Demain, dans SBEP, on se rasera les jambes avec le blender.
Bonsoir.
Est-ce que, des fois, ça ferait pas trop longtemps qu’on aurait pas vu Jean-Jacques, par ici ? Si, et tel le furet, il est repassé par là.
Sortez les briquets, les gonzesses, il va mettre du vieux pain de mie Harry’s sur vot’ balcon, à défaut de sérénade.
On lève les bras bien haut. On crie, on mouille sur tee Pimkie feu au nombril. On en peut plus.
Jean-Jacques ! Jean-Jacques !
Calmos !
Le voilà !
❖ Samedi, mes copines ont dit « On a perdu Violette, je crois bien !« . Elles ont pas faux tu veux que je te dise.
Comme une courge à lire des blogs de moderies, j’ai acheté sur l’Internet des Annabel Winship half price à grands coups de « oh la belle affaire !« , « han que j’économise 150 boules !« , « argh que je déchire du peton joli !«
Je viens de découvrir un truc atroce.
Le compte-joint utilise mon lait démaquillant Velours Clarins (aux Herbes des Alpes, en plus de tout) pour se laver les mains.
J’aime mieux vous dire que je suis pas trop trop contente, les copains.
Bonsoir.
Vendredi dernier, j’ai fait un test.
Tout en causant du site du Monsieur qui shoote des chats, je vous ai proposé de customiser le vôtre, de chat, et de me filer votre oeuvre.
J’avais un cadeau plutôt coolos à vous faire gagner, mais j’ai tenu ma langue. Au chat.
J’ai reçu six contributions.
En juin 2007, je demandais aux gens de se mettre en slip, sur ce blog, just for fun, gratos quoi.
C’était bien, c’était chouette. On aurait presque dit merci pour 200 grammes de chouquettes…
Y’avait même de la blogueuse influente qui posait dans un joli maillot Eres…
Bonsoir.
Quand on est de la fashion, il est toujours bon de placer le nom du Sartorialist lors des conversations intellectuelles avec ses amies. Ce name-dropping apparaît, en général, au 3ème paragraphe du discours, juste après l’introduction sur Isabel Marant et avant l’exposé sur la vente presse APC.
C’est ainsi ; il y a des règles très strictes à observer quand on disserte moderies.
Bref, tu connais le Sartorialist, t’es raide admirative du street-life, sinon t’es rien qu’une merde, un peu comme Little J. dans Gossip Girl.