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Invitation valable les vendredi 1er et samedi 2 avril 2011
Pulls, Tee Shirts, Tops, Robes, Vestes, Jupes, Accessoires… à des prix cassés (comme Nolwenn Leroy).
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Invitation valable les vendredi 1er et samedi 2 avril 2011
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J’ai toujours évité de coller le visage de Cyclamen sur l’Internet (hormis 3 ou 4 exceptions qui sont venues confirmer la règle). Déjà, pour des raisons personnelles. Mais aussi parce que je culpabilise de l’exposer sans qu’elle me donne son autorisation.
Je veux dire qu’elle n’est pas trop en âge de prendre ce genre de décision. Si ça ne tenait qu’à elle, vous auriez déjà vu l’intérieur de ses narines et sa procession de Mickey. Les enfants sont moyen pudiques, en fait. Bref, je ne lui demande rien à ce sujet ; son taux de narcissisme dans le sang est aussi élevé que celui de la radioactivité nippone. Ca promet.
Tiens, je me disais que ce serait pas rigolo si je confectionnais un album de vous autres avec vos trombines de minots ? Je sais que nous ne sommes plus à l’ère « bon enfant » qui régnait sur l’Internet dans les années 2007, que désormais l’effort doit être récompensé d’un cadeau blogosphérique, mais ne ferions-nous pas un pied de nez à ce vilain mouvement ?
Si vous êtes partants, amis des réseaux, voilà les conditions techniques :
– Vous m’envoyez un portrait dans l’esprit de celui-là (en haut). C’est à dire un cliché pris par le photographe officiel de votre école quand vous aviez dans les 5/6 ans. J’entends que pour fabriquer un joli album, on exclut les photos prises par tata Brigitte dans le jardin, avec la patte du chien en premier plan.
– Si vous n’avez pas de scanner, vous faites comme moi : vous photographiez la photo (ah ah).
– Enfin, la photo doit faire au moins 550 pixels de largeur.
– Si des copines blogueuses veulent participer, ce serait encore plus rigolo (si, si).
– Je vous laisse deux semaines, je peux compter sur vous ? Si non, je n’écrirais PLUS JAMAIS du web !
Je vous laisse. Vous pouvez commencer à vous moquer.
EDIT : Merci à toutes pour vos commentaires mais, malheureusement on est pas chez Jacques Martin donc il n’y a qu’une seule gagnante. C’est Alorom (commentaire n°49) qui gagne l’encre pour les lèvres. Tu peux m’envoyer tes coordonnées postales par mail stp ?
Je passe en coup de vent (j’aime plus trop l’Internet en ce moment) pour vous parler d’une nouvelle curiosité beauté : l’encre pour les lèvres. J’étais invitée l’autre fois dans les salons du Palais Royal chez Serge Lutens afin de découvrir son monde olfactif censé refléter l’onirisme de l’homme. Je vous le confirme, il le reflétait.
Un univers feutré, discret, ouaté, un peu comme si on était en train d’assister à une cérémonie du thé, entourés de geishas. Mais sans le thé.
Je dis ça, j’imagine, on est pas prêts de barouder au Japon, les copains !
Là-bas, à 19h, le personnel est maquillé comme s’il s’apprêtait à défiler sur le catwalk. Voyez comme on se sent un peu concon avec l’oeil de panda du soir. Tu vois ?
Depuis lors, j’ai testé l’encre pour les lèvres qui promet de les teinter naturellement et longtemps. Sachant que la durée moyenne d’un lipstick sur ma bouche est d’environ 15 minutes (mystère de la génétique make-up ?), j’étais bien curieuse ; vous imaginez. Tu imagines ?
De partout, les journaux intellectuels de filles commandent de ne pas combiner la basket x le flare. C’est vrai que ce n’est pas l’association idéale pour donner l’illusion que tes jambes sont aussi longues que la muraille de Chine mais quand même. Farah Fawcett s’en sortait plutôt bien, même si ça devait pas être de toute tranquillité que de se balader en skate toute la journée, le cul tendu, pour faire oublier l’hérésie de la combinaison maudite.
L’autre jour que je triais mes jeans dans un instant d’oisiveté inédite, j’ai jeté mes flares sur le lit et j’ai audacieusement envisagé un essayage en règle de changement de saison ; les copains, faut que je vous dise : j’ai grossi.
Sur les 5 jean flare qui hibernaient dans ma penderie, un seul à réussi à passer le crash-test du boutonnage (et encore faut pas que je mange de la choucroute à midi, sinon je te fais exploser la fermeture en un éclair). J’ai eu beaucoup de chagrin, mais bon les gaufres du distributeur du travail auront eu raison de ma silhouette. Je l’ai bien cherché.
Rouge d’émotion je suis à l’idée de vous montrer mes dernières gourmandises des pieds. Je ne sais pas danser le blues mais je suis prête à prendre des cours du soir, mes chaussures rouges aux pieds. Je rendrai ainsi gloire à David Bowie. Et à Annabel Winship.
Enfin, je viens déjà briser le rêve dans lequel je vous enveloppe dès potron-minet parce que, si ça se trouve, ce sera TOUJOURS l’hiver et on ne sortira plus jamais pieds nus. On vivra en doudoune. On détournera nos robes d’été en nuisettes. On finira fichés Banque de France pour cause de non-paiement des factures EDF à 4 chiffres. On dînera de raclettes en juillet. On va tous mourir.
Il n’empêche que si j’avais moins de cellulite, j’enfilerais le combi-short étoilé de Wonder Woman, je virerais ses bottes de Mère Noël SM et je chausserais mes escarpins rouges pour devenir l’héroïne de mon propre comic strip. D’ailleurs, je ne vois pas pourquoi vous dites que je peux pas le faire ?! (ah oui, la cellulite…)
La suite … « Let’s dance ! Les escarpins rouges Annabel Winship »