Tiens, ça fait bien longtemps qu’on ne s’est pas regardé le nombril blogosphérique par ici, les amis. Toutes mes confuses par avance aux (chanceuses) lectrices qui ne parcourent que deux ou trois blogs par jour, et qui grand bien leur fasse ne font pas partie du sérail de la nano-célébrité 2.0.
Mais c’est que des fois, avec Brian, on a des grandes réflexions sur les journaux Internet. On en cause au coin de la cheminée qui diffusent des fausses flammes colorées sur son manteau digital. On est des gens philosophes, tous les deux, c’est pas trop de notre faute.
Donc, depuis un moment, on lit ça et là sur des blogs féminins (souvent dans les commentaires de billets ou par-delà des forums de désoeuvrées qui font rien qu’à décortiquer chaque mot d’un post donné), que les temps ont bien changé, que la fraîcheur d’antan n’y est plus, que les blogueuses moderie sont achetées par les marques, couvertes de cadeaux, d’argent, de gloire et d’articles de presse, n’en jetez plus car pleine est la coupe…
En gros, certaines sont nostalgiques des fameuses « têtes coupées » des années d’insouciance 0.0