouais t’es scié.
Moi ça m’a pas trop parlé, rapport que je me suis déjà enquillé tous les « Hélène et les Garçons » et après point barre, hein !

– Si tu veux offrir des places pour que les gens jugent d’eux-mêmes (tu vois ce que je veux dire) , c’est avec plaisir, ils doivent juste envoyer leur nom et prénom à cette adresse et mettre comme sujet INVIT MOLIERE DE LA PART VIOLETTE
… qu’il dit, le mail, ensuite. Donc voilà.

Juste, tu me fais pas le plan, ouais mais bon j’habite en Province, comment qu’on fait ?
Ben tu fais rien justement, t’as qu’à pas habiter en Province.

Ne me remercie pas.
Je sais que je suis merveilleuse….

EDIT DE 20H30 : On me signale que certains sont vraiment des buses dans leurs demandes d’invitations.
Donc, il serait bien que vous écriviez, dans votre mail, la date souhaitée, pour la représentation, hein ?

Exemple : De Beauvoir Simone – X 2 – Jeudi 18 octobre
Bon, t’as noté, c’est un exemple. Si tu t’appelles pas Simone de Beauvoir, ben tu mets ton vrai nom. Et tu donnes la date qui te convient !
Tu sais que tu me tues définitivement les nerfs ?
Moi je te colle un billet tout sympa où que je me dis je vais être peinarde, ben non, en fait, t’as encore rien compris.

EDIT DE 20H31 : Et puis, sinon, c’est une pièce de théâtre. C’est pas une merde produite par AB Productions, donc tu te tiens bien, tu me fais pas honte.

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La boulangère est particulièrement neuneu

 

L’achat d’une baguette ou de croissants dépassant rarement, en durée, une épilation du maillot ou un soin du visage aux 25 huiles essentielles qui sont top pour le renouvellement de tes cellules, le temps du bavardage superficiel en est considérablement raccourci.
Mais, dans le fond, est-elle réellement moins stupide ?
Rien n’est moins sûr.
Mon dieu, quel suspense insoutenable, n’est-il pas ? Ma grande interrogation est la suivante :

J’aimerais qu’on m’explique ici bas, pourquoi dès que t’as un môme, ben la boulangère elle se sent obligée de sortir un bon mot (enfin, pour elle, rapport que toi ça te fait moyen marrer vu ton niveau d’exigence humoristique), de s’entretenir avec ton enfant qu’en a rien à taper, rapport qu’il a le nez collé à la vitrine aux bonbons colorés à outrance par les substances chimiques, qui sont trop pouah et que le bio, c’est vachement mieux !

T’as déjà vu des crocodiles Haribo bio, toi ?
Ouais, je te le dis, y’a hypocrisie en la demeure.

Ma boulangère elle est sympa au demeurant, mais elle est vraiment niaise.
Quand je passe, certains soirs, avec Cyclamen, au Royaume du pain complet et consorts, la scène est invariablement la même.
Elle regarde Cyclamen et lui dit « bonjour toi, tu vas bien ? »
???!!!
Qu’est-ce que tu veux qu’elle lui réponde cette pauvre gamine, sans déconner ? « Non, c’est pas le top, rapport à mon job, on est en train de fusionner et comme qui dirait, y’a des têtes qui vont sauter » ou encore « Ouais super, je viens d’arrêter le Prozac sans trop dérouiller, je suis une autre femme ».
Oui, on est bien d’accord, on frôle la situation ubuesque !
Donc, Cyclamen, qu’est pas trop con, elle lui répond rien. Elle dit juste, comme tous les soirs : « Moi, je veux un chromfe*« 

(*un chromfe, si tu préfères, c’est un schtroumpf = sorte de truc gélifié de couleur bleue et blanche qui veut de te faire croire que tu vas bouffer un personnage de Peyo. Elle sait pas trop bien le prononcer, le vocable, mais j’ai bon espoir qu’on réussisse le challenge d’ici le fin du trimestre)Je répète que non, rapport qu’elle va bientôt dîner et que y’a pas de chromfe qui tienne à cet horaire indécent.
Ben tu sais pas que la boulangère, à chaque fois, elle a le culot de regarder ma fille avec commisération, genre ta mère est pas gentille, moi je t’en donnerais bien, tout ça.
Donc, si on suit le cheminement de sa pensée, on comprend, dans un premier temps, que la boulangère est pro-chromfe.
Sauf que pas du tout, en fait.

L’acte II, c’est que finalement ma progéniture jette finalement son dévolu sur un morceau de baguette.
Et l’autre conne, de sortir un soir sur deux : « Tu sais, c’est très bon le pain, y’a rien de meilleur. Quand mes enfants étaient petits je leur donnais du pain avec de la confiture au goûter et c’était bien plus sain que tous ces bonbons chimiques d’aujourd’hui. Bla, bla. Y’a pu de valeurs. Où qu’on va, je vous le demande ? Et dans l’attente de vous revoir… »
Merci bien, je ne savais pas que nous étions encore sous le régime de la IVème République, tu vois pas qu’on m’aurait menti et que Vincent Auriol est en train de divorcer.

Si t’as la malchance d’avoir des vieilles dans la queue, derrière toi, ça opine du chef et chacune y va de son anecdote. Et zyva que ça crépite sous la permanente mauve !
Oui, tu as envie de te suicider, je te confirme.

Donc, aucune cohérence dans les propos de la boulangère.
Pro-chromfe ou pro-pain, on saura jamais trop si elle a un avis tranché (non, non, ce n’est pas un jeu de mots) sur la question, ou sur quoique ce soit d’autre, d’ailleurs.


Précision
: Pour pas que tu penses que je suis une mère indigne, je te signale que je lui donne quand même des bonbons assez régulièrement.
Souvent, sous forme de chantage. Je te donne 6 bonbons, mais tu regardes Tiji pendant 30 minutes sans bouger. Ou un truc assimilé.
En même temps je vais pas la blâmer, tu vois pas que souvent, le soir, je me sustente d’un paquet de fraises Tagada en guise de dîner.
Ouais, mais je t’arrête tout de suite. Si tu bouffes que ça, ça fait pas grossir, c’est une légende urbaine !

P.S. : Une fois prochaine, croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer, je te parlerai du cordonnier.

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