Restaurant Le Petit Trianon – Paris 18ème

Bonjour vous. A force de lire dans les marronniers du fooding branché de la rentrée que le resto du Petit Trianon, récemment rénové, était une sorte de cool du quartier, j’ai fini par y jeter un pied. Puis les deux. Bref, c’est devenu ma cantine.

Situé à 10 mn à pied du nouveau triangle branché de Pigalle Chez Moune/Le Sans Souci/ Le Mansart, c’est carrément une aubaine pour moi que de pouvoir être hipster sans foutre un orteil dans le métro. La tendance et la flemme ne sont pas du tout des antigones (c’est comme ça qu’on dit ?).

Oui les amis, c’en est fini du lounge, ploucisé par une démocratisation outrancière. Place à la banquette trouée en skaï douteux, aux chaises dépareillées, aux verres Duralex qu’on retourne avec bonhomie pour faire comme à la cantine en CE2 et au zinc sans apparat.
Les gens trendy se bousculent désormais dans le rade du quartier tenu par Micheline depuis 40 ans. Ca fait genre on est pas du tout des gens superficiels… mais on paie le demi 6€ (le hipster n’est pas à une antigone près – c’est bien comme ça qu’on dit, je suis en stress de l’expression écrite ?).

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Instagram #1

 


Beau cul / Hérésie / Fatigue

In Jésus we trust /Le Pigeon / Need a brushing
Scooter / Extra ball / Tricoter coeur
Graou / Bobo / Tête de fraise

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Kary d’agneau

Un soir, j’étais avec une amie non-blogueuse (la zone) et on a fait un truc de jeunes : on a surfé sur l’Internet. Chaise contre chaise, cheveux contre cheveux (j’étais en fin de traitement au Pouxit), on explorait le web.

C’est à ce moment-là (celui où les restes de poux commençaient à faire des roulades avant vers ses racines) qu’elle a demandé : Toi qui es référence ou je ne sais plus trop quoi, tu dois connaître la marque Kary hein ? Attends, je te montre leurs sacs !

J’ai fini par avouer que je n’avais jamais entendu parler de cette marque mais que, pour ma décharge, je n’ai pas Internet au bureau. Mon amie non-blogueuse a fait semblant de me croire et j’ai réalisé que les non-blogueuses sont certes la zone. Mais qu’elles sont aussi plus classy, et qu’elles ne cherchent jamais à t’enfoncer encore un peu plus dans le bain sale de ta médiocrité.

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JUST FOR LOVE : Invitations

Bien. J’ai fini mes histoires de comment réussir une quiche et d’éléphant bleu.

Je vous laisse profiter maintenant de 14 VRAIS humoristes (Jérôme Commandeur, Elie Semoun, Claudia Tagbo…), lors du spectacle « Just For Love » placé cette année sous le signe de Cupidon. Il sera diffusé en direct sur Comédie + le 24 septembre, pour ceux qui regardent le poste.
Pour ceux qui n’aiment pas le poste et qui préfèrent la rigolade in situ et en grand, j’ai la possibilité d’offrir 2 x 2 places pour la soirée du 24 septembre, au Zénith de Paris.

Signalez-vous dans les commentaires : les deux premiers remportent la soirée de l’amour (je suis le blog concours).

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Cuir au but : un blouson en cuir à gagner !

Après on dira que je ne suis pas souple alors que j’arrive à toucher la barre des buts d’une seule main tout en implorant le ciel de me pardonner mes péchés les plus foufous. Quelle mauvaise foi.

Aujourd’hui, parlons peu parlons cuir. Je vous révélais l’autre fois mon amour retrouvé pour le marine : voilà que les circonstances s’enchaînent dans un joli dégradé de bleu.
En effet, la marque Brooklyn Bridge Factory, spécialisée en cuir-bonne came à prix serrés, m’a offert ce perfecto. Le fée shopping s’est penchée sur mon berceau à la naissance, c’est pas possible autrement. Vite, touchons la baguette avant que le mauvais génie des cadeaux bloguerie ne se penche sur mon cas… et m’oblige désormais à acheter ! Quel tracas.

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Where’s the party : la fête d’anniversaire

Après la quiche de l’autre fois, me revoilà avec une nouvelle anecdote qui, surprise surprise, a encore des accointances gastronomiques. Décidément hein ?!

Cette fois, il s’agit de vous raconter comment une copine a complètement gâché la fête surprise d’anniversaire que lui avait préparée son petit copain de l’époque – depuis elle l’a quitté car il puait du bec, mais ce n’est pas trop le sujet.
Comme l’autre fois, pour la bonne compréhension de l’histoire, nous allons les appeler Truc pour lui, et Unetelle pour elle. L’ingéniosité est ma seconde maison.

Il était une fois, à l’époque où les téléphones portables n’existaient pas (je ne vois pas comment c’est possible, mais je n’ai pas voulu contrarier Unetelle au tout début du récit), Truc avait décidé d’organiser une party pour les 20 ans de Unetelle. Il avait tout bien préparé depuis des semaines, allant même jusqu’à confectionner de ses petits doigts nerveux de nerd des lampions en papier crépon le soir, au lieu de pilonner le manche de sa console Atari.
Truc était vraiment un gars bien. Dommage qu’il puait autant du bec, mais ce n’est pas trop le sujet.

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